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Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #4

Karine a tout appris du sexe par ce charmant exhibitionniste bi et androgyne qu'elle a connu sur le Net. Il est devenu maintenant son petit ami. Mais l'avenir lui réserve encore de belles surprises...

Proposée le 10/05/2021 par goelan

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman


Etonnement le reste de la semaine fut plutôt calme niveau sexe comme si nous en avions trop fait ce soir là. Il dormait tous les soirs avec moi et je m'habituais, peut-être trop vite à notre vie de couple. Parfois il me retrouvait après la fac, parfois il arrivait qu'au moment de dîner, il fallait bien qu'il gagne sa vie aussi. 

Il était donc graphiste free lance, en publicité, e-marketing, bossait parfois pour des artistes aussi, bref, plusieurs cordes à son arc et surtout un grand talent et une grande passion. Nous n'avions que 2 ans de différence, sauf que lui avait attaquait la vie active avant moi.

Il ne posta plus rien sur l'application, il n'en avait plus envie pour le moment. Sauf si je validais une photo de nous deux. Il avait fait plusieurs captures de la vidéo de notre dernière soirée, d'ailleurs une grande partie était inutilisable vu que le téléphone avait été retourné et re-retourné lors de nos ébats, une chance qu'il n'avait pas terminé à terre. Par contre on avait une belle bande son qui m'avait fait rougir jusqu'aux oreilles lorsqu'il me fit passer un extrait.

Le vendredi après les cours et le sport, je fis mon petit sac trop contente et empressée de le rejoindre chez lui et je fermais ma porte pour partir. En sortant je croisais un des voisins du dessous qui timidement ne sachant comment aborder les choses me fit comprendre qu'il y avait beaucoup de bruit venant de chez moi certains soirs. Que c'était étonnant et inhabituel venant de ma part. 

Je lui souris et je ne sais pourquoi je lui répondis

- C'est parce que je baise maintenant !

Il me regarda avec des yeux gros comme des soucoupes et je m'en fut tortillant du cul. C'était un chieur de service et il ne se gênait pas pour râler pour un rien.
J'ai failli me perdre dans le changement de RER, dommage qu'il ne soit pas plus près, je n'avais jamais été dans ce coin là. Je connais des parisiens qui ne connaissent que leur quartier, c'est fou quand même vu la taille de la capitale et les choses à voir !

Pour l'occasion, j'avais mis une jupe et le seul chemisier que j'avais, je m'étais maquillée et certains me regardèrent, j'en fus étonné c'était bien la première fois qu'on se retournait sur moi. 

Je fus surprise de le trouver à la sortie de la station mais heureuse surtout. Après un gros bisous baveux il me questionna sur ma journée et j'en fis de même.

- Tu es superbe !

- Merci

- Je te prêterai une robe, tu verras, tu le seras encore plus belle

- Je n'en porte jamais, je ne suis pas belle dedans.

Il me sourit et m'embrassa.

Sa rue était plus calme et plus huppée que la mienne. Il s'arrêta devant un immeuble de maître. L'entrée était sécurisée et donnait sur un hall en marbre et en verre, je sifflais.
- Oui mon Oncle à certains moyens.

Il y avait un escalier qui montait mais aussi un ascenseur privé.

Une fois sur son palier, 3 portes s'offraient à ma vue, une en face de l'escalier et deux autres perpendiculaires. Il prit celle de droite et me fit entrer dans un appartement de toute beauté.

- Punaise, c'est immense ici et trop joli !

- Comparé à ton petit studio, je peux te croire.

- Moi je l'aime bien, c'est cosy.

- Mais le lit est un peu petit.

- Il est comment le tiens ?

- Tu veux voir ?

Vu ses yeux brillants, je déclinais.

Il me fit néanmoins le tour du propriétaire et je fus impressionnée par son bureau et le matos informatique qui s'y trouvait.

- Tu as même des caméras, des trépieds et des lampes !

- Parfois pour le travail, quelques fois pour le perso

- Oh ! Fis-je en comprenant.

Il se colla à moi et commença à m'embrasser et me caresser, je me dégageais.

- J'ai faim vicieux !

- Encore 3 gages, n'oublie pas

- Non, pas maintenant s'il te plait !

