Nous nous sommes retrouvés avec cet ami de longue date qui était dans notre collimateur... au moment propice, nous nous sommes lâchés . Ce fut un délice !
Proposée le 31/12/2020 par Porcorosso
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
« Elle trinque pas avec nous ? », me demanda l'Ami
« Si, elle termine sa douche et elle nous rejoint », lui dis-je.
A ce moment, la porte de la salle de bain, visible de la table autour de laquelle nous étions assis, s'ouvrit en dégageant un nuage de vapeur. Elle apparut dans le prolongement du couloir. La lumière tamisée laissait apparaître sa silhouette. Elle se mit sous la lumière et tout en continuant de se sécher les cheveux, nous envoya un sourire. Elle avait enfilé cette tunique légère, la bleue turquoise, qui laissait voir sa cuisse jusqu'à la hanche par l’échancrure. Un décolleté plongeant révélait le contour intérieur de ses seins. Elle posa la serviette qui lui avait servi pour se sécher les cheveux et se dirigea lentement vers nous. Elle nous captiva instantanément... son regard, volontairement dans l'innocence et ce corps qui semblait flotter dans une grâce presque palpable.
L'Ami secoua la tête, comme s' il revenait a la réalité. Il me regarda un peu gêné et me resservit, comme pour changer de sujet. Je lui souris. Une douce chaleur envahit mon corps et je vis que l'Ami, lui aussi n'était pas insensible. L'ambiance avait ce 'je ne sais quoi ' d’électrique.
« Je prendrais bien un petit verre de rhum «, lança t-elle.
Elle passa derrière la chaise de l'Ami pour atteindre le bas du buffet. Elle en ouvrit la porte et s'accroupit au pied de la chaise pour atteindre le verre. Je remarquai l'Ami qui baissa le regard dans le décolleté, les deux jolis seins à présent étaient visibles. Elle savait qu'il la matait. Elle posa sa main sur son genou, comme pour ne pas perdre l’équilibre et prit le verre. Elle s'appuya sur l'Ami pour se relever. Apposant une légère pression sur la cuisse. L'Ami la regarda se lever, ne décochant pas le regard de sa poitrine. Il observa la main qui lui pressait délicatement le quadriceps. Puis, tourna la tête pour la voir repasser derrière sa chaise. Le contour de ses fesses se dessinaient dans le tissu léger et moulant. Elle laissa trainer sa main remontant le long du bras de l'Ami, puis de son épaule. Il devint écarlate, tentant de cacher ses émotions, sans réelle conviction. Elle passa derrière moi et fit de même, finissant sa caresse dans mon cou. Elle m'embrassa derrière l'oreille, ce qui eut pour effet de provoquer un frisson qui me parcourut tout le corps. Elle s'assit au coin de la table, face à nous, se servit un verre et se cala dans la chaise. Nous, sans dire un mot , nous admirions la scène, tous deux dans un état de gène, mais aussi d'excitation.
Une discussion informelle reprit entre nous trois. Des regards s’échangeaient. Un autre langage, sous-jacent, commençait à prendre le dessus sur le verbe. Je la regardais, ses cheveux à peine secs, ses yeux, sa langue qui passait sur ses lèvres après chaque gorgée de rhum. Elle sentait que je la regardais et tout en continuant de parler avec l'Ami, elle monta ses talons sur le premier barreau des pieds de la chaise et entrouvrit les cuisses légèrement. Sans que son interlocuteur ne s’aperçût de rien, elle me laissa voir sa fente toute lisse. Quelques secondes plus tard, elle reprit sa posture initiale.
Elle se releva, prétextant d'aller chercher le citron. Elle repassa derrière moi, je sentis alors ses seins frottant sur ma nuque. Elle fit de même à L'Ami. Celui-ci tourna, une fois encore la tête pour la regarder se diriger vers le frigo. Je l'imitai. J'admirais comme lui l’échancrure de sa tunique qui remontait jusqu'à la hanche, laissant découvrir sa cuisse et le galbe de sa fesse gauche. Je sentais l’émotion m'envahir le bas du ventre et cette douce chaleur se répandre dans mon sexe. Nos regards se croisèrent avec l'Ami. C’était entendu, le langage du corps avait pris le dessus sur l’oralité. Seule une musique suave s’échappant de la radio et une lumière tamisée chaude, complétaient cette ambiance dense d'excitation.
