La descente aux enfers d'un homme marié qui aura commis l'erreur de faire un stupide pari avec son épouse. Elle va découvrir sa réelle nature, en va en profiter pleinement.
Proposée le 23/11/2021 par anti
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Juin 2017 toute la France est ensoleillée, et notre belle région normande n'échappe pas la règle, pour une fois qu'il y fait beau, on ne va pas se plaindre.
C'est incroyable, mais tout me semble plus agréable avec le beau temps, la misère serait moins triste au soleil comme dit la chanson?
La nature s'embellit, nous aussi , nous sommes plus souriants, plus polis, dés les premiers effets du soleil, notre peau halée est mise en valeur et que dire de la gent féminine, si légèrement vêtue, c'est un régal pour les yeux.
C'est donc sous les meilleurs auspices d'une belle journée quasi estivale que ma vie bascule, une véritable descente aux enfers :
Tout commence par une visite chez un nouveau client, son site de production se situe aux abords de la zone portuaire de notre belle ville, je suis surpris de voir l'envers du décor de ce quartier que je ne connais pas.
Je quitte l'axe principal, sous les consignes de mon GPS, je bifurque de l'autre côté de la rive, et dés le premier virage je constate une prolifération de camionnette blanche.
Des véhicules vieillissants dont certains semblant être immobilisés depuis des lustres, mais la vie semble présente et ce, malgré l'atmosphère pesante, peu accueillante, graffitis sur les murs, bâtiments vétustes ou abandonnés, c'est surpris que je regarde ces femmes assissent au volant de leur camionnette ou tout simplement arpentant un bout de trottoir.
La plupart d'entre elles semblent provenir du continent africain, mais force est de constater, que si les premières femmes ne méritent pas que l'on s' attarde, nous ne sommes pas tous égaux devant la nature, certaines méritent vraiment le détour, du moins un regard prolonger
Je réduis ma vitesse, moins vite je cale, je m'aperçois également qu'il y a de-ci de-là, quelques jolies jeunes femmes aux profils caucasiens.
Mon dieu, finalement que la nature est bien faite (soupir !!).
Certaines ne semblent pourtant pas très gênées, mais leurs regards et leurs formes généreuses ont vite fait de vous retourner la tête.
Je suis intimidé par la situation, je détourne le regard, comme pour m'excuser, mais elles m'interpellent, me sourient, une me dévoile même sa poitrine..
Oh, je vais finir par avoir un accident si cela continue, finalement, c'est le gps qui me rappelle à l'ordre, je tourne, m'engage sur une autre artère, pour enfin arriver aux entrepôts de mon client.
Quelle journée..., en fait, c'est le soir venu que je commet ma première erreur, mais qu'est-ce qui me prend de vouloir raconter tout cela à mon épouse, quel idiot,
bien sur j'évite quelques détails, sur mes ressentis, mais le ton est donné, et c'est sur un fond de plaisanterie, de jalousie que nous l'on finit par se lancer un pari, seconde erreurs..
Serait elle capable de se promener seule sur ce fameux trottoir ?
Vous vous doutez bien, que le pari est plus osé que cela, les termes du contrat sont les suivants :
1) Etre légèrement vêtue et dans un style assez provocant (pour se fondre dans le décor…).
2) faire les cent pas dans ce lieu de débauche durant un laps de temps d'au moins cinq minutes.
3) si elle passe le délai sans fuir, elle sort gagnante et profite des gains du dit défi érotique, à savoir, un week-end bien être, massage, spa et tout le tintouin.
- Si elle échoue, et se réfugie dans notre voiture, c'est moi qui sort vainqueur, et je pourrais profiter d'un week-end entre potes lors des 24h du Mans.
Aléa jacta est.
En fait, je suis très excité d'avoir persuadé mon épouse de se vêtir comme ces filles de mauvais genre. Le lendemain nous passons une bonne partie de l'après-midi à choisir son habillement, des éclats de rire à en mourir, et j'avoue, que de la voir défiler dans notre salon avec des tenues plus ou moins osées, me plait beaucoup.
je n'ai le droit que de voir, on ne touche pas, quelle frustration .