- OK, j'abdique, allons manger dehors.

Nous mangeâmes dans un petit resto bien sympa et familial et repus, main dans la main nous arrivâmes chez lui.

- Très sympa ton quartier

- En effet, je n'ai pas à me plaindre

- Sinon où aurais-tu habité ?

- Je serai à la rue le temps de trouver quelque chose dans mes moyens

- Et tu paies beaucoup ?

- Que les charges, pas de loyer...

- Je rêve !

- Et non, j'ai vraiment de la chance.

Je crois qu'il fut un peu déçu ce soir-là, j'étais trop fatiguée et je me suis endormi dans ses bras en regardant la télé.

Je me réveillais en pleine nuit un peu affolée, je me demandais où j'étais ! Puis je me souviens avoir zombifié jusqu'à sa chambre, m'être mis en pyja-short et sombré dans un sommeil profond.

Le lit était grand et douillet, les draps frais et sentaient bons. Valentin dormait avec un léger ronflement. Je fixais le plafond me demandant si je rêvais ou non. J'étais en couple et je ne dormais pas chez moi ! Je me mis à pleurer en silence. Ma vie prenait un tournant inattendu. Oui j'avais un petit ami, une vie nouvelle et tout ce qui faut pour être heureuse. Mais dans cette nuit noire, je me sentais seule et me reposais 1001 questions. Il était si différent de ce que je pensais sur mon "prince charmant". Oui un pervers, c'était dans sa nature. Mais le jour où je ne pourrais plus répondre à ses attentes, que ferait-il ? Me larguerait-il pour un ou une autre ? Montrerait-il nos photos et vidéos en trophées ?

Je me levais et à tâtons je trouvais la porte de la chambre et coup de bol, les toilettes sans devoir allumer le couloir.

La chasse d'eau avait dû le réveiller car en revenant je le trouvais à moitié endormi m'attendant. Il me serra dans ses bras marmonnant dans sa barbe. Son odeur et sa présence contre moi me rassurèrent et je finis par m'endormir.

Je fus réveillée par une bonne odeur de petit déjeuner, Valentin m'avait porté un plateau et attendait que je m'installe pour le mettre sur mes jambes.

- Tu es très attentionné, dis-je en baillant. Merci beaucoup.

- Je t'ai laissé dormir et j'ai même eu le temps de prendre une douche, tu es une vraie marmotte le week-end.

- Je dors pas assez en semaine, grommelais-je en croquant dans un toast beurré.

- Je ne comprends pas ! Dit-il innocemment.

- Fais ton malin pervers !

Il s'installa à côté de moi et me piqua un autre toast.

- Eh, c'est à moi !

- Je grille un gage, cela te va ?

- Vas-y sers toi alors !

- Cela me suffit, pour le moment. Tu as eu une nuit agitée, des mauvais rêves ?

- Si tu savais, toujours ma tête qui travaille la nuit Je me pose des questions, je me demande pourquoi ceci, pourquoi cela, etc. 

- Toujours à savoir pourquoi tu es dans mon lit, c'est cela ?

- En autre.

- Laisses toi aller, fais un peu de Yoga cela te détendrait !

- J'en ai déjà fait, je suis trop stressée, je n'y arrive pas.

Le plateau était presque vide à terre et Valentin se blottit contre moi. Il commença à me caresser et je me doutais de ce qui allait arriver.

Peu de temps après, il était à côté de moi et je lui faisais une fellation.

- Tu apprends vite petit cul, grogna-t-il en me caressant les cheveux

- J'ai de quoi être motivé, répondis-je en le branlant et lui tâtant les burnes.

En deux temps trois mouvements je n'eu plus rien sur le corps et il entreprit de m'aspirer les tétons qui durcirent aussitôt.

Soudain il eu une idée il alla chercher une règle quelque part et revint avec

- Oh, oh, tu vas faire quoi avec ça ?

- Rien de bien méchant juste mesurer

- Ta queue ? 

- Non ton clito, il est énorme, démesuré, on dirait une petite bite lorsque tu es excitée

- Arrêtes, je suis déjà assez mal à l'aise avec ce truc, ce n'est pas normal

Il revint vers moi et se mit à genoux devant moi, il me lécha la vulve et aspira mon clito, le suçant comme une sucette, comme une petite fellation, je gémissait lui tenant la tête.

