Sylvie est accroc de Patrick. Mais ce qu'elle ne sait pas encore, c'est qu'il faudra qu'elle le partage avec un véritable harem. Et pour ça, il faut qu'elle passe comme un rite de passage pour être admise parmi le saint des saints.Un véritable troupeau de brebis pour un seul bouc.
Proposée le 1/02/2020 par mlkjhg39
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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Chapitre 12 : Réunion du harem et rite de passage.
Suite.
Quand je décide d’avouer à Emilie, ma femme, du nouveau coup de canif donné au contrat de mariage, elle n’est même pas surprise.
-Tu sais, Patrick, je te connais mieux que tu ne le crois, bien sûr que j’avais deviné que tu te tapais Sylvie, en plus de sa fille. Tu sais que je ne suis pas jalouse, sinon, il y a vingt ans que je t’aurais quitté. Je vais réunir le « Conseil » et y inviter Sylvie. Ca risque d’être rude pour elle quand elle réalisera avec combien de concurrentes elle va devoir te partager.
Il a bien fallu un mois pour accorder tout le monde. Emilie a fait venir Sylvie qui a accepté avec quelques réticences cette drôle de réunion. Elles sont toutes les deux quand résonne le premier coup de sonnette. Emilie va ouvrir et fait rentrer Claude, une femme d’une soixantaine d’années, et sa fille Claire.
-Bonjour les filles, je vous présente la dernière conquête de Patrick. Sylvie, je te présente Claude, qui a dépucelé Patrick, et Claire sa fille, Les deux premières pièces de Puzzle.
Les coups de sonnettes se succèdent alors. Emilie fait entrer successivement en les présentant !
-Stéphanie, la sœur de Claire
-Christine, ma mère, et ma sœur, Murielle.
-Anne-Marie, la mère de Patrick, et Michèle, sa tante.
-Annie, la sœur de Patrick.
(Si vous voulez tout savoir, il faudra relire « Les aventures sexuelles de Patrick ») ou attendre que je poste la généalogie de toutes ses haventures.
Le visage de Sylvie se décompose de plus en plus. Elle réalise qu’elle a vu toutes ses femmes lors du mariage de sa fille, ainsi que leurs enfants.
-Mais… Mais alors… La plupart des cousins et cousines de Damien sont…
-Tu as deviné, Sylvie, ce sont pour la plupart les enfants de Patrick.
-Ce… Ce n’est pas possible ! Comment avez-vous pu accepter cela ?
-Comment ? Pourquoi es-tu là alors que tu savais que tu allais rencontrer d’autres femmes qui se font sauter par Patrick ?
-Je ne sais pas. J’ai déjà eu des amants, mais quand ils étaient avec moi, j’étais la seule. Alors que là, je devrai le partager avec neuf autres femmes…
-Et que décides-tu ? Tu ne veux plus voir Patrick ?
-Oh nooon ! Il… Il fait si bien l’amour… Je ne pourrai pas m’en passer. Mais comment pourra-t-il toutes nous contenter ?
-Quand il te faisait l’amour, l’as-tu vu une seule fois en berne ? Et que penses-tu de ses performances ?
-Je ne l’ai jamais surpris une seule fois pas « en forme », et je n’ai jamais connu un mâle qui puisse récupérer aussi rapidement entre chaque acte. Et que dire de ses éjaculations dantesques ? Je comprends mieux maintenant pourquoi Jade et Damien lui ont demandé de mettre ma fille enceinte… Et ça ne gâche rien qu’il soit monté comme un poney.
-Tu as tout compris Sylvie, maintenant, il va falloir remanier notre calendrier pour t’incorporer dedans. Il a beau être inépuisable, nous prenons soin de lui laisser suffisamment de temps pour récupérer entre ses exploits sexuels.
Une fois le calendrier corrigé, Emilie reprend la parole :
-Sylvie, maintenant que tu fais partie du « harem », il ne reste plus qu’une seule chose pour valider le changement, l’accord de Patrick. Je l’appelle, il va venir et va parapher les modifications en signant l’acte de sa semence, un peu pour nous toutes.
-Tu ne veux-pas dire, s’étonne Sylvie, qu’il va nous prendre toutes ?
-Je ne crois pas, j’en suis sûre, lui rétorque Emilie, qu’il t’a déjà raconté ses exploits avec les nageuses, non ?
-Oui, mais il était beaucoup plus jeune !
-On verra bien. Tu ne le connais pas encore comme certaines d’entre-nous.
Me voilà donc devant mon « harem ». La plus jeune a plus de quarante ans et tel Macron avec Brigitte, j’aime tout autant les femmes plus âgées qui dépassent allègrement les soixante « berges ». Mais comme on dit : C’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe…
-Déshabillez-moi, les filles !
