Cette histoire n'est pas la mienne. Pourtant, elle est en grande partie véridique. Le soir de son mariage, Michel va surprendre sa nouvelle épouse dans une situation plus qu'embarrassante... Et ils sont trois avec elle.
Proposée le 8/03/2020 par Korn
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie
Cette histoire n'est pas tout à fait vraie. Pour autant, elle n'est pas fausse non plus. Elle m'a été racontée par mon ami Michel et c'est par ses yeux que vous la vivrez. Mon rôle n'a été que de coucher les mots sur le papier et de combler les trous dans le récit que m'avait fait Michel, ce qui représente moins du quart de ce que vous allez lire.
Michel avait 27 ans au moment des faits. C'était un bel homme, la mâchoire carrée, la barbe de trois jours finement taillée, les yeux bleus et le cheveux blond cendré coupé court. Quoique petit, il était très solidement bâti, large d'épaules et doté d'une musculature développée par les heures passées à la salle de sport. Dans la vie, Michel était développeur, et accessoirement la honte de sa famille richissime. Il était aussi timide, sauf quand il avait un coup dans le nez, et très peu sûr de lui, surtout quand il avait un coup dans le nez.
Ce jour-là devait être le plus beau de la vie de Michel. Il venait de passer la bague au doigt d'Elodie, sa compagne depuis 3 ans rencontrée à la salle où elle était coach sportif.
Elodie avait 26 ans. C'était une jolie fille aux cheveux noirs méchés de blond platine et aux yeux sombres, aussi grande que son mari, mince et très (très) athlétique, les hanches pas très larges et la taille assez fine. Ajoutez un joli petit cul rond et des seins gros, ronds et fermes pour compléter le tableau d'une femme plus que désirable et désirée, un brin aguicheuse et provocatrice.
La fête se déroulait dans le manoir familial, qui appartenait encore à la grand-mère de Michel. C'était une magnifique et immense demeure en rase campagne, sur un terrain arboré de plusieurs hectares, avec deux étages et assez de chambres pour loger presque tous les convives. Au rez-de-chaussée, la salle de réception accueillait à la fois les tables du dîner et une piste de danse que Michel avait déserté sitôt qu'il avait procédé à l'ouverture avec son épouse.
Il faut dire que Michel n'aimait guère sa famille. A dire vrai, il n'aimait pas la plupart des invités. Il n'appartenait au même monde que les siens et les amis d’Élodie lui tapaient sur le système. Michel n'était pas misanthrope, seulement un loup solitaire pour qui la définition d'une bonne fête se résumait à une bière fraîche avec les copains, peinards sur le canap' du salon.
Conséquence logique, à 23 heures Michel avait tellement bu qu’Élodie et moi dûmes le porter jusqu'à sa chambre, au deuxième étage, et le laisser ronfler sur le lit. Elle essaya de n'en rien montrer, mais je pouvais voir la colère brûler dans son regard. Triste façon de commencer un mariage, songeai-je en retournant auprès de ma femme et de mon fils de 1 an.
Michel émergea à presque une heure du matin. La bouche pâteuse, la tête dans un étau, il lui fallut 10 bonnes minutes pour rassembler assez d'énergie et de volonté pour se lever. Il n'en avait pas envie, mais il devait rejoindre les festivités. Était-ce l'alcool, la fatigue ou autre chose ? Michel ne le saura jamais, mais son choix à cet instant allait changer bien des choses.
Plutôt que d'emprunter les escaliers pour redescendre, il se décida pour l'un des nombreux passages secrets du manoir. Il faut savoir que la bâtisse en était truffée, un véritable second bâtiment, dédale de salles et de corridors, garni de judas et de miroirs sans tain permettant de voir sans être vu. Une lubie de l'arrière-grand-père semblait-il. Michel les connaissait par cœur, il avait passé des années à les explorer enfant.
Depuis sa chambre, il pouvait ainsi descendre quelques marches, traverser l'aile abandonnée et émerger dans la grande bibliothèque, d'où un autre passage lui permettrait de gagner les cuisines. Mais alors qu'il avançait, une voix familière lui parvint depuis l'autre côté des murs, la voix d'Elodie.
- C'est complètement à l'abandon ici...
- Ouais, répondit une voix d'homme. Ça file les jetons.
- Lopette, fit encore un autre homme.
- Sans déconner, les mecs, renchérit Élodie, vous avez vu la poussière ? Pas moyen que je continue, je vais pourrir ma robe.
- T'as qu'à l'enlever si tu veux pas la salir.
- Bien sûr, comme ça vous pourrez tranquillement vous rincer l’œil.
Il y eut un bruissement de tissu tandis que Michel revenait sur ses pas, incrédule de ce qui était en train de se passer.
- Mais c'est qu'elle le fait en plus !
- Ça va, vous allez pas me dire que vous avez jamais vu une nana en sous-vêtements...
- Bah Bastien c'est la première fois je crois.
Bastien... Le petit frère de Théo, le meilleur ami et témoin de mariage d’Élodie. L'archétype du beau gosse queutard ; Michel n'avait jamais pu le sentir ce gars-là, il avait toujours ce regard libidineux quand ses yeux se posaient sur sa femme. Le petit frère avait l'air un peu mieux...
