Comment vont-elles pouvoir donner leur cours en la présence d'olivier? Comment ne pas rougir quand il fixera son regard sous le bureau, se rappelant ses exploits, que ça soit par devant ou par la porte arrière. Le cul de Sylvie s'en souvient encore...
Proposée le 23/08/2020 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Mais Agnès s’en mêle, elle se jette sous Sylvie comme pour se mettre en 69, arrachant ma bite du cul pour le remplacer par sa bouche sur ma tige, sa pompe s’active en force sur ma queue, voulant aspirer toute ma sève et s’en badigeonner les lèvres. Il ne fait aucun doute qu’elle maîtrise l’art de la fellation quand elle me gratifie d’une de ses gorges profondes absolument magique à vous faire tutoyer l’infini pendant quelques instants avant de remettre ma lance dans le cul esseulé de Sylvie quand elle entend sa supplique :
-Olivier, défonce-moi, s’il te plaît ! Je veux ta bite. C’était bon, fort, très fort mais délicieux. La lente mais inexorable poussée continue de ton rostre, jusqu’au moment où j’ai senti le contact de tes couilles sur ma chatte quand tu es entré, tout entré, et que tu es resté immobile, pour que ma rondelle accepte la dimension de ton mandrin entré entièrement en moi !!! Un seul homme avant toi m’avait sodomisée mais il était monté Small. C’est physiologiquement possible, mais jamais je ne pensais que j’aurais accepté un homme au sexe démesuré comme le tien. Je sens ton énorme chibre au plus profond de moi et j’y prends finalement plaisir.
Quelles sacrées garces ! Je me laisse guider d’un trou à l’autre, des navigations circulaires d’une langue experte sur mon manche à la compression d’un sphincter trop étroit, pris dans des remous incontrôlables d’une tornade de jouissance. Mon frêle esquif ballote de Caribe en Cila, et un torrent de sperme, comme une vague scélérate, menace d’emporter tout l’équipage. Cela monte, inexorable jaillissement, mais je ne le veux pas encore. Je ne veux pas céder aux sirènes qui m’appellent et m’attirent vers le fond pour mieux me faire chavirer. Je décule et ordonne à Agnès :
-Monte en croupe sur Sylvie, je veux avoir à ma disposition quatre trous au choix !
Elle s’exécute et pendant de longues minutes, j’explore de la grotte béante au goulot d’étranglement, multipliant les explorations, touchant le fond d’un vagin qui ne peut accepter toute ma bite puis m’enfonçant au plus profond d’un cul. Après quelques minutes, mon sexe vibre, ma sève monte. Je décule et présente au « conseil de classe ma lance pour l’examen final ».
Elles se précipitent et participent en me branlant chacune d’une main, la bouche ouverte, jusqu’à ce je lâche la purée, que jaillisse en flots généreux et impétueux mon sperme qui remplit leur gorge jusqu’à ce qu’elles s’étouffent avec. Le sperme continue de sortir de ma lance toujours étranglée à sa base, maintenant de façon plus continue, comme une source intarissable. Des traînées finissent par dégouliner le long de la hampe. Alors, avec application, elles se battent presque pour recueillir le fruit de leurs efforts, léchant et avalant le divin nectar.
Je me suis effondré dans le canapé et elles se sont allongées à côté de moi, heureuses, me suppliant de recommencer « tout de suite ». Mais pour moi, il n’en est pas question, j’ai beau être jeune, il ne faut quand même pas pousser !!!
Quel bonheur de se faire ses profs qui aiment si bien célébrer la vie ! Je me demande comment je les verrai quand elles seront chastement assises derrière leur bureau de classe…
SOPHIE :
Il a fini par s’assoupir. Quand il se réveille d’une sieste récupératrice, une heure s’est écoulée. Nous sommes toujours à coté de lui, chacune une main sur sa verge toujours prise dans cet anneau d’enfer. Nos papouilles ont enfin fait regonfler son vit fatigué et ont fini par le tirer des bras de Morphée.