Vous me direz qu'une épouse digne de ce nom n'a pas dans sa garde-robe ce style de vêtements ?
Eh bien, détrompez vous, en cherchant un peu et en osant mélanger les styles, un dépareillé par ci par là, et en détournant certains vêtements de leur usage initial, vous seriez surpris de voir comment vous pouvez transformer une bcbg, en une créature de film x .
Houa !! Mon épouse est incroyable, du haut de son mètre soixante-seize rehaussée pour la forme de cuissarde , dont j'avais oublié l'existence, c'est toute maquillée qu'elle déambule dans le salon.
Coiffée en mode écolière avec deux couettes sur les cotés , ces yeux bleus maquillés de noir ressortent, le mascara et le rouge à lèvres sont fort présent , elle s'est vêtue d'une petite robe d'été ,un sac à main en bandoulière. Une haute ceinture a pour effet de faire jaillir sa poitrine de son décolleté.
Je reste sans voix, je constate même qu'elle a fini par retirer son soutien-gorge, je devine clairement le bout de ses seins pointant au contact du léger tissu de sa robe.
A ce moment je suis tenté d'arrêter le jeu et de profiter de ma femme, mais cette dernière, hautaine, me repousse du pied :
- Non, non, mon chéri, tu as voulu jouer, on va jouer, et je vais gagner le pari...
Ainsi plaqué dans le fauteuil son pied sur ma poitrine, mon coeur manque de s' arrêter lorsque j' aperçois son entre jambe, elle a fini par ôter sa culotte.
Quel pied, le pan de sa robe légèrement ouvert, m'offre une vue incroyable, ses longues jambes brunies par les premiers rayons du soleil, sa toison blonde, j'en ai l'eau à la bouche.
Malgré ce splendide spectacle, je suis sûr au fond de moi, qu'elle va craquer, je la connais bien, elle n'aura pas le cran de sortir de la voiture ainsi vêtue ou plutôt dévêtue…
Mais contre toute attente , elle persiste, et nous prenons la route en direction de la fameuse zone portuaire. Comme je l'ai pressenti, plus nous avançons et moins elle fait la maligne...
- C'est glauque comme endroit et puis c'est sale, il doit y avoir plein de rats, des maladies.
- Je m'en doutais, tu as peur, je t'avais dit que tu ne le ferais pas, j'ai gagné, j'ai gagné !!
Mais mon épouse a un fort tempérament, et elle a sa fierté...
- Je n'ai jamais dit que je ne le ferai pas, j'ai juste évoqué le fait que cet endroit est malsain, et qu'en plus, tu m'as fait tout un pataquès de la beauté des filles, bof, j'ai vue mieux
Elle est vraiment de mauvaise foi...
- Ok, alors, je te laisse ici, top chrono pour cinq minutes, je fais le tour de la zone et je te reprends sur le retour ?
- Ok je descends
Ma femme panique j'en suis sûr, et maintenant moi aussi, je ne suis pas serein de la laisser comme ça, habillée de la sorte, enfin disons, déshabillée de la sorte, je vous rappelle qu'elle n'a même plus de culotte..., je ravale ma salive, j'ai une boule au ventre. Mais elle fait encore la maligne pour ne pas perdre la face et me rendre furieux.
- Bon ok, ne te perds pas en route, on ne sait jamais si un client paye bien
- C'est ça, c'est ça ,dis-toi bien que c'est moi le mac, et je passerai quand bon il me semble, pour relever le compteur ...
- Tu as raison, compte la-dessus et boit de l'eau.
C'est donc, sur cette chamaillerie que je la laisse sur le trottoir, je la regarde dans le rétroviseur, je démarre doucement, je suis certain qu'elle panique à mort, mais peu à peu, je m'éloigne.
Involontairement j'accélère pour aller faire demi-tour au bout de l'avenue, afin de ne pas la perdre de vue trop longtemps, j'accélère encore plus fort, ah, bordel les flics !!
