Ulrich est un moine dépravé, sa perversité et telle que la mère supérieure du couvent après s'avoir fait défoncer par le grassouillet moine, lui offre des novices. Des mondaines, avides de sexe extrême, au courant de ce qui se passe au couvent, sollicitent d'y participer moyennant finance.
Proposée le 14/02/2022 par linsee
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Ulrich règne en maitre sur le couvent voisin. Il est souvent demandé par la mère supérieure avide de sexe. Mais elle ne lui suffit pas. Fréquemment la vieille mère lui offre quelques novices pour apaiser sa soif sexuelle. Depuis quelque temps, la réputation du, du moine et de la mère dépravée, circule parmi les mondaines des environs.
Les femmes, avides de sexe se bousculent pour pouvoir assister ou participer aux ébats sulfureux de grassouillet moine. Pour lui et la mère supérieure, le plaisir devient lucratif. Les coquins se font rémunérer pour leur performance. Comme chaque jour, le moine se rend au couvent. Il se rend directement au bureau de la mère supérieure, il la bascule sur le bureau et l'honore comme un soudard. La vieille adore se faire brutalement défoncer par la queue infatigable et hypertrophier d'Ulrich. Lorsque sa chatte déborde de semence, il lui défonce le cul à grands coups de boutoir jusqu'à ce que la vieille demande grâce.
Ensuite, elle l'emmène dans les cellules des jeunes novices. Le bougre sait les amadouer pour arriver à ses fins, une fois bien baisée et sodomisée, les jeunes amantes consentantes, deviennent ses jouets sexuels. Aujourd'hui, il se rend accompagné d'une jeunette fraichement baisée, dans le réfectoire que la vieille sœur à fait aménagée en baisodrome. Une mondaine deja nue, est étendue sur une paillasse. Elle attend avec impatience l'arrivée du phénomène. Il entre avec la novice, il regarde la femme et sans dire un mot, il retire la robe blanche de la novice, fait tomber sa soutane de bure. Il est nu en dessous comme la novice.
Sa queue monstrueuse pend sous son ventre bedonnant. La femme sur la paillasse regarde l'engin avec une certaine angoisse. La réputation de la queue du moine n'est bas usurpée. Soudain la porte s'ouvre, la vieille mère entre avec un martinet en main. Fébrilement elle se met nue, elle s'agenouille et commence à se flageller le dos. La femme écarquille les yeux, le dos de la mère devient rapidement sanguinolent. À chaque coup qu'elle se porte, elle dit en grimaçant :
-C'est ma faute, je suis une salope il faut que je paie ma faute !
Cela amuse Ulrich, il s'approche de la pénitente et lui offre son Chypre monstrueux à sucer. La vieille jette son martinet et, se met à sucer le gland énorme du moine. Il la saisit par les cheveux et tire fortement, sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans la bouche de la nonne. Elle a des hauts le cœur et vomit. Le moine lubrique lui donne une volée de gifle terrible. La femme martyrisée lui dit entre deux souffles :
-Oui, Ulrich punis-moi sévèrement, je suis une grosse dégueulasse, j'ai souillée le sol punis-moi, punis-moi ! Le moine sourit et répond :
Tu le serras après, je dois m'occuper de notre invitée. Il s'approche de la femme et frotte son gland contre ses lèvres, la femme ouvre la bouche et quitte à se déboîter la mâchoire, suce le gland affreux. La novice sous les ordres du moine, se place entre les cuisses de la mondaine et commence à lui dévorer la chatte. Tout en suçant la femme geint de plaisir, elle saisit les couilles du moine et le triture fermement. Ulrich est aux anges, il adore avoir mal.
Sa queue et noueuse, des grosses veines la déforment. La femme lui suce comme une pro. C'est la première fois qu'il en rencontre une aussi douée. Il ne peut se retenir, il envoie une quantité incroyable de sperme dans la bouche de la suceuse, qui le repousse brutalement, car elle manque d'étouffer sous l'abondante giclée. Elle avale difficilement le jus suave du moine. C'est avec rage qu'il repousse la novice. La vieille mère le connait, elle écarte les jambes de la femme le plus possible. Il approche son monstre près de la vulve trempée et, la frotte contre les grandes lèvres. Il s'accroche aux hanches de la femme consentante et pousse fortement.
