5 Sybian machine

Une amie m’oblige à essayer sa machine de type ‘’sybian’’. Ce qui en résulte à me dévoiler et a orgasmer sous ces yeux attentif et admirateur. Mais je n’ai pas été en reste.

Proposée le 25/04/2022 par Bisou 69

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Thème: Masturbation
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Je suis chez une amie à discuter un soir, avec un bon verre de vin. La discussion bifurque vers les plaisirs solitaires. Je lui ai parlé de mes expériences avec mes jouets sexuels. Elle me questionne si j’ai déjà essayé une Sybian Machine. Ce que je réponds par la négation. Selon elle, c’est l’ultime et je dois essayer. Elle m’attrape par le bras et me dirige vers le salon. Elle me quitte quelque instant pour revenir avec la fameuse machine. Je suis sans mot. Je la regarde l’installer. Elle est toute excitée. Travail fait, elle m’ordonne de m’assoir dessus. Je lui dis :

- Tu veux que je l’essai là? Devant toi!

Elle de me répondre :

- Oui ma grande. Il faut que tu l’essai. Et je veux te voir jouir.

C’est une bonne amie. Mais je suis tout de même pas trop allaise de m’exécuter devant elle ainsi. Mais bon, je pense qu’il sera trop difficile de la faire revenir sur sa décision. Comme je suis en petite robe d’été, je n’ai qu’à retirer ma petite culotte pour m’installer dessus par la suite. Sans à avoir à me mettre nu. Elle, elle ajoute du lubrifiant sur le bout qui va s’insérer en moi. Ce qui est une bonne chose. Car la situation ne m’a pas fait mouiller. Je m’installe au-dessus et me place pour faire pénétrer cet objet. Bien en place, je suis assise confortablement et attends pour la suite. Je suis tout de même surprise de me laisser prêter au jeu. Elle me donne la manette pour que j’aille le contrôle. Sous les conseils de mon amie, je tourne la roulette de rotation. L’objet en moi se met à bouger en rond. Il n’a pas de mouvement de vas et vient. Seulement des ronds. Comme si on s’insérait un doigt et qu’on fait tourner. Elle me dit que si je commence avec la vibration, je risque de venir trop vite et ne pas obtenir une pleine satisfaction. Elle me dit également d’attendre de sentir que je vais avoir un orgasme vaginal. C’est à ce moment qu’on ajoute la vibration. Je ferme les yeux pour essayer d’oublier ce qui m’entoure. Je laisse le manchon faire ces rotations lentement. Je me détends et encaisse cette intrusion de façon passive. J’entends les bruits de la machine. Mes mains positionnées sur mes cuisses, je m’abandonne à toutes sensations qui pourrait survenir. Le manchon continu son mouvement agréable. On verra ou cela va me porter. J’augmenter tout de même la vitesse. L’excitation montant, la respiration s’en suit. Je laisse même ressortir de légers sons de plaisirs. Des bruits qui trahissent mon état d’esprit. Je sens mon corps en désirer davantage. La progression est lente. Je ne suis pas habitué à ce genre de monté du plaisir. Le moment est fort agréable et l’expérience d’abandon est enivrante. Tout à coup, à chaque fois que l’objet passe à l’avant, une décharge électrique se fait en moi. Ce qui fait sursauter mon corps. Nouveau, mais follement bon. J’augment encore la vitesse. Mon plaisir continu d’augmenter linéairement. Les sons de ma bouche parallèlement. J’ai beau me laisser porter, mon corps se crispe légèrement. Mon vagin serrer le manchon. Comme si mon intérieur essaie d’avoir le plus grand contact avec celui-ci. Mais mes parois se collent à lui. L’épousent. Les sensations sont spéciales. Je frotte mon corps désireux. J’agrippe mes seins de mes deux mains. Mais ma robe et ma brassière m’empêche d’avoir les contacts que je désir. Trop excité, je glisse mes mains sous ma brassière pour les prendre. Mais je ne suis pas encore satisfaite du contact et de la liberté de mouvement. Je fais tomber les bretelles pour tout faire descendre. Dévoilant ainsi tout le haut de mon corps à mon amie. Mais je n’ai plus conscience de sa présente. Ou je m’en fou complétement. Ça me permet de jouer avec mes seins pendant que la machine tourne en moi. Je me sens ailleurs. En transe. Mêlé à ça, le désir animal d’en vouloir plus. De forcer le tout. Tout pour atteindre cet orgasme que mon corps demande avec supplice. Mais je me dois de me résigner à le laisser me gagner tranquillement. Dans toute sa lenteur divine. Mes mains serrent plus fort mes mamelons durcis. Mes petits cries augmente en intensité. Survient un vague de sensations. Je sens l’orgasme approcher. J’applique donc le conseil de mon amie. Celui de tourner l’autre roulette. L’autre option de l’appareil. La partie siliconé appuyé sur mes lèvres de mon vagin se met à vibrer. Ce qui attaque du même fait mon clito. Cette opération décuple le plaisir. Mon corps se crispe davantage. Et l’orgasme me gagne. Un orgasme très bon. Doux et long. A qui j’ai laissé m’envahir. Je délaisse mes seins, diminue la vitesse de la machine et dépose mes mains sur mes cuisses pour terminer ce moment orgasmique.


