Ma découverte du candaulisme. Sophie, Damien et votre serviteur. 4

Damien se pose des questions. A-t-il invité le loup dans la bergerie? Bien sûr, Sophie ne regrette pas cette escapade érotique, mais maintenant qu'elle y a pris goût, elle en redemande.

Proposée le 12/07/2021 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

Bizarrement, elle ne lui répond pas, je sais pourtant qu’elle n’aime pas trop ça, et après une ou deux tentatives, je ne m’y risque plus. Il la retourne sur le ventre et lui lèche l’anus consciencieusement, essayant d’y entrer le bout de sa langue puis lui enduit le cul avec du gel, introduit un doigt, puis deux dans son trou à peine dilaté. Sa petite rosette luisante de gel s’enfonce maintenant doucement sous la pression du gland énorme, elle est quasi vierge de ce côté-là vu la finesse de ma bite.
Pascal perçoit la tension et masse du bout des doigts son anus avec le gel lubrifiant et recommence l’alésage en lui murmurant à l’oreille :
-Je vais y aller doucement, tu vas avoir un peu mal au début mais tu verras qu’au bout d’un moment, tu vas aussi éprouver du plaisir et tu vas jouir comme une folle!
-Tu crois ? Je ne suis pas fan de cette pratique. Lui rétorque-t-elle.
-Peut-être… Mais notre rencontre est sûrement sans lendemain, alors, c’est aujourd’hui ou jamais !

J’assiste en spectateur passif à la lente pénétration de ce défonce-cul dans la rondelle de mon épouse que je n’ai jamais vu si soumise.
Le sexe de Pascal toque à la "porte de derrière", et l’huis commence à s’entrouvrir avant de céder d’un coup et d’absorber délicatement l’intrus, le gland disparait entre les fesses de Sophie qui grimace. Elle est si excitée que sa rondelle s'ouvre comme une fleur.
Il continue d’entrer par la voie anale et je n’en reviens pas de ce que dit Sophie :
-Je n’aime pas être sodomisée, et j’ai trop peur de souffrir. Tu as pourtant une bite bien plus imposante que celle de Damien et je ne sais pas pourquoi je te laisse faire.
Pascal entre quelques centimètres de plus dans le petit trou et s'immobilise, laissant le temps au sphincter de Sophie de se dilater, puis reprend d’un mouvement excessivement lent, avançant progressivement millimètre par millimètre.
Sophie gémit de douleur. Pour détourner son attention, je caresse doucement son clitoris, l’embrasse dans le cou et lui murmure à l’oreille.
-Sa queue s’enfonce doucement dans ton petit cul bien serré. Alors comme ça, tu préfères son mandrin à ma teub ! Eh bien, tu vas devoir tout manger, il ne doit rien rester dans ton assiette, et là, tu en es qu’aux hors-d’œuvre…
Bizarrement, ces mots excitent Sophie. Pascal continue sa progression. Elle n’a aucune idée de la quantité de chair qui attend son tour, mais chaque nouveau centimètre enfoncé a l’air de multiplier par cent le plaisir qu’elle commence à ressentir. Un premier orgasme anal fait vibrer son corps. On dirait qu’un deuxième vient d’avoir lieu lorsque la bite de Pascal est fichée en elle jusqu’à la souche de sa teub. Et lorsqu’il commence un mouvement de va et vient, je me demande si le troisième n’est pas déjà là. On dirait qu’elle est hyper-sensible du cul. Mon excitation est à son comble et je suis tout étonné que la queue massive de Pascal ait pu pénétrer le cul de Sophie sans plus de difficulté. Elle pousse même le vice à commenter :