Je suis toujours en admiration devant cet épi majestueux que l’anneau a ramené à la vie, retenant le sang dans les corps caverneux pour en faire un tel braquemard malgré sa dépense physique des dernières heures.
Je n’y tiens plus et enjambe son corps pour me pourfendre encore une fois sur cet obélisque de chair. Les genoux posés sur le divan, mes mains autour de son cou, je monte et descends sur son jonc vigoureux, la tête vide mais ma gaine de velours défoncée par son manche. On dirait qu’il reprend ses esprits, comme s’il sortait d’un rêve, mais je ne m’attendais pas à sa réaction.
Soudain, il saisit mes cuisses de ses mains et se redresse comme mû par un ressort. Je me retrouve en l’air, suspendue uniquement par mes mains et retenue par sa formidable bite dans ma grotte.
Je suis assez menue et il n’a aucune difficulté pour soulever mes 48 kg et les laisser s’écraser sur son pieu qui s’enfonce un peu trop loin, me faisant gémir de douleur. Il s’en aperçoit et maintenant joue de mon corps au millimètre près pour que la douleur vire au plaisir, puis à l’orgasme.
Si je m’attendais en faisant ce cours d’éducation sexuelle pour éduquer ces jeunes cons à ce que ça se retourne contre moi et que ce soit moi qui prenne des leçons !!!
Il me soulève des fois trop haut, et Agnès qui n’en manque pas une en gobant ses noix, joue à la chaise musicale, une fois dans la chatte une fois dans le cul… Je déguste encore car la pénétration est violente et rapide, heureusement que mon anus a déjà pris la mesure de son gros dard.
Mais il est déchainé et me jette sur le divan, relève Agnès et lui fait subir le même sort.
-Espèces de salopes ! Petites vicieuses de prof ! Vous marcherez en canard quand j’en aurai fini avec vous !
Je ne sais pas d’où il tire encore autant d’énergie mais je déguste fort. Le pire, c’est qu’Agnès vient en remettre une couche en occupant le trou libre avec le gode qui traine toujours dans la pièce. Putain ce que je déguste… Je me venge en lui faisant subir le même sort, mais elle en rigole !
Mais tout a une fin, il s’écroule sur le divan avec Agnès toujours fichée sur son tenon et cette folle continue de se troncher jusqu’à ce qu’il demande grâce.
Nous finissons le supplice par une branlette double et malgré ses exploits précédents, il arrive encore à cracher son venin, bien moins abondant évidemment, mais l’anneau produit toujours son effet et les quelques jets puissants s’élèvent avant de retomber sur son corps luisant de sueur.
Nous croyons avoir gagné contre sa jeunesse, mais il n’est pas de cet avis. Il se redresse, la bite pendante mais toujours gonflée, nous jette sur le divan et nous rend la pareille, se laissant aller sur nos fentes débordantes de mouille. Il lape mon entrejambe, s’étranglant presque de mon jus, plongeant de plus en plus loin en moi sa langue, remontant vers mon clitoris gonflé qui accueille sa langue comme le petit Jésus. Nous nous laissons faire à tour de rôle, couinant comme des truies qu’on égorge. Il nous mène du bout de sa langue, nous sommes ses choses...
Le combat a été rude mais je ne sais pas qui est le vainqueur. Agnès lui retire enfin l’anneau de caoutchouc en tirant dessus pour faire passer une boule, puis l’autre, et enfin le retire de son tuyau.
Elle soupèse une dernière fois le service trois pièce, et se retournant vers moi :
-Sylvie, si tu as d’autres loustics comme ça dans ta classe, je suis preneuse, et toi, Olivier, ne crois pas que parce que tu nous as sautées, que tu auras un traitement de faveur… Ce sera plutôt des gages à payer en nature !
Je ne sais pas ce qu’il en pense, mais à sa place, je me ferais coller régulièrement…pour notre plus grand plaisir, à Agnès et à moi…
Fin.
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Commentaires de l'histoire :
Mekron
Très sympa, je me suis régalé.
Posté le 8/10/2020
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