Le majordome (2)

Comme je vous l’ai raconté dans la première partie, par suite du décès soudain de mon père j’ai repris l’entreprise et suis devenu propriétaire / locataire d’une grosse maison qu’il avait fait construire, seul, gérer l’entreprise plus m’occuper de la maison s’avéra très vite impossible, d’où l’arrivée de Max mon majordome

Proposée le 3/02/2021 par jpbe01

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Thème: Jeu érotique
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Après l’épisode de la douche (voir première partie) Max me réservait encore beaucoup de surprises voici la seconde.

J’avais pour habitude dés que je rentrais de passer la tête à la cuisine pour signaler mon retour par un ‘coucou je suis là’ cette fois le ‘là’ n’est pas sorti de ma bouche devant ses fourneaux se tenait Max vêtu de son grand tablier de cuistot mais entièrement nu dessous, comme il me tournait le dos je pouvais admirer son superbe cul qui me faisait terriblement envie, il se tourna vers moi en s’approchant je vis que le tabler était tendu style chapiteau avec en son centre un mat bien dressé.

Il m’embrassa, et commença à m’enlever mes vêtements

Prends-moi, encule-moi bien à fond, je te veux en moi sentir ton foutre me tapisser l’intérieur.

J’étais abasourdis, lui toujours si soft, jamais un juron ou un gros mot, voilà qu’il me balançait un jargon des plus cru, mais contrairement à ce que j’aurais pensé cela m’excitait encore plus, je me retrouvai presque nu je devais encore me débarrasser de mon pantalon et de mon boxer, j’étais évidemment bien raide, Max étala son tablier sur la table, il se coucha à moitié, sur le ventre, son cul bien mis en valeur et offert.

Vas y défonce moi, je suis à toi, crache tout ton jus.

Mais je n’ai pas de lubrifiant.

Prend l’huile d’olive elle est extra vierge.

Je lui enduisis sa rondelle et m’en mis sur un doigt que j’enfonçai délicatement dans son trou, il se tenait à la table, je voyais une moitié de son visage un peu crispé.

Comme tout avait l’air de bien se passer je mis deux doigts là une légère grimace de sa part.

Tu as mal ? Non vas-y bien à fond svp.

Je me mis donc en position et commençai à introduire mon sexe lentement, Max était étroit il n’avait pas dû se faire sodomiser souvent ou même jamais, il grimaçait de plus en plus, mais comme c’était son souhait je m’enfonçai à fond et commençait mon mouvement de va et viens la grimace disparaissait, il gémissait doucement, toujours agrippé à la table.

Ça ne va pas trop mal ? Non c’est bon t’arrête pas vas-y plus fort, mon excitation était à son comble et j’y allai franco, je sentais la jouissance arriver.

Je vais venir, je vais jouir !!!! Ho oui donne tout, viens, viens.
Sur quoi je tapissai le cul de max de mon foutre, je soufflais et râlais comme pas possible, lui grognais cela avait dut lui plaire.

Une fois redescendus sur terre, je le fis asseoir sur son tablier.

A moi de te faire jouir je veux gouter ton jus, chouette dit-il.

Je commençai donc à lui faire la plus belle pipe de sa vie, ma langue passant sur la petite fente de son gland, ensuite sur le frein de son prépuce, cela le rendait fou, il avait la tête rejetée en arrière et poussait des petits cris.
Ho oui c’est bon, ne t’arrête surtout pas, putain je n’ai jamais eu aussi bon.
Avec une main je le branlais doucement appuyant bien sur sa tige, je la sentais frémir et palpiter sous mes doigts.

Je vais cracher, je vais cracher je vais craaaaaaaaaaaaa haaaaaaaaaaaaaaaa ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Je sentis un jet de foutre atterrir au fond de ma gorge suivit d’un second pas besoins d’avaler c’était déjà descendus, les autres jets restèrent dans ma bouche j’avalai dès que j’eus lâcher son sexe léchant son gland pour ne rien perdre.

Après tout cela une douche s’imposait, mais chacun chez soi, il roula le tablier et le mit dans le bac à linges, il passa devant moi, me donnant au passage un petit baiser, je voyais à nouveau son magnifique cul qui maintenant était à moi et ses cuisses encore recouvertes de mon sperme.

Pour une fois j’avais opté pour le diner une tenue décontractée pantalon de jogging er T-shirt blanc, et j’avais décidé de ne pas porter de sous-vêtements.

Max toujours très élégant avait lui opté pour une soirée cool, sans cravate, ni petit gilet ?

Après le souper nous nous sommes retrouvés au salon comma d’habitude, je ne pouvais m’empêcher de regarder la bosse que faisait son sexe dans son pantalon bandait-il un peu ?

Je sentais pour ma part ma queue se dresser doucement mais grâce au jogging rien de visible.

Soudain Max se levât vint vers moi et colla sa bouche sur la mienne en un baiser fougueux, en même temps il faisait glisser mon pantalon il fut surpris de me voir nu dessous.

Whaouuuu super, génial, tu as voulu gouter mon suc tout à l’heure à mon tour de gouter le tiens.

J’essayais de le caresser mais il se dérobait chaque fois pourtant en voyant le volume sa braguette il devait bander comme un âne.
Il me suça parfaitement, je voyais que de l’autre main il se caressait, c’était à la fois frustrant et très excitant.

Fais gaffe je vais cracher, hum hum dit il quelques secondes après poussant un grand râle je lui envoyai ma sauce dans sa bouche.

Il soupirât très fort ses yeux fermés, c’est la que je vis apparaitre une grande tache au niveau de sa braguette lui aussi avait jouit.

Pourquoi tu ne m’as pas laissé te branler ? Je voulais que ce soit toi et rien que toi qui jouisse par mes caresses, mais je n’ai pas pu tenir en me touchant et en te voyant jouir j’ai moi aussi jouis excuse-moi.

Pas de problèmes, cela m’excitait de te voir caresser ta bosse.

Sur quoi je lui pris la tête entre mes mains et l’embrassai, sa bouche avait encore le gout de mon sperme.

Après toutes ces émotions chacun gagnât sa chambre, impossible de m’endormir tout de suite, je revivais toutes ces scènes, je bandais, mais je ne me masturbai pas.

La suite de nos aventures sexuelles bientôt.

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