Il se recula et prit la règle la posant à la base de mon engin et le fit tenir droit devant contre la graduation. 

- Punaise, presque 7 centimètres décalotté ! 

- C'est pas vrai !

- Tu n'as jamais mesuré ?

- J'en ai toujours eu honte, je suis affreuse avec ça, ça pendouille ou ça durci

- Et c'est super sensible aussi

A genoux il me fixa dans les yeux et se mit à me le branler entre deux doigts. Je gémis rapidement. Et nous fîmes l'amour tranquillement...

Sa salle de bain était XXL avec une douche à l'italienne et une baignoire à bulles, j'y passais une bonne heure dedans et fringante, je le retrouvais pour faire quelques courses pour le week-end. Nous déjeunâmes à la sauvette avec un sandwich et après avoir déposé les sacs, nous fîmes un tour dans un parc pas loin en amoureux.

- Je me sens bien avec toi. Me déclara-t-il

- Moi aussi

- J'ai toujours eu des relations courtes ou de sexe, uniques ou récurrents, ponctuelles ou plus ou moins chaotiques. Mais toi, tu ne cherches pas juste à baiser, tu veux une vie de couple et cela me rassure. Je peux être autre chose qu'un objet sexuel.

- Houaaaa ! 

Je ne savais pas quoi répondre et je l'embrassais.

Nous fîmes ensuite un détour au cinéma avec moults embrassades et quelques attouchements discrets. J'ai rien suivi du film.

Le soir arrivait déjà et il passa en cuisine pour préparer le dîner. Je flânais au salon et zieutais un peu partout, lasse, je pris mon téléphone, je parcourais mes emails, applications et surfais pour tuer le temps.

Je m'ennuyais je passais donc en cuisine attirée par l'odeur et je fus surprise de voir Valentin nue habillé d'un seul tablier.

- Je me demandais quand tu viendrais, me taquina-t-il 

Pour toute réponse je ronronnais et me calais dans son dos lui caressant les fesses.

- Sale vicieux !

Je passais ma main sous le tablier et trouvais un trique bien tendue.

- Triple sale vicieux !

- Recule, s'il te plait, je dois sortir un truc du four.

Sur ce, il se pencha outrageusement, sa bite tendant le tablier ridiculement, son cul pointé vers moi.

Il sortit un plateau alléchant de petits trucs feuilletés qui sentaient trop bons. 

- Faut que ça refroidisse, c'est trop chaud pour le moment

- Alors prenons un apéro lançais-je en me déshabillant devant lui.

Il ouvrit grand la bouche pris à son propre piège, lui qui pensait m'exciter que dans un sens.

J'atterris pliée en deux sur la table de la cuisine. Il était derrière moi à genoux en train de me bouffer la chatte. Trop excité il se releva et son gland me taquina le clito et s'enfonça en moi pas trop difficilement tellement il m'avait trempé de salive et de mes sécrétions. 

- Tu t'habitue à moi on dirait

- C'est parce que tu t'y prends bien, haletais-je déjà même si son membre m'emplissait vraiment, mais vraiment beaucoup

Il me caressa tendrement le dos, les épaules, la chute de reins et les fesses tout en allant et venant doucement en moi. 

- Deux fois dans la journée, tu vas te fatiguer, plaisantais-je la respiration forte

- Je suis excité par ton petit cul !

Je le sentis écarter mes fesses et jouer avec mon anus

- Non pas là aujourd'hui s'il te plait

Il ne répondit pas, peut-être frustré et enclencha la vitesse supérieure, la table grinça et rapidement il éjacula en moi.

Je repartis me laver mais il me demanda de rester nue. Cela me fit drôle de rester à poil, et lui aussi, tout en déjeunant. 

Il me demanda de rester là une fois le repas terminé. Après un certain temps il m'appela dans la chambre. Sur le lit il avait préparé des affaires pour moi. Ayant sensiblement la même taille et les mêmes formes, il avait pensé me préparer une tenue différente de ce que je portais d'habitude

- Je te laisse te changer, il y aussi du maquillage...

Il me laissa timidement, comme si j'allais refuser.