En plus c'est la BAC, des vrais cowboys, aussitôt ils me prennent de haut.
- Eh là, on se gare tout de suite, on se croit ou, sur un circuit, vos papiers, permis carte grise et assurance, allez, allez, on se dépêche.
Oh bordel, dans l'euphorie du pari j'ai laissé tous mes papiers à la maison.
- Bon alors ça vient les papiers?
- Eh en fait, je les ai oubliés à la maison
- Ben oui, bien sur, pas de papiers, tu te promènes dans ta belle voiture dans une zone à pute, qui nous dit que tu n'es pas un mac ?
- Non, non, je vous jure.
Et c'est sur ce quiproquo que je me retrouve menotté à l'arrière de leur véhicule au côté d'un autre policier. Mais mon esprit est ailleurs, mon épouse, cela va faire presque 10 minutes .
Entre-temps les trois cowboys se sont mis en tête de remonter la zone avant de me déposer au poste.
-Tu vois mec, ici, c'est notre territoire, et on n'aime pas que de nouveau mac, se promène chez nous.
- mais je ne suis pas .....
- eh si tu n'es pas un mac, t'es un client, tu sais que c'est interdit ?
Je n'ose plus rien dire, des vrais cons. Ils se foutent de moi et prennent un malin plaisir à me tourmenter, ils prennent même le temps de discuter par la fenêtre de la voiture avec les filles qui tapinent.
-Alors les filles, ça va ? Pas de problème ?
-Ah nos beaux gosses préférés (s'exclame une des filles)
-Non tout va bien, rien de nouveau, à part une blondasse qui s'est installée prés du vieux arrêt de bus, un peu plus loin, sinon tout est cool.
-Ok merci les filles, on va tourner un peu .
Oh merde elle parle de ma femme, c'est là que je l'ai déposé. On reprend la route et inévitablement la voiture finit par s'arrêter à hauteur de ma moitié.
- Et, toi la belle qu'est ce que tu fous ici ?
- Pardon, j’attends mon mari, merci laissez moi
- Eh, oh, tu sais qui on est ?
Sur ces mots le conducteur descend de la voiture, brassard de policier bien en évidence, il lui explique en bonne et due forme son rôle d'officier assermenté.
Caché par un des policiers, je peux entrevoir, mon épouse panique...
-Bon alors on te ré explique, soit tu maintiens ta version initiale ou tu attends ton mari habillé comme une pute, soit tu nous dis simplement que tu te lances à ton compte, dans le premier cas, on t'embarque pour exhibition et racolage sur la voie public, et ton mari finira également au poste, une fois qu'on l'aura choppé.
Soit tu prends la seconde versions, à savoir : tu te lances dans le métier, et là, on comprend, et on te laisse tranquille !!!
Alors première ou deuxième versions ?
Ma femme balbutie et finit par leur dire ce qu'ils veulent entendre, en espérant en être quitte. Pendant ce temps le cowboy assis à coté de moi m'interpelle :
-Tu vois mec, si tu étais son mac eh bien direction la parution immédiate à comparaitre, pour proxénétisme, et si c'était ta meuf, eh bien pareil, parce que personne ne laisse sa femme ici, ainsi sapée.
Dans tous les cas de figure, il vaut mieux que je la ferme, en espérant que tout rentre dans l'ordre rapidement. Le policier dehors continue un moment à discuter avec mon épouse, et finit par remonter en voiture.
- Bon alors tu m'as convaincu, tu es à ton compte, mais je crois que mes collègues doutent !!
- Non je vous jure, je suis bien à mon compte et c'est bien la première fois que je viens ici.
- Bon on veut bien te croire, mais nous on est un peu comme saint Thomas, on veut te voir travailler...
Mon épouse feint de ne pas comprendre.
-Heu oui je travaille...
- alors si tu travailles trouves toi un client, car si dans cinq minutes tu es encore seule, on va croire que tu nous as menti, et là, c'est direction le commissariat t'as pigé ?
Ma femme hoche de la tête pour acquiescer.
-Alors bouge ton cul, tiens, il y a des clients qui arrivent.
