Chaude soirée à Plaka, célèbre quartier touristique d'Athènes. Ma femme et moi avions décidé d'y aller dîner en amoureux. La soirée, pour notre plus grand plaisir, ne se passa pas exactement comme prévue...
Proposée le 23/11/2020 par Michka
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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Athènes le 30 juin…
C’est le soir, il fait beau, nous décidons d’aller dîner en terrasse dans notre petite taverne favorite à Plaka. Arrivés, nous choisissons une table d’où nous pouvons voir l’Acropole illuminée. L’air est léger et sent le jasmin et c’est de joyeuse humeur que nous commandons le repas. Les hors d’œuvres arrivent lorsque, dans mon champ de vision périphérique, je note ce jeune homme, seul, qui jette de fréquents regards dans notre direction. Dans la direction de Franceska pour être plus précis. Il a l’air plutôt grand, l’œil bleu-vert, le menton volontaire, des mains de pianiste aux longs doigts spatulés, terminés par des ongles bien entretenus. Il tente de lire une sorte de guide mais visiblement son esprit est ailleurs, à notre table pour l’instant.
Franceska a sentie, bien sur, cette attention. Elle me regarde d’un air interrogateur. Le message est instantanement compris, j’acquiesce d’un battement de paupières. Je me lève et demande en anglais au jeune homme s’il ne voudrait pas se joindre à nous. « Nous pourrions, ainsi, vous donner des renseignements sur la ville, de ceux que vous ne trouverez pas dans votre guide ».
Sans hésitation il se dresse à son tour et vient s’asseoir à côté de Francoise. Au début, il est un peu timide mais nettement plus détendu une demi-heure plus tard, après l’absorption de quelques verres de vin blanc. La conversation, entrecoupée de rires, roule sur de multiples sujets. Il a de l’humour, de cet humour typiquement britannique que j’adore. Il est anglais, vous l’avez deviné.
Il est minuit. Nous lui proposons de le ramener à son hôtel mais avant d’arriver à la voiture, changement de programme. Nous l’invitons à boire un dernier verre à la maison. Franceska tient à lui montrer son jardin dont elle est si fière. En route…
Nous sommes dans le jardin. Encore un peu de vin blanc ? Propose Franceska qui, entre temps a changé de tenue et se trouve maintenant dans une longue et fine robe d’intérieur bleu pâle au décolleté largement échancrée. Quand elle se penche pour servir Richard, on distingue ses seins lourds et appétissants. Il n’en perd pas une miette d’ailleurs mais n’a pas l’air trop gêné.
Il est maintenant une heure trente.
Sous prétexte de ne pas gêner les voisins, je suggère de passer au salon pour écouter de la musique. Nous prenons nos verres et nous dirigeons vers celui-ci.
La conversation avait auparavant, lentement mais sûrement, glissée vers le sexe. Aussi, quand Franceska prend place sur le canapé, qu’elle remonte sa robe très haut sur ses cuisses, arguant de la chaleur, Richard a les mains qui tremblent légèrement et son regard fixe intensément tous les charmes à peine voilés de ma Franceska. La conversation devient encore plus intime. Parfois sa main gauche vient se poser sur sa braguette. Il doit commencer à bander sérieusement.
Nous parlons de clitoridiennes et de vaginales, de point G, de fellations et de cunnilingus en nous efforçant de paraître léger mais l’ambiance est chargée d’électricité, les ondes mentales s’entrecroisent, s’entrechoquent. Il va falloir passer à la vitesse supérieure.
Je viens m’asseoir à côté de Franceska et remonte sa robe un peu plus haut, dégageant ainsi son superbe mont de Vénus bombés et couverte d’une riche toison. Elle écarte un peu les cuisses. Nous pouvons voir les grandes lèvres, légèrement humides, de sa vulve. Richard vient s’asseoir, lui aussi à côté de Franceska, si bien qu’elle se trouve maintenant entre nous deux.
Franceska prend la main droite de Richard et la dirige vers son
Entre cuisses.
Il lui caresse le con doucement, délicatement. Mon aimée se penche et tente de déboucler la ceinture de Richard. Elle y arrive enfin et dans le même mouvement fait lentement glisser la fermeture éclair. Il porte des caleçons et Franceska, non sans peine, fait jaillir du tissu une superbe verge, ni trop longue ni trop épaisse, non circoncise, au gland violacé d’où s’écoule un liquide transparent.
Dans le même temps, je me suis entièrement déshabillé et mon sexe, dressé, oscille spasmodiquement. Je bois littéralement la scène du regard.
Franceska s’est penché et recueille du bout de sa langue épointée le jus de la queue tendue vers sa face. Mais n’allons pas trop vite. Ne vas pas trop vite, mon âme…
Elle se rejette en arrière et laisse Richard se déshabiller, ce qu’il fait avec célérité.