Je me laisse faire, chouchouté comme un coq en pâte. Je me retrouve rapidement aussi nu que le jour de ma naissance, couvert de caresses.
-Mettez-vous en ligne, à genoux pour les hors-d’œuvre !
Je passe de bouche en bouche, l’érectibilité de ma verge fait son œuvre et les filles se retrouvent enfin devant un pic toujours aussi dur malgré les ans. Je refais un passage pour que les premières puissent en profiter. Chaque bouche est différente, certaines s’activent uniquement sur mon gland massif, d’autres s’aident d’une main qui pétrit mes boules ou astique ma trique.
J’ai décidé de continuer jusqu’à l’éjaculation mais comme je suis assez maître de moi, je réussis à tenir pratiquement dix minutes pour leur plus grand plaisir. Je m’arrange pour être dans la bouche de Sylvie au moment fatidique.
-Sylvie, je vais jouir dans ta bouche. Mais je t’interdis d’en avaler une seule goutte. Fais passer de bouche en bouche pour en faire profiter tes voisines.
Je me suis si longtemps retenu que je crache une quantité considérable de sperme dans sa bouche.
Elle gonfle les joues sous la dose, savoure un instant avant de coller ses lèvres sur celles de sa voisine.
Ma semence passe de filles en filles, quelques fuites aux commissures des lèvres et quelques déglutitions plus tard, il ne reste plus rien de mon obole à mes prêtresses. Je leurs ordonne :
-Mettez-vous deux par deux, tête-bêche !
Elles obéissent à leur Maître après s’être rapidement dévêtues. Les corps ne sont pas aussi lisse et ferme que celui de Jade mais je les connais tous par cœur. Je rebande aussitôt en prenant la première chatte, une bouche et deux mains s’activent sur ma hampe, mes bourses ou mon anus.
Je prends mon temps pour rassasier chaque fille et passe à la suivante. Dès que je quitte deux corps entremêlés, celle du dessous passe dessus et inversement. J’essaie de penser à autre chose pour faire durer le plaisir mais il faut bien comprendre que ça ne peut pas durer éternellement.
Je suis en train de limer ma femme et décide que ce sera avec elle que j’arriverai au plaisir.
Je m’active pour arriver à l’orgasme libérateur et le moment voulu, je me retire et éjacule sur son corps. De longues envolées de sperme finissent par retomber et zèbrent son dos de taches blanchâtres de ses reins à ses cheveux. Les filles se précipitent comme un troupeau de moutons à qui on donne une friandise, c’est la curée ! En un rien de temps, le dos d’Emilie brille de la salive de toutes ces femmes.
-Eh ! Doucement les poulettes ! Le coq n’est pas encore tari. Une petite pose pour que je récupère un peu et on reprend pour le bouquet final.
Une petite heure plus tard, je relance la soirée.
-Reprenez vos positions, mais cette fois, je change d’objectif, demandez à votre binôme de vous préparer à être enculées.
Les bouches et les mains s’activent sur l’anus de leur compagne. Quand je trouve que tout est bien huilé et alésé par des doigts compatissants, je reprends mon chemin de croix.
A chaque « station » devant un fessier offert en offrande, je le consacre de mon gros nœud. L’effort est plus intense car l’endroit est beaucoup plus serré et résiste avant d’abdiquer devant mon défonce-cul. Les deux précédentes éjaculations me permettent de tenir encore plus longtemps.
Je « travaille » chacune d’elles pendant de longues minutes avant d’aller visiter le cul suivant.
Je sais qu’aucune d’elles ne baisent avec personnes d’autre, (à part leur mari pour quelques unes).
Je peux donc me passer de capote.
Je commence quand même à fatiguer mais mon orgueil de mâle me permet d’honorer chacune d’elles avant de graisser le fion, de qui ? Je regarde son visage, c’est celui de Claire. Je vais m’affaler dans un fauteuil, fier du devoir accompli.
-Bien les filles ! J’espère que j’ai été à la hauteur. Qui veut me nettoyer la teub ?
Elles lèvent toutes le doigt mais je n’en désigne que deux.
-Toi, Emilie, et toi, Sylvie. Ma femme et la dernière venue au harem.
Elles ont tôt fait de rendre ma verge immaculée mais ce n’est pas pour ça qu’elles arrêtent de la solliciter. En remerciement à tant de dévouement, la chose relève une nouvelle fois la tête pour retrouver sa forme de compétition.
-Vous allez me tuer, les filles !!!
Pour le moment, l’histoire s’arrête là.
Ma prochaine parution sera « La généalogie de Patrick » où, si vous êtes un peu perdus(es) avec toutes ses conquêtes, je vous récapitule sa vie de malade du sexe. Mais pour lui, cette maladie se soigne et il a trouvé les « infirmières » dévouées pour prendre soin de son addiction irrépressible.
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