Lorsque je sortis de la chambre près de 45 minutes plus tard, je me sentais gauche et vulnérable. Valentin m'attendais habillé en beau gosse, son visage féminin tranchant toujours avec sa carrure mince, mais cela lui donnait un certain genre attendrissant.

- Houaaaa ! Fit-il seulement en me regardant avec des yeux brillants, je lui souris.

- Tourne-toi, ajouta-t-il

Je portais une robe à fleur et à volant s'arrêtant à mi-cuisse, je me sentais nu avec, dessous, des bas jarretière auto-collant couleur blanc rosâtres, aux pieds des ballerines rappelant les couleurs de la robe, dessous un string en dentelle et je portais tout de même un soutien-gorge légèrement rembourré qui me donnait un semblant de poitrine. J'étais subtilement maquillée et bien coiffée. J'admet que le tout n'était pas moche du tout et à son regard je lui plaisais grandement.

- Je me sens gauche avec tout ça !

- Tu es superbe, je... 

Il vient ajuster les bretelles fines de ma robe et lisser le tissu en profitant pour me caresser le dos.

- Hep, hep ! Pas touche, j'ai déjà mis un temps fou pour me saper et me maquiller !

- Tu est plus que ravissante, sortons maintenant

- Hein, où ça ?

- Je veux qu'on te regarde, je veux qu'on se retourne sur toi, je veux que tu te sentes belle.

- Je me sens mal surtout, je n'ai pas l'habitude de porter ça !

- C'est aussi pour te garder en souvenir, quelques shoot en amoureux

- Pour l'appli ?

- Surtout pour nous, ensuite c'est comme tu veux

Il m'avait même préparé un petit sac où je pouvais mettre mes affaires de première nécessité.

Je n'aimais pas me montrer sur le Net, j'étais surtout voyeuse et dernièrement j'étais plutôt occupée pour pratiquer cette option. 

Il faisait beau ce jour là, rapidement je vis que les regards se tournaient vers nous et surtout vers moi, je lui serrai vivement la main piquant des fards.

- On me regarde, je n'ai pas l'habitude

- Justement, tu es belle, montre-le !

- Je suis un garçon manqué, m'habiller comme ça, ce n'est pas moi

- Tu es une femme autant que je suis un homme, la dernière fois on était l'inverse, quel mal à cela ?

Je ne répondis pas, je me souvenais de cette "dernière fois", cela avait été aussi "ma première fois". Je rougis aussitôt.

Il m'emmena dans un grand jardin public et malgré la présence de Valentin, je me fis même draguer ouvertement par une bande de jeune en premier puis par un arabe lorsque nous fîmes la queue pour acheter une glace.

- Ce n'est pas possible, pourquoi ils font tout ça ?

- Je crois que tu ne te rends pas compte, il faudrait que tu te vois, attends, on va faire des poses shoot.

Durant l'heure suivante, il me fit prendre des pauses à différents endroits du parc avec son gros canon embarqué avec lui. Les gens nous regardaient, surtout moi et j'eu la honte de ma vie lorsqu'un coup de vent souleva ma jupe et que mes fesses furent en pleine ligne de mire d'un groupe d'étudiants qui sifflèrent à cette vue. Bas autocollant et string, petit cul musclé en prime, que demandait le peuple ?

- Allons-nous en, je suis mal à l'aise.

- Encore une ou deux et on y va 

J'abdiquais, boudant un peu et il continua à tourner autour de moi avec son appareil.

- Viens, allons par là, me susurra-t-il à l'oreille

- Mais il n'y a rien là-bas

- Suis-moi tu verras

Il m'emmena à travers la végétation et je supposais le pire. Au fond d'une série de hauts bambous il y avait un espace, pas très grand mais suffisant pour y être tous les deux.

- Attends, tu ne crois pas que je vais faire quoi que ce soit ici quand même !

- Il te reste un gage, me murmura-t-il à l'oreille

- Ah non, pas question, si quelqu'un nous voyait ?

- Si tu parles si fort, les gens vont nous entendre et vont se douter de quelque chose...

Il commença à me caresser et m'embrasser dans le cou et les oreilles. Je commençais à flancher.

