Michèle et moi répondons à l'invitation de Claude et sa belle-fille. Je me doutais bien que ce n'était pas sans arrière pensée. Ces trois là se sont mises d'accord, je suis tombé dans un piège. A peine le repas terminé, je comprends que leur faim n'est pas assouvie. Et la proie, c'est moi...
Proposée le 2/11/2020 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
LE HAREM DE PATRICK
8ème EPISODE
Une belle bite pour trois salopes.
Une femme OK, 2 femmes je veux bien, mais 3 femmes... il faut assurer!
Ce jour là, Claude et la fille de son deuxième mari, Claire, nous ont invités à déjeuner, Michèle et moi. Enfin…Je crois que ce n'est pas vraiment pour ça. Vous voyez ce que je veux dire!
Nous passons un bon moment à table. Claude et Claire ayant terminées de desservir nous rejoignent. Claude m’embrasse carrément sur la bouche en guise de dessert.
Claire s’assois près de moi et me murmure:
- Patrick, je veux mon dessert, je peux lécher ton bâton de glace avec ses deux boules? Et se mettant sous la table elle s'agenouille entre mes jambes, sort ma bite et se l’enfourne dans la bouche.
Mon gémissement attire aussitôt l'attention de Michèle et Claude s'exclame en riant.
- Claire tu es une goinfre et quel manque de tact!
- Ne l’écoute pas Claire, c'est un mets de choix que tu as dans la bouche. Profites-en mais pense aussi à nous en laisser. Lui rétorque Michèle.
- Mon dieu Claude, ta belle-fille sait comment déguster ce gros bâton de glace. Tu as du lui donner des cours ! Regarde-là comment elle titille le gland de sa grosse bite.
- Pourtant Claire n’a jamais été friande de glace mais la verge de Patrick ressemble plus par sa taille à une saucisse de Morteau et elle aime bien les spécialités du Jura.
Elles continuent de parler pendant dix minutes comme si Claire n’était pas là, en train de me tailler une pipe magistrale. J’essaye de suivre le fil de leur conversation.
- Claire, tu veux du gâteau? Demande Claude.
Brièvement, Claire abandonne ma queue turgescente pour rétorquer.
- Non merci, j'ai déjà pris un gros morceau !
Et va pour se replonger sur ma bite comme une affamée quand soudain je m'écrie.
- Oooooooohh... la salope ! Je jouiiiiiiiisss ! AAAaaaHHHHhhhh... Je te rajoute une bonne dose de crème fouettée sur le gâteau!
Claire approche sa bouche juste à temps pour recevoir un premier jet puissant de sperme qui vient éclabousser son palais. Les jets suivants, giclent sur ses joues, son front, dans ses cheveux et même atterrissent sur la table, des filets de foutre coulent le long de son menton. Elle récupère ce qu'elle peut avec ses doigts et avale avec bonheur ma crème en gémissant :
- C'est pas possible, il en a mis plein la table! Rigole Claude.
- Huuuummm... .. Miaaamm..grogne Claire…
Satisfaite, elle se redresse pour me rouler un énorme patin. Sa bouche sent le foutre. Rompant le baiser, elle m'informe en souriant :
- Merci Patrick, c'était merveilleux. J'ai tellement distendu mes mâchoires que j'ai du mal à parler... Waouh ! La journée commence bien!
Claude récupère le foutre sur la table et le porte à sa bouche puis embrasse Claire et me regardant affaissé sur ma chaise avec ma bite en l’air à peine débandée sourit en remarquant :
- Claire, on te remercie pour les préliminaires. C’est terriblement érotique de vous regarder.
Nous nous déshabillons mutuellement puis après m'avoir fait rassoir elle passe une jambe de chaque coté de mes cuisses, guide ma bite dans sa chatte et se laisse glisser dessus sur toute sa longueur. Je ne peux m'empêcher de gémir. Je sens ma queue de nouveau grossir à l'intérieur de son vagin pour mieux remplir sa gaine de velours. Claude commence à monter et descendre sur moi, ses deux mains sur ma poitrine et ses ongles s'enfonçant dans ma peau tout en parlant à Michèle de l'air du temps.
La chatte de Claude est vraiment un gant de velours humide qui encapsule mon sexe dans une chaleur ardente. Elle rebondit de haut en bas, ses seins affaissés par leur poids roulent et se balancent follement. Je la laisse faire et je reste juste dans l'axe de sa chatte chaude et mouillée si incroyablement douce.
Pendant plusieurs minutes, elle se fait du bien avec ma queue bien plantée dans son vagin avant de soupirer :
- Oh mon Dieu qu’est que c’est bonnnn...
Ma teub bat l’intérieur de son vagin et elle commence à crier :
- Oui, fais-moi jouir. Inonde-moi. Oh merde, ça y est... je jouiiiisssssss! Oh mon Dieu, Patrick accompagne-moi dans mon orgasme. Oh je jouiiiis si foooort, oh Patrick qu’est ce que tu es gros! Ooooohhhh qu’est ce que c’est boooonnnn!
