Entre Filles

Ambre n'a jamais rien vécu d'aussi extravagant que ce qu'Alice, à l'imagination débordante, va lui faire vivre. Dans un parc fleuri, au printemps, les deux filles se retrouvent pour profiter du temps.

Proposée le 25/07/2021 par Corolove567

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Thème: Couple, passion
Personnages: FF
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman

Un après-midi, Alice propose à son amie Ambre de la rejoindre dans un parc près de chez elle. Les deux filles s'installent l'une à côté de l'autre sur l'herbe, chacune avec un livre. Alice porte un t-shirt court qui moule parfaitement sa poitrine et une jupe courte, elle s'est attaché les cheveux en chignon, Ambre, quant à elle, a mis un jean taille haute et un haut à manches courtes, ses cheveux sont détachés, ils sont beaux, d'une belle couleur blondes.

Les deux amies s'assoient dans l'herbe, mais Ambre se sent serré dans son jean, et décide donc d'en ouvrir le bouton avant de s'allonger.
Alice, aperçoit de là où elle s'est assise que son amie porte une culotte blanche, elle peut l'entrevoir sous son t-shirt qui est normalement coincé dans son pantalon, lorsqu'ambre est allongé sur le dos. Et voir les sous-vêtements de sa copine a l'air de beaucoup lui plaire…
Doucement, elle pose sa main sur le ventre de son amie, étale ses ongles vernis sur son nombril, et dis "tu n'as pas chaud ?", Ambre lui répond que si, mais que bon, elle ne voit pas vraiment ce qu'elle peut faire puisqu'elle n'a rien en dessous de son t-shirt, et qu'elle n'a aucun vêtement de rechange.
Alice, qui a son idée derrière la tête, lui fait remarquer en souriant :
"Tu peux toujours te mettre en sous-vêtements, après tout personne ne passe par ici, t'inquiètes pas !". Ambre, assez gênée, lui répond fermement : "non ! ça m'embêterait beaucoup de me déshabiller à côté de toi, dehors, comme ça !". Alice lui dis "si tu veux je me déshabille d'abord, si ça peut te mettre à l'aise ! moi aussi j'ai mis une culotte blanche en plus !". Et d'un coup, Ambre est envahit d'un malaise, son amie l'a observée, Alice prend son visage au creux de la main et lui dis "Oh, mais y'a aucun soucis, faut pas que tu sois gênée, ou complexée, au contraire, moi tu m'excites beaucoup!". Ambre explique qu'elle ne s'y attendais pas, et lui dis "okay, mais t'es une fille ?", son amie lui répond "et tu crois qu'une fille ne peut pas faire jouir une autre fille ? tu veux que je te montre ?", Ambre sent sa respiration s'accélérer, et Alice le sent, ses doigts sont toujours posés sur son ventre, et glissent alors sous le tissu fin de sa culotte.

Elle sent les doigts d'Alice caresser lentement sa peau douce, et lâche un soupir et un petit "mmmmh" qui traduit la puissance de se désir qui monte dans son bassin qui chauffe doucement. Puis Ambre lui répond "attend j'enlève mon haut", et elle retire son t-shirt bleu marine et laisse ainsi apparaître une poitrine aux magnifiques formes reposant dans un soutif noir.

Allongée sur le sol, en sous-vêtements, elle dis à son amie "j'ai toujours aussi chaud !" et lâche un soupir. Allongée à ses côtés, Alice lui dis "enlève ton jean ?!", Ambre, qui ne sait pas si il s'agit d'un ordre ou d'une proposition, lui répond "et tu m'aiderais ?" en continuant de lire son roman policier sans bouger. Sans même répondre à la question, Alice, se place en face d'elle, détache la ceinture d'Ambre, commence par tirer par la taille puis par les pieds, et retire son pantalon en révèle ainsi les motifs de fleurs de sa culotte, qui s'accorde parfaitement avec la peau bronzer de son p'tit ventre un peu rond, et de ses cuisses légèrement entres-ouvertes.
Ambre remercie son amie qui lui dit "et si il y a autre chose que je peux faire..." puis elle retire également son croc top, et montre ainsi sa poitrine bien plus consistante que celle d'Ambre qui ne peut s'empêcher de zyeuter à son tour le corps de sa copine, puis elle ajoute "et tu n'enlèves pas ta jupe ?", Alice lui répond "je suppose que c'est un ordre ma chérie !" et elle s'exécute, elle laisse apparaître un string rouge en triangle qui dessine parfaitement ses pentes sensuelles, et elle lui dit "ça te va comme ça ?" avec un sourire narquois.
Ambre la regarde discrètement, et lui répond "jolis sous-vêtements !", Alice qui voit que son amie est un peu stressée par l'idée d'être en sous-vêtements ici, lui dit, "tu veux que je te masse un peu ?", Ambre lui répond : "oh ! avec plaisir", "on commence par les pieds alors ?", "d'acc !".