En effet deux types en tenues de sport semblent se diriger vers nous, en fait, à quelques centaines de mètres plus loin, il y a un complexe sportif, une salle de remise en forme, on vient s'entrainer, s' entretenir, c'est principalement pour les boxeurs du coin. Le chauffeur relance mon épouse :
- Allez la belle, soit tu l'invites, soit c'est nous qui t'invitons.
Elle est coincée et le sait, mais se rassure, en espérant qu'avec un peu de chance, le gars ne sera pas intéressé. Alors, une fois à sa hauteur, elle lance un petit « salut les gars, ça va ? »
Elle a failli s'étouffer avec sa salive , mais le plus surprenant, c'est que les cowboys de la Bac semblent les connaitre, le chauffeur intervient avant que le sportif n'ait pu répondre.
- Eh les gars , ça roule pour vous, super temps aujourd'hui ?
- Ouaais, comme vous dites chef
- Vous connaissez la nouvelle (en désignant mon épouse) on la coach un peu, elle fait ses débuts sur le port.
- Euh, ouais, ce n'est pas une première jeunesse, mais la carrosserie semble tenir la route.
Putain, je suis vert de rage, comment il parle de mon épouse, je ne sais pas ce qui me retient, la trouille sûrement, car en dépit d'être attaché dans la voiture, le gars reste un sacré colosse, et que dire du black qui se tient à ces cotés, deux véritables armoires à glace. Sur ces mots le sportif encouragés par la police se rapproche de mon épouse, je ne peux pas entendre ce qui lui dit, les cowboys pouffant de rire toutes les trente secondes. Mais je comprends rapidement que ma belle ne va pas s'en tirer à si bon compte.
Mon Dieu, Il prend ma femme par la taille et la plaque contre l'abri de bus, pétrifiée, elle ne bouge même pas. Et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, sort son engin, oh putain, la taille !
Je ne peux détacher les yeux de mon épouse, et elle de son engin...
Il s'approche encore, plaque sa main sur la paroi vitrée prés de son visage, et de l'autre main lui écarte doucement les jambes. Mon épouse le regarde fixement sans dire un mot.
Je ne distingue pas très bien, mais je suppose qu'il vient de glisser sa main entre ses cuisses, et aux mouvements de son bras il est sûrement en train de la …
Mon dieu! mon coeur va exploser, je n'ai plus de salive .
Ma femme, elle, ne semble pas souffrir de cette manipulation, mais pourquoi ne le repousse-t-elle pas ? Pourquoi ?
Le sportif, retire finalement ses doigts gluants de mon épouse et ne cache pas sa joie :
- Eh bien ma cochonne, t'es une vraie fontaine!
Et c'est sur ces mots qu' il l'a retourne , la plaque contre la vitre de l'abri , et l'enfile d'une traite, en dépit de la taille imposante de son sexe, il n'a aucun mal à s'introduire. Ma femme lâche un râle de bête blessée, le sportif est ravi.
- oh bordel, t'es sacrément mouillée ma salope, c'est rentré tout seul
Mon Dieu quelle honte, je n'arrive pas à croire ce que je vois, mais face à la scène je sens mon corps me trahir, comment puis-je bander pendant que mon épouse se fait prendre comme une pute ?
A chaque coup de rein ma femme monte sur ces pointes des pieds et lâche des ah, aah, aaah…
J'espère encore, j'imaginer sa détresse , la pauvre, humiliée ainsi, souillée, en fait, ce sont les cowboys qui me ramenèrent sur terre, le flic à mes coté a finalement décidé de sortir pour mieux voir, me laissant ainsi la possibilité de plaquer mon visage sur le carreau. Un des représentants de l'ordre encourageant même, cet accouplement prohibé :
- Eh vas-y mon gars défonce la, elle a l'air d'apprécier le traitement, tu vas finir par nous la faire jouir en direct !
