Un oncle jaloux

Juliette doit séjourner quelque temps chez son oncle et sa tante, car ses parents ont de gros problèmes. Une fois sur place, rapidement Juliette témoigne de la sympathie pour les voisins.

Proposée le 2/01/2022 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Ayants de très gros problèmes les parents de Juliette doivent se séparer momentanément d'elle, elle doit séjourner quelque temps chez son Oncle et sa tante qui sont ravi de l'accueillir.


Cela fait que trois jours qu'elle est arrivée, qu'elle témoigne de la sympathie pour le voisin. L'age qui les sépare et si grand que l'homme pourrait être son père. Georges l'oncle, les entend souvent parler de longues minutes, cela l'agace. Il les espionne de sa chambre, il rage lorsque l'homme lui parle à l'oreille et que Juliette rit aux éclats. Souvent Juliette rend visite aux voisins, elle déjeune avec eux, la coquine oublie l'heure et rentre de plus en plus tard. Georges rumine en se mordant les lèvres. Il est tellement malheur, qu'il en parle à sa femme Lucette. Elle hausse les épaules et répond en souriant :


-Mais ma parole mon chéri, tu es jaloux des voisins ou alors tu flashes sur Juliette ! Rassure-toi, elle ne craint rien, ils sont bien trop vieux pour elle !



Georges reste dubitatif, il commence à haïr les voisins. Il attend avec impatience chaque soir le retour de Juliette. Dès qu'il la voit, il se calme son visage se détend. Une fois qu'elle s'assoit, il en profite pour lui masser longuement les épaules. Juliette ne rechigne pas au contraire, elle ronronne comme une chatte que l'on flatte de la main. Lucette hoche la tête en regardant les doigts nerveux de son mari, s'activer sur les frêles épaules de Juliette. Cela se termine toujours de la même façon, il pose ses lèvres humides sur la joue lisse de sa nièce et lui donne un baiser très appuyé. Ses yeux brillent lorsqu'ils croisent ceux de sa nièce. Elle lui sourit comme pour le remercier de ce délicieux moment de massage.



Le lendemain en rentrant de la pêche, il remarque que la porte du chalet de jardin est entrouverte. Il s'avance, pose sa main sur la poignée de la porte. Il reste bloqué et fronce les sourcils, il croit entend des gémissements. Il regarde par la faible ouverture et là, son sang ne fait qu'un tour, il est tétanisé. Juliette la jupette retroussée, les seins à l'air se fait défoncer par la queue vigoureuse du voisin. La coquine accrochée à son cou, geint de plaisir. Georges a l'impression d'être cocufié par le vieux voisin, il est vert de colère, sa gorge se noue. Il jette avec rage son attirail de pêche sur le sol en marmonnant. Il entre brusquement dans la maison. Lucette est à la cuisine, Georges s'avance vers elle, elle remarque que quelque chose ne va pas elle regarde son mari longuement et lui demande :



- Il t'arrive quelque chose mon chéri, tu es tout bizarre ?


Georges a à peine la force de lui raconter ce qu'il vient de voir dans le chalet, ses yeux s'emplissent de larmes, il rage. Lucette se jette dans ses bras et tente de lui faire entendre raison :


- Mais mon chéri, Juliette est majeure, elle fait se qu'elle veut, elle ne nous appartient pas !


Georges repousse sa femme et va s'installer dans le canapé, le bougre rumine. Il entend encore les gémissements de plaisir de sa nièce et revoit la queue puissante entrer et sortir de sa vulve. Le diner se passe sans que l'oncle dise un mot. Seule les deux femmes se parlent. L'heure tourne, il est temps de se coucher. Juliette prend sa douche et rejoint sa chambre après avoir embrassée sa tante et son oncle. Lucette et Georges s'étendent nus l'un contre l'autre dans le nid douillé. Lucette se plaque contre son mari, elle frotte sa poitrine dénudée contre le torse de Georges. Sa main s'égare sur son ventre et s'approche dangereusement de la verge sans vie.


Avec dextérité Lucette s'empare de l'engin et commence à jouer avec. Lentement la queue commence à se développer. Lucette tout en branlant la queue, donne de nombreux baisers sur le corps velu de Georges qui commence à grogner. Lucette descend sa tête sur le ventre de son mari, elle décalotte le gland et l'avale. Georges se cabre, il souffle à chaque aspiration de sa femme sur son engin tendu au maximum. La tension est telle qu'il se cabre et jouit en criant sans s'en rendre compte :


-Juliette, Juliette mon amour !