Mon amie ré-augmente la vitesse. Je pense au maximum. Je ne suis plus orgasmique, mais encore très émoustillé. Mon corps redevient désireux. Elle s’installe derrière moi et m’agrippe les seins. D’où survient un orgasme encore plus puissant que le premier. Une chaude décharge de puissance échappant à tout contrôle et se logeant à la place de la raison. Le plaisir que je ressens est incroyablement intense. Un désir animal m’habite. Je balance même mon corps pour augmenter le mouvement. J’ai l’impression qu’il ne se terminera jamais. Le contact de mon amie sur mes seins ne fait que décupler mon plaisir. Je crie de jouissante. C’est si bon. Si enivrant. Appuyé sur elle, ma tête collée à la sienne, elle a tout la puissance de mes cries dans ces oreilles. J’essaie de reprendre mes esprits dans toute ces explosions de sensations. Mais mon corps continu de vibrer. Mes jambes serrent la machine. C’est trop. Avec le peu de force qu’il me reste, Je me lève et tombe à la renverse sur elle. J’ai encore des spasmes. Essoufflé d’avoir été aussi crispé, d’avoir serré si fort et d’avoir crié si fort. Mon corps est sensible au moindre contact.


Revenu à moi, je lui ordonne de prendre ma place. De son coté, elle n’a pas de robe. Donc, elle fait tout tomber avant de s’installer. Ainsi, je peux voir son corps magnifique. Elle a quelques rondeurs, mais elle est très sexy. Surtout ces seins lourds. Elle prend place. Je m’installe derrière elle. Je n’ai pas pris le temps de remonter ma brassière et ma robe. Mes seins sont collés à elle. Je lui prends les seins et les masses selon mes envies. C’est une première pour moi. Et j’aime vraiment toucher ses gros nibards. Pendant qu’elle est concentrée, je me surprends même de l’embrasser dans le cou. Elle se penche vers l’avant. Je sens son corps sursauté. Je ne peux que constater son plaisir qui monte. Il a un trémolo dans ces cries. Elle se redresse, glisse ses mains dans ces cheveux, se prend la tête et lâche un gros; ‘’ OH OUIIIIIIIII ‘’ Elle passe un bras derrière et m’agrippe la tête. Elle retourne sa tête et m’embrasse. Elle sort la langue. Je lui offre la mienne. Je sens tout l’excitation qu’elle a dans sa façon de m’embrasser. J’y prend plaisir. Tout d’un coup, elle cesse de m’embrasser, agrippe et serre le bord de l’appareil. Et se met à crier. Tout son corps a des spasmes. Je crinque les deux roulettes au maximum et la maintien assis sur l’appareil. Et lui pince les mamelons. Elle balance sa tête dans tous les sens. Jusqu’au moment où elle agrippe le contrôle et éteint tout. Appuyé sur moi, je constate qu’elle elle essoufflé. Je glisse mes mains doucement sur tout le haut de son corps. La laissant revenir à elle. Elle m’a dit :

- J’ai repassé les images de toi quand tu as eu ton orgasme dans ma tête. Ça m’a rendu folle d’excitation.

Je vous avoue que moi aussi j’ai adoré la voir jouir. Je lui ai demandé si je pouvais prendre une douche. Elle m’a répondu :

- Allons la prendre ensemble.

Ce que nous avons fait. Elle a une grande douche avec deux pommeaux. Pratique pour une occasion comme celle-ci. Nous ne nous sommes pas retouché par contre. Quand je me suis levé de la machine après mon orgasme, j’avais remarqué que l’appareil était énormément détrempé. Elle me dit que c’est normal. Que je dois être une femme fontaine. L’appareil s’attaque au point G et crée souvent ce résultat. Bref, un beau moment.

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