Elle s'effondre, seulement retenue par ma bite bien emboitée dans sa chatte. Il lui faut environ cinq minutes pour qu'elle redescende sur terre, elle se lève lentement se retirant progressivement du pieu sur lequel elle s’est empalé pour son seul plaisir. Je n'ai toujours pas éjaculé et mon nœud est resté bien raide.
Un flot de cyprine coule sur ma bite et mes cuisses. Tandis que Michèle se jette dans mon entrejambe pour lécher et happer goulûment le jus qui s’est écoulé. Je regarde maintenant avec excitation Claude qui pendant une dizaine de minutes se fait bouffer la chatte par Claire sur son fauteuil et qui n'arrête pas de crier :
- Oooohhhh...Claiiiire, tu me fais jouiiirrrr putain je jouiiiisssssss! Noonnnnn surtout ne t’arrête pas...continuuuuueeee...
En voyant la fille sucer la chatte de sa belle-mère et la faire hurler de cette façon tout en me faisant tailler une pipe royale par Michèle, je ne peux plus me retenir et me mets à gicler dans la bouche de Michèle de longs jets, en puissantes saccades qui se déversent les unes après les autres. Un torrent de sperme envahit sa bouche, coule dans sa gorge, pour ne pas étouffer elle est obligée d’avaler jusqu’à la dernière goutte.
- T’aimes ça hein ? t’aimes avaler mon jus, continue et n’en perds pas une goutte.
Elle s’applique à bien sucer, ensuite elle lèche toute la longueur de la colonne de chair, descend vers les couilles qu’elle prend tour à tour dans sa bouche, puis revient au gland qu’elle nettoie de subtils coups de langue avant de la ré-enfourner, je ne peux pas retenir plusieurs giclées supplémentaires de sperme dans la bouche de Michèle.
- Aaaahhhh....Michèle, je craaache.... de nouveau! T’es vraiment une sacrée salope pour extraire encore du jus de mon nœud mais putain que c’est bon !
La regardant, je vois son corps trembler de plaisir, sa main entre ses cuisses et ses doigts enfouis dans sa chatte. Elle s’est faite jouir elle-même avec ma bite dans sa bouche qui continue de cracher son nectar.
Récit de Michèle
Je me relève mais Patrick me prend par les hanches et me retourne face à la table et pointe son gland toujours aussi raide contre mon trou du cul, en me disant :
- Je veux t'enculer, tu veux bien?
J'adore me faire enculer, mais sa queue est trop grosse et j'ai salement dégustée l'autre jour. Il commence à pousser son membre de nouveau en pleine forme dans mon cul. Je sens mon anus écartelé et ce pieu énorme me dilate le ventre. Je crie, mais je veux le prendre tout entier au fond de mon cul.
- Arrête, nooonnn ! Tu me déchires !
Je vois sa bite monstrueuse entrer toute entière dans mon petit trou du cul, puis je sens ses couilles claquer contre mes fesses. Je n'en crois pas mes yeux : j'ai pris sa monstrueuse queue toute entière dans mon cul qui avait déjà pris la mesure de ce pal exceptionnel et s'est ouvert en grand pour l'absorber. Il commence à m'enculer à grands coups de bite. Je sens son énorme pieu défoncer mon cul, je jouis comme une salope et je crie :
- Aaaahh! Qu'elle est grosse! Encule-moi comme une salope! Défonce-moi le cul! Ramone-moi! Casse-moi le fion! Elle est monstrueuse ta bite !
Mais lui n'écoute rien, il m'encule comme un fou et m'empale sur sa trique en me lançant:
-Tiens, salope! Prends-toi çà dans le fondement. Aaahhh ! Je vais jouir dans ton cul!
Il m'a prise pendant presque une heure et d'un coup m'a rempli l'anus de son sperme. A part lui je ne me suis jamais faîte enculer par une bite de cette taille et j'ai joui comme jamais. Il m'interroge.
- Ca t'a plu?
- Oui! Je veux encore que tu m'encules avec ta grosse queue!
Mes trois femmes sont tombées à genoux l’une à coté de l’autre.
- Et bien quelle belle journée, reconnait Claude, c’est fantastique et j'aimerais pouvoir faire ça plus souvent mais nous devons ménager notre étalon sinon Patrick ne va pas pouvoir tenir la cadence.
Toutes les trois se mettent à rigoler avant que je rétorque :
- Hey, à ma connaissance vous ne m'avez pas encore pris en défaut, j'ai toujours assuré.
Claire susurre à l'oreille de Michèle qui fait de même à Claude et soudain elles se rapprochent de moi, et elles saisissent mon mat encore à moitié bandé de leurs mains droites, la sensation de ces trois mains sur mon pieu de chair est tellement merveilleuse que je retrouve illico toute ma vigueur. Elles me branlent ensemble et s'écrient:
-Une grosse bite pour toutes, toutes pour une grosse bite!!!! Et Claire se met en bouche le gland tout violacé qui dépasse encore. Elles ont décidées de me surnommer d'Artagnan, ma bite est mon épée et elles seront mes trois mousquetaires avec leurs trois fourreaux et pendant les heures qui ont suivies elles se sont occupées de mon épée.
Nous avons renouveler l'expérience, mais pour tenir la distance il a fallu mettre des règles, j'en baisais une le matin, une l’après midi et une le soir avec quelques "extra".
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