- Tu es si belle, j'ai envie de toi dès que je t'ai vu comme ça !

Il me complimenta encore me faisant bouillir.

- Je t'en pris, j'ai trop peur, grognais-je alors qu'il me caressait la peau des fesses sous la jupe

- Justement, c'est ce qui est excitant

- Sale pervers, murmurais-je

- Tu es toute mouillée

Sa main était passée devant alors que je serrais les cuisses

- Ce n'est pas vrai, grognais-je

- Cela t'excite !

- Même pas vrai, ahhhh. 

Sa main me massait le clitoris qui était bien gonflé.

- On pourrait nous voir, me défendis-je serrant les jambes encore plus m'agrippant à lui

- Et alors ?

- Ils pourraient appeler la police

- J'en doute... 

Il me chatouilla encore plus mon intimité, j'étais effectivement trempée.

- Sors ma bite

Je le fixais les joues en feu et complètement apeurée, si quelqu'un arrivait !
Néanmoins je sortis son sexe et commençais à le masser.

- C'était pour ça la robe ? Articulais-je difficilement

- Entre autre, tu es trop belle dedans

- Sale pervers !

- Je ne suis pas le seul

Il me tourna et me plaqua contre le mur de brique qui fermait le jardin, je sentais son sexe frotter contre mes fesses.

- Oh, non pas ici...

Pour toute réponse, il repoussa mon string de côté, remonta le bas de la robe dans la petite ceinture fine, mettant mes fesses à l'air et son gland glissa frottant sur mes lèvres trempées entre mes jambes. Je fixais le sol, les bras à demi tendu m'appuyant contre le mur. le devant de ma robe se soulevait un peu à chaque fois que sa bite glissait vers l'avant, j'avais l'impression d'en avoir une aussi.

L'effet était étrange, il ne me baisait pas dedans mais dehors, chaque coup de rein frottait mes lèvres intimes et mon ventre bouillonna d'autant plus.

Il me tira un peu plus en arrière, remontant ma robe plus haut sur mon dos, et se glissa en moi jusqu'à la garde. Je réprimais un cri d'extase en me mordant la lèvre inférieure.
Il fit de petits mouvements pour ne pas faire trop de bruit mais j'avais du mal à me retenir et finit par gémir même la bouche fermée.

- Regarde sur ta droite, me murmura-t-il

Ce que je fis et laissais échapper un cri de surprise. Un homme était caché entre les bambous, pas complètement mais suffisamment pour ne pas être vu du chemin proche mais pas assez pour nous. il avait sorti son sexe et se branlait en nous regardant sans honte.

- Arrêtes, c'est dégueu, on s'en va, soufflais-je humiliée d'être en spectacle et crucifiée de peur.

- Tu sais ce que c'est ? C'est un voyeur, comme toi, il aime se rincer l'oeil !

- Je n'ai jamais fait... ça !

- Et avec tes voisins pendant tes vacances ?

Je lui avais raconté cette histoire et le fait de me montrer ici en plein parc, avec un voyeur en prime me fit tourner de la tête, mon bassin fut traversé d'un choc électrique et je flageolais sur mes jambes;

- Cela t'excite hein !

- Tu le savais sale pervers !

- Il y avait des chances en effet

- Ahhh, il nous regarde, il me regarde, remet ma robe sur mes fesses, j'ai honte. 

Au contraire il la leva plus haute afin de bien mettre en valeur mon cul blanc et mes bas jarretelle. Le mec se branla plus vite.

- Tu vas me le payer, sale pervers ! Eh, il s'approche, paniquais-je

En effet, l'homme nous avait vu le regarder et plus confiant, la distance entre-nous diminua

- T'inquiète il ne te fera rien...

- Je ne veux pas qu'il me voit comme ça, ahhhhh

Il me prit à grands coups de queue dans un clapotis gluant et de claquement de peau contre peau. 

L'homme n'était plus qu'à un mètre de moi maintenant. Je le voyais son visage rouge et luisant de sueur, sa bite, taille normale agitée par de grands coups de poignets. Du genre la quarantaine, avec calvitie, passe partout, le bon père de famille en somme.

- Branle-le, me murmura Valentin penché sur moi dans le creux de l'oreille

Ma tête devait être rouge pivoine, je me mordais au sang pour ne pas hurler de plaisir, de honte, de peur et de rage, quel sale pervers !