Ambre demande "Je me sur le dos, ou sur le ventre ?", "Sur les fesses !" lui répond son amie en souriant, elle retire ses chaussettes, et entreprend de lui masser doucement les pieds qui sont joins. Elle appuie doucement sur ses orteils, et admire les mouvement lent des cuisses d'Ambre qui bougent aux rythme qu'Alice masse ses pieds, elle sent sa respiration accélérer et garde les yeux rivé sur sa culotte qui moule son entrejambes en douceur. Ambre lui dit "tu veux bien me masser le dos maintenant ?", la réponse est évidente, un contacte avec une si jolie peau ne se refuse pas, Ambre retire son soutif, pose les deux mains sur ses seins que son amies n'a malheureusement pas le temps de voir, puis se retourne sur le ventre, et laisse Alice lui masser le dos, avec douceur et lenteur, elle joue avec les mouvements, puis au bout d'un quart d'heure, Ambre lui demande, un peu gênée : "tu veux bien les cuisses maintenant ?". Puis à sa grande surprise elle se retourne, sa petite poitrine fondant sur le haut de son corps, les tétons pointant vers le ciel bleu, Alice les admire et dis "et tes seins ? je peux ?", Ambre sourit et lui dit "pas touche !".

Elle descend alors ses mains, effleure sa culotte au passage dont la finesses du tissu laisse presque entrevoir le sexe chaud qu'elle abrite, puis elle masse lentement les cuisse de sa copine, qui ferme les yeux, et profite, elle observe le tissu clair qui couvre son sexe, et devient humide au fur et à mesure des caresses, des doigts souples d'Alice sur cette peau douce qui frisonne. Ambre sent sont sexe gonfler lentement sous sa culotte mouillé, au travers de laquelle l'humidité laisse comprendre une fente agréablement douce et désirant un plaisir fou, une fleur au pétales chauds qui souhaite s'épanouir dans ce jardin, et lorsque le sexe d'Ambre est si doux, si chaud, si prêt, qu'il passe presque au travers du tissu, Alice n'hésite plus, elle retire la culotte de sa copine, qui se retrouve nue dans les bras de son amie qui la tiens par les hanches et qui lui dis "profites, t'es trop belle !".

Et sans hésiter, elle pose les lèvres de sa bouches contre les lèvres de son sexe, qu'elle embrasse avec une douceur incroyable, elle entend Ambre gémir de ces plaisirs qu'elle n'avait jamais ressenti de sa vie. S'ouvre alors à la bouche d'Alice un sexe parfumé, mouillé d'un sel unique, des grandes lèvres douces et lisses entourent le vagin d'Ambre, odorant et sucré, et son amie lèche ce sexe mûre et parfait avec amour.

Ambre n'en peut plus, elle respire vite, son ventre tente de suivre les mouvement furtifs de la langue d'Alice, ses fesses absorbent un part de la chaleur qui envahit son vagin, elle tremble mais elle adore ça, elle en veut encore, toujours plus ! Alice arrête quelques instants, le temps d'enlever son string et son soutif elle aussi, et de prendre Ambre dans ses bras, contre laquelle elle se blottit puis elle lui dit "j'adore !" avant de l'embrasser langoureusement, ensuite elle ajoute "quand je t'embrasse, tu sens le goût que tu as ? c'est trop bon ! J'adore ! J'ai jamais gouté un mouille aussi délicieuse !", Ambre, qui brûle maintenant de désir lui dis "par pitié ! continue ! je t'en supplie fait-moi jouir !", Alice redescend le long du ventre d'Ambre, avec une lenteur sensuelle, elle replonge entre ses cuisses, et continue de déguster son minou qui contrôle maintenant le cœur de Ambre, qui va bientôt exploser de plaisir, son corps voluptueux se tord sous l'effet du plaisir, Alice plonge alors 2 doigts au centre du vagin de sa copine qui se tortille.

Et à ce moment là, c'est la fin, le corps d'Ambre se noie dans le désir, ses courbes se plie, elle se cambre, sa respiration s'arrête après un dernier gémissement intense, et une vague douce mais brûlante la travers et paralyse son corps, son ventre s'arrête avant de fondre sous la langue d'Alice, qui sent couler la mouille giclé par son amie, les jambes grandes écartées.

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