J’enlève sa robe à Franceska et lui caresse les seins. Je prend l’un de ses tétons dans la bouche et fait de petits cercles avec ma langue sur son bout érigé.
Richard Introduit un doigt prudent dans le vagin de mon amante puis il s’agenouille entre les cuisses maintenant largement écartées. Pour l’aider, de mon pouce et de mon index, j’écarte les grandes lèvres et expose le con de mon aimée dans toute sa splendeur. Richard y pose une bouche avide et commence à laper les humeurs qui s’en écoulent. De sa main libre il se masturbe.
Nous changeons lentement de position. Franceska est maintenant allongée sur le canapé, une cuisse relevée et posée sur le cou de Richard qui lui fouille le sexe avec ardeur. Je suis à la tête de mon amour, elle la penche vers moi, les yeux fermés, tout à son plaisir et j’introduis mon gland entre ses lèvres entrouvertes. Elle suce et tète de toute son âme.
Mais Richard veut d’autres choses. Il remonte le long du ventre de Franceska, prend appui sur ses avant bras et lentement pénètre le con mouillé de ma femme. Il a maintenant le visage à hauteur de ma bite et de la bouche où elle va et vient. Tout naturellement ma queue sort de son doux fourreau et Richard me reçoit entre ses lèvres sous le regard fiévreux de Franceska.
Nouveaux changement de positions. Franceska se met en levrette. Je me glisse sous elle de telle façon à me trouver ainsi dans la position du 69. Franceska, mon aimée, me lèche sur toute la longueur de la verge, me titille le méat et aspire mon frein de prépuce, mais doucement, elle ne veut pas que je jouisse. Cependant Richard a introduit de nouveau son pénis dans la vulve bien ouverte. Je le vois, au dessus de moi, qui la pénètre, soit avec force soit lentement. Parfois elle se dégage entièrement, alors je la prend de mes doigts et la fait glisser toute humide des sécrétions de ma femme/amante, dans ma bouche où je
savoure avec délice ces liqueurs, puis je redirige la bite frémissante dans ce con tant aimé.
Je vois aussi les mains de Richard. Elles malaxent les seins de Franceska, ou lui caressent les fesses.
Puis Franceska se dégage. C’est à son tour de profiter de ce membre des yeux et de la bouche. Richard est debout, le corps arqué en arrière. Franceska saisit le pénis à pleine main, de l’autre elle soupèse les testicules de celui qui est maintenant notre amant. Elle le branle lentement, fait glisser ses lèvres sur la pointe du gland puis l’enfourne profondément jusqu’à la racine, retourne au gland qu’elle lèche avec le plat de la langue. Elle l’engloutit de nouveau et aspire dans un mouvement de va et vient. La bite grossit sous ces assauts. Halte !
Moi, je suis à genoux entre les cuisses moites de ma femme amoureuse et je suce et lèche à petits coups de langues précis son délicieux clitoris sous son capuchon de chair. De temps en temps je fais pénétrer ma langue au plus profond de son vagin en émoi.
L’émotion est à son comble. Je change de place avec Richard avec cette différence que maintenant elle est à cheval sur lui, le dos contre sa poitrine, les jambes repliées sous les cuisses, arquée en arrière. Il fait aller sa verge en la soutenant par les hanches. La vulve de Franceska est totalement exposée à ma vue. Le gland de Richard doit frotter sur le fameux point G. A genoux, je lèche le clitoris de mon amour et lèche aussi le membre qui la pénètre et les testicules gonflés. Parfois, dans cette position la verge s’échappe de son fourreau et ainsi je peux aussi l’engouffrer dans ma bouche puis la remettre dans le vagin suintant. Franceska pousse de petits gémissements, son souffle est plus court, presque haletant…
Nous sommes tous les trois au bord de l’orgasme.
Richard se retire. Il veut se voir, nous voir jouir.
Il la prend par devant, sa bite se meut en longues plongées. Je met mon index imbibé de salive sur le clito de ma femme aimée et par de petits mouvements circulaires l’amène à un orgasme dévastateur où tout son corps se cabre, rue, se tord et s’effondre enfin libéré.
Richard sort sa verge de la tendre étreinte, se met à califourchon sur le torse de ma belle. Je prends place à côté de lui et, presque simultanément, nous déchargeons de longs jets de sperme sur le visage, la langue, la bouche, les seins de ma reine qui avale, lèche, aspire, se masse le corps de notre foutre.
Nous nous étendons épuisés et heureux.
Nous ne reverrons pas Richard. Il est reparti vers d’autres horizons que je lui souhaite aussi riche en émotions.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Plaisir partagé certes tout en prenant ses précautions, les capotes ne sont pas 1 option !!!
Posté le 25/11/2020
Lolo67
Ah ! le candaulisme à ceci de particulier qui ne ressemble à aucun autre rapport à trois. Quel plaisir de partager la jouissance de sa partenaire avec un autre homme !
Posté le 24/11/2020
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