Pourquoi me demandait-il cela ? Par défi ou excitation ? Tenir une autre queue ne le rendrait-il pas jaloux ? Ces vidéos de baise à plusieurs revinrent dans ma tête, pour lui c'était peut-être une attitude normale, mais pour moi ? 

Déjà qu'en moins de 15 jours il m'avait dépucelé, transformé ma vie et rendu accro au sexe, enfin le sien, et maintenant il voulait que je branle cet inconnu ! En plus il était banal, un mec sûrement dérangé qui matait les autres, un voyeur de la pire espèce qui ne rêvait que d'une chose, participer... Un petit flashback de ma jeunesse me revint en mémoire, moi derrière la haie matant les voisins... M'avaient-ils vu au final ? Aurais-je osé aller plus en avant comme lui aujourd'hui ? Si oui que se serait-il passé ?

Au final, je lâchais le mur d'une main la tendis vers lui, les yeux brillants, la bouche ouverte haletante et la gorge réprimant mes cris habituels.

L'homme du comprendre et n'en demandait pas tant. Il lâcha son sexe et mes doigts entourèrent sa tige. Il était chaud mais bien moins membré que Valentin, en fait Valentin était hors norme, lui juste normal. Il se rapprocha encore plus et je me mis à le branler.
Valentin se déchaîna en moi, il était excité à n'en pas douter, cette branlette improvisée avec cet homme le mettait dans tous ses états.

L'inconnu soufflait fort et je sentis sa main calleuse toucher le bas de mon dos timidement puis me caresser.

Je jouis presque immédiatement au contact de cet étranger sur moi. C'était à la fois répugnant, repoussant et malgré la peur qui me serrait le ventre de la position et le lieu où nous étions, je me mis à gémir plus fort.

Secouée par Valentin, ma main branlait maintenant cet inconnu au regard brillant, il en aurait des souvenirs pour les semaines à venir, était-il marié ? Sa femme connaissait-elle ses penchants ?  De voyeuse j'étais devenue exhib et participatrice en plus ! Qu'est-ce qui m'arrivait bon sang ?

L'homme s'enhardit encore plus et osa me toucher les fesses, les hanches le ventre et Valentin qui ne disait rien, qui ne faisait rien pour l'en empêcher, quel salopard, quel connard, quel vicieux ! Puis il me caressa les cheveux, la joue, passa sa main sur mes lèvres entre-ouvertes, j'avais les yeux vitreux et la respiration haletante, je reprenais mon souffle difficilement comme pendant un cross.

Il prit l'initiative, il se rapprocha et son gland toucha mon menton, non il n'oserait tout de même pas ! Pourtant je le tenais toujours et j'aurai pu le repousser, je ne comprenais pas pourquoi je n'arrivais plus à me contrôler c'était comme si je n'étais plus moi, ce n'était plus mon corps, j'étais ailleurs, debout, à côté, spectatrice de ce spectacle dégradant, honteux et pervers.

Valentin m'empala d'un grand coup et ne bougea plus me tenant pas les hanches, ses mains crispées sur ma chair, comme s'il attendait de voir la suite, je tremblais, à moitié nue dans ce bois, j'avais l'impression d'être une pute qui se faisait tringler pas ses clients. Jamais auparavant je n'aurai pu imaginer cette scène, à part dans des rêves érotiques.

Je lâchais le sexe de l'homme me retenant au mur et sa bite trouva ma bouche ouverte haletante... Et il osa avancer son bassin plus en avant, glissant timidement son sexe entre mes lèvres.

Je fermais les yeux, j'étais honteuse. Comme je ne réagissais pas, il poussa plus loin, m'emplissant la bouche. Puis il me prit la tête à deux mains et fit aller et venir sa bite entre mes lèvres closes.

J'avais de la salive qui coulait autour de son membre, je l'entendais gémir, il était dur et plus petit que Valentin et c'était donc plus facile pour le pomper. 

Mais j'avais l'impression d'être un jouet sexuel, on se servait de moi pour le plaisir. 

