Une rencontre qui va aboutir sur une drôle d'histoire, pour mon plus grand plaisir
Proposée le 15/07/2015 par julien5945
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Alain 55 ans passif exclusif avec les hommes. Depuis quelques temps à la tombée de la nuit je vais souvent draguer dans un parc près du stade de foot réputé pour de bonnes rencontres entre hommes, devant il y a un parking, je reste souvent à l’intérieure de ma voiture pour voir ceux qui viennent au cas où je connaitrais quelqu’un sinon je vais faire un tour à l’intérieure du parc. Ce soir-là j’étais dans mon véhicule, un gars d’une cinquantaine d’années s’approche, me regarde, il se caresse l’entre jambes, j’ouvre la porte passager, il entre, me demande ce que je recherche, je lui réponds : un homme actif, il me sourit et me dit : je suis là, mêlant le geste à la parole il dégrafe son pantalon et fait surgir, une bite, pas longue environ 16cms mais épaisse un bon 4cms, je prends ce beau morceaux dans la main, je le caresse, le branle délicatement, il n’en peut plus, il me demande d’aller dans un coin tranquille, il veut m’enculer, on sort de la voiture et on se dirige vers un des innombrables coins tranquilles, à peine arrivé il tombe son pantalon, j’en fais de même du mien, il me roule une pelle, m’appuie sur la tête pour la faire descendre vers sa bite, à la clarté de la lune je vois une queue bien nervurée qui se dresse devant ma bouche, je lèche ce gland turgescent, il frémit, je fais des aller retours tout le long de sa hampe, lui bouffe les couilles, je le vois se redresser sur la pointe des pieds, je gobe cette belle bite, je la suce avec application, il se met à me baiser la bouche de plus en plus vite et de plus en plus profond, il se lâche enfin et je reçois des giclées de foutre que je déguste avant de les avaler, je lui nettoie la bite, il m’embrasse, me caresse longuement, machinalement je lui caresse les couilles, me dit des fadaises du genre que je suis le meilleur suceur qu’il a connu et qu’il espère que mon cul sera de la même teneur que ma bouche, un des coins qui a une table en pierre se libère, on ramasse nos fringues et on y va, Georges (c’est son prénom) recommence à bander, je le suce pour qu’il retrouve sa vigueur, il me met à plat ventre sur la table, il entame un cuni pour bien me préparer le cul en le mouillant abondement, sa langue me pénètre, je prends un énorme plaisir, il écarte mes fesses, je sens ses doigts me fouiller, je me dilate de plus en plus, son gland prend le relais de sa langue, il rentre lentement mais surement, de mes deux mains j’écarte mes fesses, sa bite viens de renter jusqu’au bout, ses couilles sont contre mon anus, il s’active par de lents va et viens, je gémis de plaisir ce qui a pour effet de l’exciter, il me pilonne de plus en plus fort, ça deviens même violent mais j’aime ça, je ne me contrôle plus, je pousse de petits cris, ce qui devait arriver arriva, je me suis retrouvé avec une bite devant la bouche, machinalement je l’ai gobée, je tenais toujours mes fesses écartées pour que Georges m’en mette plein le cul, ses mains se crispent sur mes anches, je sens ses jambes trembler contre les miennes, il jouit dans un grognement, se retire, enlève sa capote et la jette dans un sac poubelle prévu à cet effet, j’avais toujours une bite dans la bouche, Georges dit au deuxième gars, va y il a un cul du tonnerre, le gars lui répond qu’il n’a pas de capote, qu’à cela ne tienne, il lui en donne une, et je me retrouve avec une bite plus longue et plus grosse dans le cul, il m’encule pendant une bonne dizaine de minutes, quand il va éjaculer il me prends par le haut des cuisses, se bloque bien au fond de mon trou et il se vide, il se retire, met la capote dans le sac poubelle, il nous remercie, moi pour mon cul accueillant et Georges pour la capote, remonte son pantalon et s’en va, Georges après m’avoir remercié en fait de même, je reste là le cul à l’air à penser à ce moment si agréable, un mec viens me voir et me demande si je veux l’enculer, je décline l’invitation, je suis uniquement passif, un autre passe, il me montre sa queue, je lui fais signe d’approcher, il bande bien, il me demande une capote, la met et m’encule direct sans se poser de question, c’est rapide mais ça fait quand même du bien car il est très bien monté, bon j’en ai assez pour ce soir et le match se termine, mon alibi pour sortir car je suis marié, je me rhabille, pendant le trajet pour récupérer ma voiture j’ai plusieurs propositions que je refuse, sur le pare-brise j’ai un petit mot, un numéro de tel avec deux plages horaires, 9h/11h et 14h/17h signé Georges, j’ai donc une chance de le revoir, le lendemain matin 10h30 je le bip, il me répond de suite, c’est Alain ? Oui c’est moi, il me demande si j’ai aimé, je lui réponds non j’ai adoré, il me demande si je veux le revoir, bien sûr plutôt deux fois qu’une, il me demande mes dispos, surtout les soirs de matches ou après 16h30 et avant 19h, ma femme rentre vers 19h30, on se cale un rendez-vous le mercredi vers 17h15 chez lui, il me donne son adresse, mercredi j’arrive tout émoustillé, il m’attends dehors devant sa porte, il me dit de ne pas parler fort, son père 75ans est impotent, il est tout le temps couché il ne peut plus se lever, il dors à l’étage, on rentre, il me montre la salle d’eau, et sa chambre, il me roule une pelle tout en me déshabillant, lui n’a en tout et pour