Lucette fait celle qui n'entend rien, elle aval avec gourmandise la semence que son mari lui a offert. Georges n'y tient plus, Juliette la hante, il ne peut se résoudre qu'elle couche avec un autre. Il saute de son lit, se dirige vers la chambre de son amour secret et ouvre brusquement la porte. Il tire violemment sur le drap et découvre le corps de sa nièce, elle sursaute et regarde avec peur son oncle. Il lui dit en rageant :


-Mais qu'est qu'il a de plus que moi le vieux con, ses mains sont plus douces que les miennes ?


Georges plaques ses mains sur les seins de Juliette et les pétris à travers la nuisette, Juliette reste sans voix. Les doigts du râleur s'activent sur les bouts qui enflent affreusement. L'oncle arrache avec violence la nuisette, il pose sa bouche sur les seins dénudés et suce les mamelons, il les aspire si fort que Juliette se cabre puis retombe sur le lit. Comme par miracle la bouche se fait plus douce et tète doucement les bouts qui ne cessent de grossir. Juliette prend son oncle par le cou et cherche sa bouche. Les lèvres se joignent, les langues se nouent. L'oncle rassuré, reprend son calme, les deux s'embrassent longuement comme deux amants.



Lucette qui a suivi son mari, s'assied sur le bord du lit. Elle regarde la nièce et l'oncle se dévorer la bouche. Elle pose sa main sur le ventre plat de Juliette, qui surprise ouvre les yeux, sa tante lui sourit en lui caressant le ventre. La coquine reprend le baiser, les deux échangent un flot de salive, qu'ils avalent goulument. La main de Lucette glisse sous la nuisette et s'approche de la jeune chatte, ses doigts glissent sur la fente et frôlent le clito qui est gonflé comme une grosse noisette. Georges reprend en bouche les mamelons, il les tète comme le fait un bébé pour se nourrir. Juliette geint de plaisir, elle ondule du bassin. Deux doigts s'insèrent dans le sillon que forme les grandes lèvres et s'enfonce lentement dans le puits d'amour. Juliette pousse un long râle, les intrus sont en elle jusqu'à la dernière phalange.


Lucette comme une experte, doigte le conduit vaginal qui mouille de plus en plus. Georges délaisse les mamelons, il est souriant son regard ne quitte pas les doigts de sa femme qui fouille l'amour de sa vie. Sa queue et dure, elle a une apparence monstrueuse. Les grosses veines qui la draine sont gonflées comme jamais, la queue et secouée par de rapides de soubresauts. Juliette regarde l'engin de son oncle, sa langue glisse sur ses lèvres bien dessinées. Sa tante ne la ménage pas, elle fouille l'antre noyé avec opiniâtreté. La jeune soumise pousse de râles terribles. Ce qui devait arriver arriva. Juliette jouit en gémissant fortement. Lucette retire ses doigts et plaque sa bouche sur la vulve qui suinte atrocement, elle donne de nombreux coups de langues sur la perle sensible avant de l'enfoncer le plus loin possible dans la chatte dégoulinante.


Juliette ne se retient pas, elle grogne comme un fauve et jouit une seconde fois dans la bouche de sa tante qui avale tout se qu'elle peut. Rassasier, Lucette laisse la place à son mari qui n'en peut plus. Le soudard enfonce d'un seul coup son membre dans le ventre de sa chérie. Elle se cabre sous la brutale pénétration, le coquin la prend par les hanches et la démonte comme s'il voulait lui faire du mal pour se venger. La queue gorgée de sang, voyage dans le corps de Juliette qui s'accroche à son oncle comme une pieuvre à son rocher. Le va-et vient est redoutable, les coups de bélier sont violents. La bite de L'oncle et infatigable, elle coulisse allégrement dans la gaine en ébullition de sa nièce.


Lucette attrape les couilles de son mari et les presse de plus en plus fort, cela a pour effet de faire cabrer le baiseur et le faire d'éjaculer fortement. La douce chaleur du sperme produit sur Juliette un effet terrible elle se s'arc-boute et explose en criant de plaisir. Sa jouissance et si forte, que la jouisseuse noie de son jus les couilles de son oncle, qui continue de la défoncer. Lucette passe sa main entre les deux ventres et s'empare du clito qui est devenu monstrueux, elle le branle énergiquement et amène Juliette à jouir encore une fois.


Épuisée par les nombreuses jouissances, Juliette demande grâce. Lucette lui promet qu'avec eux elle n'a pas fini de jouir. Elle lui assure des jours de délire.

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