Valentin me caressa le dos puis toujours sans bouger, me branla par-dessous. Je gémis la bouche pleine. Pui il se remit à me baiser et je fus prise dans un déluge de jouissance.

Au moins je ne pouvais plus crier et au lieu de me forcer la bouche c'était moi maintenant qui pompait le mec avec de grands mouvements de têtes, je lui léchais même le gland, il avait une sacré odeur mais je n'en avais cure, je voulais du sexe et aussi en donner.

Mon gros clito était sur le point d'éclater sous la branlette à deux doigts de Valentin, sans compter ses petits coups de reins rapides. Je n'en pouvais plus. Je rejetais la bite de l'homme luisante de salive et je gémis un peu trop fort, mon chéri venait de se vider en moi.

Je branlais l'inconnu rapidement et dirigeais sa queue vers le mur, il me caressait la tête, le dos, les fesses, je sentis ses doigts s'égarer plus bas, non pas pour toi ici, pensais-je, et il finit par éjaculer de longs traits de sperme crémeux contre la brique.

Il se rajusta rapidement, peut-être honteux de ce qu'il venait de faire et disparu presque aussi vite qu'il était venu. Moi, il me fallut bien plus de temps pour me remettre de mes émotions.

Maintenant que nous étions repus, un silence gênant s'installa. Je lui en voulais de m'avoir poussé à faire l'amour ici et encore plus du reste...

Jamais je ne l'aurai fait en des temps normaux. En plus son sperme coulait entre mes jambes et ce n'est pas avec un string que je pouvais le retenir, je du me nettoyer le regard mauvais avec des mouchoirs en papier, regardant de partout autour de moi. 

Je sentais aussi l'odeur de ce voyeur et j'avais l'impression qu'il était toujours dans ma bouche, merde, ce n'était pas possible, j'avais branlé et pompé un inconnu, moi !

- Ne dis pas un mot, grognais-je furieuse les jambes écartées, la jupe rabattue ma main m'essuyant. Tu n'es qu'un sale pervers, tu aurais pu éviter cela, mais non monsieur était excité, putain de merde Valentin, j'ai sucé la bite d'un putain de pervers comme toi !
Il n'en menait pas large en effet et vu sa tête je crois bien qu'il avait l'impression que j'allais le planter là à jamais. J'étais furieuse, le coeur battant à rompre, mais il avait l'air d'un chien battu. Mon coeur se serra, je jetais le mouchoir et me jetais sur lui pour l'embrasser.

- Val, JE T'AIME ! Mais tu es un putain de connard de pervers de mes deux !

Il me regarda avec des yeux grands comme des soucoupes

- Je te kiffe, je t'aime toi, ta queue, ton corps, ton coeur, ton cerveau de sale pervers, ça fait boum dans ma poitrine quand tu n'es pas mal, j'en ai mal au ventre, mais merde, on aurait pu se faire choper, des gamins auraient pu arriver au lieu de ce mec, as-tu réfléchi à cela au lieu de penser qu'avec ta bite ?

Il secoua la tête, le visage blême. Il ne semblait n'avoir retenu qu'une seule chose

- Tu... tu m'aimes ?

- Oui espèce de crétin congénital, pratiquement dès qu'on a été ensemble, ce fut le coup de foudre ! Tu crois que je me serai laissé faire depuis sinon ? Tu crois que j'aurai ouvert les cuisses au premier venu après juste quelques soirées excitantes ?

- Je, non... Moi aussi je t'aime souffla-t-il les joues rouges d'une petite voix

Mon coeur se mit à battre follement

- Répètes ?

- JE T'AIME répéta-t-il

J'oubliais presque le pervers qui s'était servi de ma bouche, et nos lèvres se soudèrent dans un baiser passionné.

Je n'osais pas lui en vouloir plus, mais j'étais encore furieuse ! Il m'avait en quelque sorte offerte à ce voyeur pervers. Et moi je ne pouvais nier que je l'avais sucé de mon plein gré comme un vrai furie du sexe. Intérieurement ma petite voix démoniaque avait aimé cela, avait aimé que mon corps plaise aux hommes, que j'avais pu donner envie à un inconnu. Mais j'étais honteuse, ça c'était mon autre petite voix qui m'insultait copieusement... Qu'est-ce que j'étais en train de devenir ?

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