La femme écarquille les yeux, sa bouche se déforme par un rictus affreux, un râle qui ressemble à une plainte sort de sa gorge. Le gland s'engage lentement dans sa gaine. La femme souffle puissamment, elle croit que sa chatte se déchire, tellement la bite est énorme. Ulrich pousse et réussi, à enfoncer son défonce cul jusqu'à la garde dans la chatte distendue de la soumise. La femme serre les dents, elle qui voulait connaitre la queue d'Ulrich, elle est aux premières loges. La queue lui dilate la chatte comme jamais. Ulrich commence un va-et-vient dévastateur. À chaque coup de reins, elle grogne comme un charretier. La cadence devient infernale, la novice lui suce les mamelons, pendant que la vieille fait glisser sur le ventre de la femme, les lanières de cuir du martinet. Ulrich tire fortement sur les hanches de la femme, il veut l'éclater totalement.
Le gémissement de la femme sont bruyants, elle agite sa croupe de demandeuse avide. Les coups de reins redoublent, la femme se cabre à chaque coup de boutoir. Ulrich devient féroce, il n'épargne pas sa proie. La novice suis les ordres du moine, elle étire les tétons, les écrase. La vieille mère commence à frapper le ventre de la femme avec le martinet. À chaque coup qu'elle lui porte, la soumise se cabre, Ulrich en profite pour l'empaler encore plus puissamment. La chatte étirée un maximum par le membre hors norme du moine, se remplit de cyprine. La femme prend du plaisir à se faire dilater la chatte, elle grogne et gémit, comme une bête en rut. Son ventre est strié de marques rouges dû au martinet.
Elle s'agite sur la bite qui lui ouvre la chatte atrocement fort. Elle crie en tortillant son corps. Soudain elle se tend comme un arc et explose. Sa jouissance est terrible. Elle peut dire qu'elle en a pour son argent. La novice lui écrase les mamelons comme une sauvage, le martinet qui ne cesse de s'abattre sur son ventre plus les écrasements de ses tétons la font jouir terriblement fort. Ulrich ne faiblit pas, il donne de violents coups de bélier, sa queue gigantesque fait hurler de plaisir la femme soumise, qui jouit plusieurs fois de suite. Le moine se bloque au fond du vagin distendu et, le remplit de sa semence épaisse. Il se retire de la chatte, sa queue gluante goutte sur le sol. La vieille retourne la jouisseuse sur le ventre et lui écarte les fesses, la novice lui lèche l'anus pour l'assouplir, la pointe de sa langue s'enfonce dans le canal étroit et le fouille profondément. La femme cambre sa croupe en couinant de plaisir.
La langue est vite remplacée par trois doigts, le ramonage et brutal, surtout très profond. La mère supérieure reprend son martinet et fait glisser malicieusement les lanières de cuirs sur le dos de la mondaine. Elle souffle comme un fauve, la coquine sait pour quelle raison elle a payée. La vieille lève le bras et, sous l'ordre du moine l'abat fortement sur le dos de la soumise, qui serre les dents, les coups lui cuisent la peau, ils s'abattent de plus en plus fort. La femme se tortille, son dos et le bas de ses reins sont striés de marques rouges. Le moine fait cesser le brutal tannage de peau. La femme a les yeux remplis de larmes. La novice tourne avec violence, ses doigts dans la gaine anale.
Ulrich la repousse, son défonce cul est dressé comme un mât de cocagne. Il le place contre l'anus entrouvert. Il s'accroche à sa proie et, donne un coup de reins puissant. La femme pousse un hurlement inhumain, la grosse masse difforme qui est tendue sur le bas-ventre d'Ulrich, s'enfonce dans le rectum de la femme qui reste tétanisée par la pénétration bestiale. Sans se soucier des cris de la soumise, le moine lui démonte le cul comme un soudard. Ses couilles velues frappent les fesses charnues de la femme. Pendant un long moment, Ulrich défonce le rectum distendu de la femme qui commence maintenant à geindre de plaisir.
Le pilonnage est monstrueux, l'anus qui reçoit la queue hors norme est au bord de la déchirure. Le moine accélère, la femme grogne de plus en plus fort. Elle se cabre et jouit du cul comme une malade. Ulrich serre les dents, il enfonce son baobab profondément et se bloque. Il envoie plusieurs décharges de spermes épais dans les entrailles de la jouisseuse, qui est en transe. Ulrich retire son monstre du cul de la femme et regarde en souriant le trou qu'il vient de dévaster. La vieille mère saute sur sa queue et la lèche pour nettoyer le jus gluant qui la recouvre.
Ulrich lui presse les mamelons, il sait que la vieille salope adore ça. Elle pousse des gémissements de bête. Ulrich doit assouvir une autre cliente, donc il repousse la mère supérieure et, les deux suivis de la novice entre dans une alcôve rejoindre une autre femme affamée.
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