Je ne peux malheureusement que constater, mon épouse ne souffre pas de la séance, en fait, elle apprécie , et c'est sous les applaudissements de la BAC, qu'elle prend son pied. Je l'entends bien, je la vois bien, elle est secouée comme une poupée, mais apprécie son calvaire et fini par réclamer son plaisir, je n'en crois pas mes oreilles :
- Ah salaud, va y continus, continus, t'arrêtes pas, surtout t'arrêtes pas, oui, c'est ça plus fort va y, va y, oui, oui , ouiiiiii
Elle vient d'avoir un orgasme ! un orgasme par un autre que moi, comme ça, dehors, avec un inconnu, je vais mourir.
Ma femme relève la tête, son visage est radieux, elle se réajuste, et inévitablement son regard fini par croiser le mien . Durant un bref instant, elle semble ne pas comprendre, puis, un rictus au bord des lèvres, elle me sourit en haussant les épaules.
Malheur pour moi, elle vient de jouir d'un autre homme, devant moi, et sûrement par ma faute... mais ma descente aux enfers ne fait pourtant que de commencer.
En effet, devant cette scène torride, le second sportif, le fameux black, intervient à son tour .
Oh !!, comment cela est-ce possible, son sexe est démesuré , je vois ma femme affolée devant cet engin, alors pour éviter de voir ma belle s'enfuir, et tout en s'assaillant sur le banc de l'arrêt de bus, il l'attrape par la taille, la soulève comme un fétu de paille, lui écarte les jambes, et la laisse s'empaler sur son membre.
Le spectacle est surréaliste, c'est assis face à moi, sur ce banc que mon épouse s’empale par son propre poids, centimètre par centimètre sur cette longue et épaisse colonne de chair noire.
Elle me regarde avec ses grand yeux et s'enfonce, s'enfonce, ses seins sont sortis de sa robe, elle est quasi nue, ses jambes flageolent, mais elle progresse, sa bouche est grande ouverte, mais aucun son ne s'en échappe...
Les mains sur ces hanches, le black aide ma belle dans cette longue descente, et doucement, aussi incroyable que cela puisse paraitre, il finit par rentrer son sexe intégralement.
Comment a-t-elle pu ? je pense que dans ses rêves les plus fous, jamais elle n'aurait imaginé pouvoir introduire une telle verge, au plus profond de son ventre.
Et comme à l'entrainement sur un banc de musculation, à la force des bras, il la fait coulisser.
Ma femme se laisse faire, elle monte et descend, lentement, puis le rythme devient plus soutenu.
Je ne peux détacher mon regard de la scène, mon épouse me regarde toujours fixement, impuissante, mais elle semble honteuse de ce qui va se passer, elle sent au plus profond d'elle les prémices d'un violent orgasme.
L'exercice a raison d'elle, et son corps s'est suffisamment assoupli pour qu'elle prenne enfin appui sur ces jambes, et maintenant, c'est elle qui va au contact, montant doucement et se laissant redescendre de tout son poids.
Ces cris rauques résonnent, elle secoue la tête de gauche à droite et râle de plaisir.
Le black reprend les commandes, il est de nouveau à la manœuvre, c'est maintenant lui qui impose le tempo, il pilonne la chatte de ma douce avec rapidité, elle ne peut plus se contenir, ces râles deviennent des cris :
-Ah mon Dieu, mon Dieu, aaarrh, aaaaaaaaaaaaaaaaaaah , continue je vais, ah, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Elle est prise de spams, elle convulse, elle jouit, putain elle jouit, encore quelques soubresauts, elle reste empalée, inanimée, c'est son second orgasmes.
Merde je crois que j'ai éjaculé dans mon slip.
Mais le black est résistant, et si nous avons abdiqué en quelques minutes, il lui en faut encore un peu plus pour se soulager.
Il se relève en gardant ma femme dans ces bras, la retourne face à lui, elle n'a pas repris ces esprits, et se laisse manipuler, elle s'accroche, sa tête se niche au creux du coup du colosse, elle s'est de nouveau empalé d’une traite sur son sexe.
C'est à cet instant, que le premier sportif décide de revenir dans la partie
Mais que fait t il ? Non, pas ça, mon Dieu, ils vont la prendre ensemble, si mon épouse n'a pas encore compris ce qui va se passer, elle risque de le sentir !