Michel se risqua à jeter un œil par un judas. Théo et Bastien étaient là, il voyait au sol l'ombre d'un troisième homme. Ils entouraient Élodie, en soutien-gorge et string blancs en dentelle, assortis à ses talons, bas et porte-jarretelles.
- Putain, c'est quoi ces abdos que t'as ? fit l'inconnu.
- Jaloux ? répliqua la mariée.
- Un peu, ouais. Moi j'ai beau en faire, ça réduit juste le bide à bière.
Elodie haussa les épaules avec un ricanement moqueur et poursuivit son exploration. Les trois autres lui collaient aux basques et Michel suivait leur exploration par les judas sur leur chemin. Il ignorait pourquoi il ne se montrait pas, pourquoi il continuait de jouer les voyeurs. Peut-être parce qu'il se sentait à nouveau ce gamin qui épiait toute la maisonnée, caché entre les murs.
Le quatuor finit par atteindre le grand salon au milieu de l'aile abandonnée. Michel prit place derrière le miroir sans tain, il sut enfin qui était le dernier comparse : Marc, le gérant de la salle où travaillait Elodie.
La belle se retourna, ses yeux descendirent le long du corps de Bastien, s'arrêtèrent sur la bosse qui déformait son pantalon de costume.
- Dis donc le jeune, je rêve ou t'as la trique ? se moqua-t-elle.
Les autres éclatèrent de rire, Bastien vira rouge pivoine et Théo vola à sa rescousse :
- En même temps, 19 ans, jamais eu de copine et tu lui agites ton cul sous les yeux depuis cinq minutes... C'est humain.
- Oooh, le pauvre petit, minauda Élodie, rajoutant à l'hilarité de Marc.
- Fais-lui voir tes seins, railla ce dernier, comme ça il aura pas perdu sa soirée.
- Bien sûr, et après je le suce.
- Vraiment ? couina le jeune homme d'une petite voix pleine d'espoir.
- Désolée, Bastien, je me foutais de toi là...
- Oh...
- Sérieux, Elo, t'es pas cool là...
- Quoi ?
- Bah je viens de te dire qu'il a jamais eu de copine et t'en rajoutes une couche, c'est pas cool.
- Ouais, ok, j'ai peut-être un peu abusé. On va dire que c'est l'alcool.
Que n'avait-elle dit ? Michel était certain que ces mâles en rut allaient en profiter !
- Tu peux peut-être te faire pardonner ? suggéra Théo, confirmant les doutes du mari.
- T'es quand même pas en train de me demander de sucer ton frère là ?
- Fais-lui juste voir tes seins comme a suggéré Marc, ça l'aidera à se soulager plus tard.
- Ou soulage-le directement, ajouta Marc d'un air détaché.
Élodie fit la moue, Michel savait ce que cela voulait dire. Qu'elle allait accepter. Il ne voulait pas y croire, il voulait partir. Mais ses jambes refusaient de bouger, il devait en avoir confirmation.
- Bon, ok, mais juste une branlette. Et si ça sort de cette pièce, je vous jure que vous êtes morts. Tous les trois. Compris ?
Élodie se courba en deux et tira sur le pantalon de Bastien pour en extirper un braquemart énorme, une poutre longue, large et dure.
- Mon dieu, fit-elle admirative, c'est la plus grosse bite que j'aie jamais vu ! Et de loin.
Le jeune homme rougit de plus belle et bredouilla un merci.
- Eh ben frangin, tu m'avais caché que t'étais monté comme un cheval de course.
- Comme un étalon tu veux dire, renchérit Élodie.
Toujours pliée en deux, la mariée fit courir ses doigts et sa paume sur l'engin de Bastien. Leurs comparses passèrent derrière, plus intéressés par le cul ainsi découvert de la jeune femme que par les caresses qu'elle prodiguait. Michel était pétrifié, mais ses yeux ne pouvaient quitter le spectacle.
Puis Élodie saisit le sexe de Bastien et commença à le branler vigoureusement, à une puis à deux mains. Il ne fallut pas longtemps au jeune homme pour haleter, gémir, ahaner... Et se libérer. De grosses gouttes nacrées s'extirpèrent de sa turgescence. Puis soudain, un long jet qui frappa la joue de la belle. Élodie se redressa en clignant puis écarquillant les yeux de surprise, tandis qu'un nouveau geyser de sperme s'écrasait sur ses abdominaux et qu'une cascade sans fin s'abattait dans la poussière.
- Eh bah putain, t'es un sacré éjaculateur en plus d'être hyper bien monté, rigola-t-elle.
Elle essuya sa joue, lécha le jus de ses doigts.
- Allez, on y va.
- Attends, fit Théo. Faut que tu achètes notre silence à Marc et moi avant...
- Et ta connerie ? Vous avez promis de rien dire.
- On a rien promis du tout, tu t'es lancée avant qu'on réponde.
Les deux hommes bandaient dur. Elodie observa leurs érections en faisant la moue.
De l'autre côté du miroir, Michel était horrifié autant que fasciné. Il devait se montrer, se révéler. Il le savait. Mais alors pourquoi ne bougeait-il pas ? Pourquoi continuait-il de regarder ? Sa femme tout juste épousée s'apprêtait à le tromper avec deux hommes, il devait l'arrêter. Mais alors pourquoi bandait-il ?
Pourquoi était-il en train se branler ?
A suivre...
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