-Huuummmpppfff , ça commence à être bon! Putain ! Je ne savais pas que c’était si agréable une fois
la douleur du début passée. .. La brûlure du début est devenue une douce chaleur qui irradie dans tout mon bas ventre !
Pascal, enfoncé en elle jusqu'à la garde continue son va et vient lent et précautionneux, lui demandant :
- Finalement, on dirait que t’aimes ça ! Dis-le moi…
- Ouiii j’aime …ça, mmmpppfff !!!
- Plus fort!
- Ouuuuiii !! J’aime sentir ton énorme bite me ramoner le cul !!!!
-On va voir si c’est vrai, lui rétorque Pascal en l’entrainant avec elle pour qu’elle se retrouve à califourchon sur lui, lui tournant le dos. Il met ses deux mains sous sa nuque et ne bouge plus d’un poil. J’ai l’espoir qu’elle s’éjecte de son rostre mais non… Sophie pose ses mains sur les cuisses de Pascal et se met à monter et descendre sur cet obélisque dressé pendant de longues minutes,
lâchant à chaque claquement de ses fesses sur le corps de Pascal un gémissement de plaisir, s’empalant le plus loin possible sur ce pieu qui lui défonce le fion, absorbant en totalité le sceptre royal dans ses intestins.
Elle se met à crier, gueulant son plaisir de se faire déchirer par cet énorme défonce-cul. J’espère que les chambres voisines sont libres, sinon… L’effet est si intense qu’elle ne met que quelques minutes pour renouer avec une énième jouissance, tremblant de tout son corps.
Soudain, Pascal éjecte sa lance de ce fourreau brûlant et lui ordonne dans un grognement
-Je vais gicler bordel, branle-moi, vite !!!
Elle astique sa verge comme une folle avant de s’asseoir sur lui, face à face, et enserre entre ses cuisses la poutre prête à entrer en éruption. La scène est surréaliste avec la queue de Pascal qui dépasse entre les cuisses de Sophie qui reprend de plus bel l’astiquage de son pieu.
Quand, il se met à éjaculer, on dirait que c’est elle qui jouit pour se répandre sur le bas-ventre de Pascal.
Sophie presse à mort la hampe pour augmenter la pression de ce formidable engin qui envoie pour la troisième fois de la soirée des jets d’une épaisseur et d’une puissance que je n’atteindrai jamais.
Pascal a le corps couvert de son propre foutre du ventre jusqu’au menton quand elle finit de lui vider les burnes.
Comme une chienne en chaleur, Sophie se précipite et lèche le corps de Pascal d’une langue gourmande, appréciant la saveur sucré/salée de sa semence.

Je suis un peu frustré de ne pas avoir participé, la queue douloureuse du spectacle auquel je viens assister. Je me rends bien compte de la différence énorme entre nous car sa verge encore gorgée de sang fait pratiquement le double aussi bien en longueur qu’en épaisseur de la mienne.
Damien s’aperçoit de mon tracas et me lance :
-Je vais m’asseoir sur le divan. Je te laisse libre de profiter que la porte soit encore ouverte, hein Sophie ? Elle ne te tiendras pas rigueur si tu la sodomise à ton tour.



Son cul est tellement ouvert qu'il avale comme un rien mon engin. Je la défonce comme un taureau en rut. Je la traite de chienne mais on dirait qu’elle m’ignore.
La sensation est bizarre à chaque pénétration quand je sens ma queue comprimée par son sphincter
Elle se met à rigoler en m’avouant :
Pauvre Damien… Excuse-moi de t’avoir repoussé tant de fois. Mais après cette révélation, je crois que j’ai changé d’avis sur cette pratique.

Cette nuit d’orgie se termine. Il nous fait ses adieux et quand il embrasse Sophie, je la surprends à glisser sa main entre les cuisses de Pascal pour se prouver qu’elle n’a pas rêvée.
Juste avant de s’endormir, repue de fatigue, Sophie me murmure :
Je n’aime que toi, mon amour ! Mais on pourra l’inviter chez nous pour les vacances, hein ? On pourra ???

Que n’ai-je pas fait ? Ma merveilleuse épouse est devenu accroc au sexe, qui plus est, pas le mien et pas non plus celui du commun des mortels. Mais comment en être offusqué ? C’est moi qui ai voulu connaître l’auteur de ces histoires qui m’ont tant fait bander. Surtout celles où il mettait en scène Sophie suivant mes recommandations !!! Et je voulais aussi voir en vrai l’homme que ses vidéos sur le net qui me laissaient pantois d’admiration en voyant qu’il était aussi bien doté que ses héros.

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Commentaires de l'histoire :

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