Une double pénétration, elle qui pensait que cela était réservée aux filles du porno
La tenant fermement, le second comparse, n'a finalement pas de peine à trouver le chemin de son petit cul. Les cuisses ouvertes sur le black son cul en l'air, elle s'accroche comme une moule sur son rocher, le second sexe rentre au plus profond de son corps.
Et rapidement afin d'éviter que ma moitié ne panique davantage, comme deux métronomes, ils lui pilonnent les entrailles, ah , je n'ose croire ce que je vois et surtout ce que j'entends, ma femme hurle des insanités, elle braille comme une bête.
La position acrobatique ne semble pourtant pas convenir aux sportifs, et après quelques mouvements, elle se retrouve de nouveau face à moi pour un final épique, ayant échangé leur position, c'est maintenant à califourchon sur le premier sportif quelle s'empale , ce premier allongé sur le dos a même le sol lui pelote la poitrine avec ferveur , le black, lui, se positionne derrière elle !
Ma femme attend la double pénétrations, son petit trou est dilaté, mais là, c'est un autre calibre qu'il l'attend, elle le sait. Il va s'introduire au plus profond d'elle.
Les yeux exorbités, la bouche grande ouverte à la recherche d'air frais, elle hoquette, une grimace sur le visage, je devine la pénétration, ces orifices ne pouvant plus s'ouvrir davantage, son regard affolé mais envieux, sa bouche baveuse, elle cherche de nouveau mon regard, me sourit, puis le sexe fini par rentrer…
Vint les premiers mouvements, lents, puis, plus rapides, pour finalement devenir violents, ma femme exulte :
- Ah salops, oui, c'est ça défonce moi le cul, oui, la chatte, oui ensemble allez plus fort, plus fort, oui, oui, ouiiiiii AH Je jouieeeeee , ouiiiiiiii
Le black la tient par ses couettes, il lui démonte le cul, tandis que son comparse accroché a ses seins, se vide le premier dans son ventre, le second finit par se reprendre au plus profond de son corps, elle s'arque boute, bave de jouissance, les yeux révulsés, elle jouit prise d'un plaisir alors inconnu.
Les deux sportifs se vident en elle, ravis, ils lui déposent délicatement un baisé sur le front tout en lui remettant son due : 2 billets de 50 euros
Les tripoux de la BAC m'ont finalement laissé repartir, sans avoir avant, usés à leur tour de ma bien aimée. Deux se sont fait sucer tandis que le troisième, trop excité, a éjaculé sur sa poitrine .
Je crois qu'elle était à cet instant , dans un état second, car machinalement elle s'est enfoncée trois doigts dans la chatte tout en tournant avec frénésie son pouce sur son petit clitoris, elle a de nouveau jouit
Après quelques minutes ,ayant repris nos esprits, c'est sans un mot que nous sommes repartis a pied à notre voiture.
Lorsque j'ai voulu m'expliquer, elle m'a stoppé, s'est essuyée l'entre cuisse avec les deux billets, et m'a collée l'argent en pleine figure.
- Voilà, tu voulais relever les compteurs, et bien relève !!
Je viens de toucher le fond, je suis en enfer.
Ca, c'est que je croyais, pour dire toute la vérité, je viens juste d'y entrer. En effet , peu de temps après cette sombre journée, j'ai appris que ma femme avait décidé de s'inscrire à la salle de sport, vous savez celle qui est à la sortie de la zone portuaire.
Mon calvaire ne fait que commencer.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Super anti ... donne nous en encore
Posté le 6/12/2021
Prunica
Haha tel est pris qui croyait prendre !
Posté le 4/12/2021
Anonyme
se méfier des paris quant on ne connait pas la résultat!!!
Posté le 27/11/2021
Anonyme
Voilà une histoire qui vous met en appétit
Posté le 26/11/2021
cerisemoche
Une histoire qui sort un peu des sentiers battus, j'espère que la suite sera aussi pervers.
Posté le 24/11/2021
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