Je me levai à mon tour me dirigeai vers l’évier de la cuisine. Elle croisa mon chemin pour aller rincer le citron. Je m'approchai d'elle dans son dos et la saisis par la taille. Elle posa le citron, se redressa et vint se coller à moi. Je pus sentir ma queue se presser contre ses fesses... sentir sa raie. En pivotant, nous nous retrouvâmes face à l'Ami. Je l'enserrai dans mes bras, collée contre moi. Je pris appui avec le bas de mon dos contre le bord du plan de travail. Elle se laissa aller un peu en arrière et se reposa sur moi. L'Ami observait, sirotant son verre. Elle mit les mains dans dos et descendit jusqu'à empoigner ma queue raidie par le désir et la chaleur de son cul. Je lui caressais les seins par le décolleté de sa tunique. Nous sentions à ce moment l'ivresse de la transgression et de l'inconnu. L’arrière de sa tête vint se poser sur mon épaule. Mes mains descendirent le long de ses hanches, passèrent sur le haut de ses jambes, jusqu'à la limite du tissu. Elles le remontèrent en même temps qu'elles remontaient le long des cuisses par l’intérieur. Je dévoilai alors à l'Ami son sexe lisse, laissant apparaître ses lèvres régulières et gonflées par le plaisir de la provocation. Ce dernier se leva et se dirigea lentement vers nous. Je sentis les doigts serrer mon sexe et commencer à le masser. L'Ami posa un genou a terre devant elle. Elle respirait de façon plus intense à présent, sentant des mains étrangères à son corps lui presser l’arrière de ses cuisses et ce visage se rapprochant de son intimité Elle lâcha ma queue. Ses mains glissèrent sur ses fesses, ses hanches et ses cuisses pour atteindre sa chatte, qu'elle entrouvrit avec ses doigts. Elle avança son bassin, comme pour mieux offrir le fruit délicieux à l'Ami. Je tenais le tissu sous ses seins, sentant ces derniers peser sur mes mains et j'observais la scène. L'Ami rapprocha son visage d'avantage, elle lui saisit la tête et l’enfonça entre ses cuisses. Je ne voyais que le ventre de ma chérie et ne pus qu'imaginer ce qui se déroulait. Sa respiration devint encore plus saccadée, surement au fur et à mesure que la langue passait sur les zones sensibles. Ses doigts étaient entre-mêlés dans les cheveux de l'Ami, elle lui tenait la tête comme pour éviter toute relâche et le maintenir au plus profond. Je décidai alors d’ôter complètement la tunique, en faisant remonter lentement le tissu. Ses seins se dévoilèrent Elle lâcha la tête de l'Ami pour sortir les bras des manches, je fis tomber le vêtement, me libérant ainsi les mains. Je vis le visage de l'ami se relever et apparaître, la bouche luisante de nectar, pour contempler ce corps qui lui était offert. Elle se retourna et m'embrassa à pleine bouche... son souffle était chaud, ses lèvres moites portaient la tiédeur du désir.
Elle était totalement nue et se pressait contre moi. L'Ami lui caressa alors le dos, les hanches, les fesses et moi je descendis une mains entre ses cuisses dans la moiteur de sa chatte. Mes doigts explorèrent brièvement le sillon ouvert de sa fente... son 'miel' les lubrifiait et ils n'eurent aucune difficulté a trouver son trou, qui les accepta sans retenue.
D'un mouvement soudain, elle se détacha de notre emprise... comme pour reprendre le dessus. L'Ami et moi, nous ne bougeâmes pas. Elle m’ôta mon tee-shirt et mon pantalon, libérant ma queue de son confinement. Elle me laissa adossé au plan de travail, immobile, pour faire de même avec l'Ami. J'observais ma chérie défaire un à un les boutons de sa chemise. Elle fit glisser le vêtement sur les épaules larges, révélant un torse sculpté et imberbe. L'Ami se cala comme moi contre le plan de travail lorsqu'elle commença a défaire la ceinture de cuir qui maintenait son jean. Elle fit glisser pantalon et caleçon en même temps et accompagnant le mouvement, elle s'agenouilla. Face à face avec la queue ardente, elle s'en approcha, posa ses lèvres sur le gland violacé par l’érotisme de la situation et n'y fit un petit baiser.
Elle se releva et se recula pour mieux nous regarder, s’arrêtant sur nos queues dressées, celle de l'Ami pointant hors d'une épaisse toison. Nous étions volontairement à sa merci, attendant fébrilement sa prochaine action. Elle se rapprocha de nous, presque nous toisant, se baissa et prit ma bite directement dans sa bouche. J'eus l'impression que mon gland fondait littéralement alors qu'elle commençait a me sucer. Je sentais des spasmes dans ma queue, à chacun de ses va et viens. Elle empoigna le second sexe et le branla. L'Ami se raidit de plaisir. Je me retins... trop tôt, bien trop tôt...
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