tout qu’un short et une paire de sandales, il se met à bander illico, on se couchent en position de 69 mais pendant que je lui suce la queue lui me prépare le cul avec ses doigts et sa langue, il éjacule, je bois son suc, il me met sur le dos, deux coussin sous les reins, je suis tellement excité qu’il peut me rentrer sa bite d’un seul coup, je sens ses couilles me battre les fesses pendant qu’il me pilonne, j’adore et je le lui dis, il me souris, redouble de puissance je sens que je vais jouir sans même me toucher la queue, il s’acharne, se crispe et je sens son sperme envahir mes entrailles, il n’a pas mis de capote, je ne suis pas content mais tellement heureux, j’ai éjaculé sur mon ventre, il reste en moi, m’embrasse me caresse, récolte un peu de mon jus qu’il fait couler dans ma bouche, comme je ne me fais pas prier pour le boire il continu jusqu’à ce qu’il n’en reste plus sur mon ventre, il n’a pas débandé, il recommences ses va et viens, toujours à fond et de plus en plus vite, ça dure un bon quart d’heure, il pousse un petit grognement et je sens mon cul se remplir de foutre, on passe à la salle d’eau j’enlève le pommeaux du flexible de douche et je me nettoie l’intérieur, quand l’eau ressort claire je sais que je suis propre, on se rhabille, il me raconte un peu sa vie avec son père impotent depuis 15ans, je lui parle de la mienne, j’ai commencé à me faire enculer j’avais 19ans, il me demande si j’ai vu de très grosses bites, oui mais tout est relatif, il me demande de le suivre sans faire de bruit, on rentre dans la chambre de son père, il dort paisiblement sur le dos, sous le drap j’aperçois une sacrée bosse, avec beaucoup de précautions il soulève le drap, surprise, un chibre énorme et surtout tout raide, j’en bave d’envie, il me demande de le toucher, j’ai peur de le réveiller, non tu pourrais t’empaler dessus qu’il ne se réveillerait même pas, je lui dis ne me tente pas, si tu n’es pas pressé tu peux essayer, je regarde l’heure, non ce n’est pas raisonnable, je ne peux m’empêcher de lui donner un coup de langue, elle est chaude et douce, elle sent bon, je la gobe et je la suce un moment, j’ai l’impression qu’elle a vibrée, je pars avec regrets mais avec un rencart pour samedi jour de match, j’ai bien l’intention de profiter de cette énorme queue. Samedi 19h, j’arrive chez Georges, il m’invite à entrer, pendant que je me déshabille, il monte dans la chambre de son père, quand il redescend il a un grand sourire, il me dit qu’il ne dort pas et que si je veux m’occuper de lui il ne demande pas mieux, la dernière fois il ne dormait pas, il aurait voulu que je m’encule sur son chibre, je lui dit que je préfère que lui me prépare et fasse le passage, il est OK, on monte dans la chambre du père, il a un regard qui en dit long sur ses intentions, dans un coin il y a un lit d’appoint, on s’installe comme la dernière fois, pendant que je suce Georges il me prépare le cul avec sa langue et ses doigts, quand je suis prêt il m’encule, je suis face à son père, je vois ses yeux qui brillent, Georges me demande de me lever et de m’accroupir contre le lit de son père, je m’exécute, il découvre le corps de son père, j’ai devant les yeux ce pieux que je convoite tant, Georges me dit de le sucer pendant qu’il m’encule, ça dure 20 minutes, je reçois de longs jets de sperme dans ma cavité anale, il se retire, me demande de chevaucher son père, malgré qu’il ait une énorme bite ça rentre tout seul grâce au sperme de Georges qui enduit mon cul je suis bien graissé, je m’encule sur cet énorme mandrin, je vois dans les yeux du père qu’il prend son pied, moi aussi, au bout d’une demi-heure Georges me fait signe d’arrêter, je redescend du lit, son père a un regard béat, on descend dans sa chambre, il m’encule pendant une vingtaine de minutes, une fois de plus il me remplis de son foutre, il me câline un bon moment, me demande si j’ai aimé, si j’aimerais recommencer, il n’avait pas vu son père aussi heureux depuis bien longtemps, il m’explique que son ex infirmière qui a pris la retraite et a quitté le coin avait l’habitude de se baiser sur cette belle queue, maintenant c’est un mec qui viens et lui n’est pas homo, on prend des nouvelles du match que j’étais censé aller voir, passage par la salle d’eau, toujours à poil je monte dire au revoir au père, il dors, sa bite toujours en érection, Georges me dit que depuis son attaque elle n’a jamais débandée, je pose un baisé sur le gland, et je redescend, je fais des plans sur la comète, avec un mec comme ça je dois pouvoir me faire baiser pendant des heures, une vraie machine, l’idée fait son chemin, j’en parle à Georges, il n’est pas contre du moment ou lui aussi peut profiter de mon cul, il me donne une clé pour que je puisse venir quand je le souhaite, j’en ai profité pendant 4 ans, jusqu’à plus soif, j’ai continué à voir Georges en même temps, je me baisait de plus en plus souvent sur le chibre de son père, un jour Georges a décidé de vendre sa maison pour que son père soit plus près de sa région natale et ils sont partis sur la côte atlantique, on ne sait plus jamais revus. DOMMAGE JE LES AIMAIS BEAUCOUP.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
ranto
j'étais très excité, très belle histoire !
Posté le 26/02/2016
__Jade__
J'aime beaucoup les récits gay et celui-ci est super et bien écrit !
Posté le 6/08/2015
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email