Suite à mes ébats avec Céline et Cécile, Cédric veut lui aussi goûter la belle blonde, même s\'il doit pour cela accepter de la partager.
Proposée le 9/05/2015 par André Halphus
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Quelques jours après notre partie à trois (voir Cercle d\'amis 2), Cédric demanda à me parler, avec Céline. Je craignais que Céline lui ait parlé de notre aventure, et qu\'il ne m\'en veuille, à raison d\'ailleurs. Mais ce ne sont pas des excuses qu\'il m\'a demandées : c\'est une revanche. Il avait évidemment été furieux d\'apprendre que Céline, Cécile et moi avions fait une partie à trois, et tout autant énervé d\'apprendre que nous nous étions masturbés l\'un l\'autre à côté de lui pendant son sommeil (voir Cercle d\'amis 1) ! Mais il comptait bien profiter de la situation, et, en réparation, avait demandé à Céline de pouvoir coucher avec Cécile. A elle de s\'arranger pour convaincre la belle blonde.
Ce ne fut pas une mince affaire, parce que Cédric rebutait vraiment Cécile, non seulement pour son hygiène souvent plus que douteuse, mais aussi pour ses manières de rustre. Après d\'âpres négociations entre les trois, ils tombèrent d\'accord, aussi curieux que cela puisse paraître, pour faire un plan à trois avec Cédric, Cécile et moi : Cécile n\'avait jamais tenté (et autant joindre l\'utile à l\'agréable), Cédric pouvait assouvir un fantasme de film porno, et Céline accédait à la demande de réparation.
Une fois la surprise passée, je m\'empressai évidemment d\'accepter, même si partager une fille avec Cédric n\'était pas franchement sur ma liste des immanquables, tester une double-pénétration, qui plus est avec Cécile, me paraissait une idée intéressante ! Nous fixâmes donc la date du rendez-vous, chez Céline, un dimanche (quand Céline est chez ses parents).
Cédric était évidemment le premier sur place, et il me demander d\'arriver en avance, histoire qu\'on se mette d\'accord sur l\'organisation. Il était manifestement très excité, et beaucoup moins gêné de partager une fille avec moi. Son idée était aussi simple qu\'un film porno classique : « double pipe, double péné, et éjac’ faciale ». Au moins, le menu était clair, et c\'est lui qui mènerait les débats. Etant l\'invité de dernière minute, je n\'osai pas critiquer le programme.
Cécile arriva pile à l\'heure, dans une splendide robe d\'été turquoise qui descendait jusqu\'aux chevilles, en partie masquées par ses spartiates blanches : elle portait exactement la même tenue que lors de notre plan à trois ! Au petit sourire en coin qu\'elle me lança, je compris qu\'il s\'agissait évidemment d\'un clin d\'œil, qui mit mon soldat en émoi au souvenir de ce délicieux moment.
Nous commençâmes par nous assoir sur le canapé, et prendre un petit verre d’Hydromel, pour se détendre un peu, et lever nos inhibitions … sauf pour Cédric qui n\'avait manifestement qu\'une hâte : qu\'on passe aux choses sérieuses.
Peu habitué aux préliminaires avec Céline, il n\'avait pas l\'intention de s\'y mettre avec Cécile : sitôt nos verres terminés, il se déshabilla, et nous enjoint à faire de même. L\'imagination de ce qui allait suivre avait tendance à me faire bander, mais me retrouver nu à côté de Cédric eut l\'effet exactement inverse. Cécile et moi nous étions tous deux préparés pour l\'occasion : nous étions donc lavés, et rasés. Elle arborait son petit ticket de métro blond, et moi, comme à mon habitude, je m\'étais rasé le pénis, les bourses et le périnée (je trouve ça beaucoup plus agréable). Pas question pour Cécile de faire quoi que ce soit avec Cédric tant qu\'il ne se serait pas lavé.
Pendant que Cédric procédait donc à ses ablutions, je décidai d\'offrir à Cécile les préliminaires que Cédric n\'avait manifestement pas l\'intention de pratiquer. Je commençai par enlacer Cécile, et déposer sur ses lèvres sucrées un langoureux baiser, digne des plus grandes comédies romantiques, pendant que mes mains descendirent vers ses hanches, ses fesses, puis ses cuisses, avant de remonter lentement par devant entre nos deux corps pour effleurer son Mont de Vénus. Il ne faudrait pas beaucoup de temps à Cédric pour prendre sa douche, nous ne pouvions donc pas trop trainer.
Cécile s\'assit sur le canapé, et se retrouva donc au niveau de mon sexe encore mou. Elle le prit en entier dans la bouche, et l\'aspira avec avidité, pendant que ses mains jouaient avec mes couilles lisses. Elle me fit ainsi grossir, assez rapidement, dans sa bouche. Quand mon sexe atteint sa taille maximale, et le ressortit très lentement de sa bouche, tout enduit de bave luisante. Mon objectif étant de lui prodiguer des préliminaires, je la relevai du canapé, pour m\'y allonger sur le dos, et l\'attirer sur moi en 69.
Elle se jeta alors sur mon manche dressé ver s le ciel, l\'engloutit à nouveau entièrement dans sa bouche chaude et humide, et commença de lents va-et-vient sur toute la longueur de la verge, en aspirant fortement pour augmenter la sensation de pression. Elle avait passé ses deux bras autour de mes jambes, pour me caresser le scrotum et l\'anus par-dessous. De mon côté, je contrôlais la hauteur d\'assise de la belle avec mes mains, pour couvrir son entrejambes de baisers, en alternant des coups de langues, des petits bisous rapides, et des baisers plus appuyés. A nouveau Cécile manifesta son plaisir impatient par de petits grognements et des à-coups du bassin pour me forcer à m\'occuper plus fortement de sa vulve. Je résistai un moment pour la forme, et pour augmenter davantage son impatience.
Pour me punir de mon jeu, elle sortit mon sexe de sa bouche, et se contenta de souffler tout doucement sur le gland, et de faire courir le bout de ses ongles sur ma hampe. Le contact était très excitent, mais appelait une empoignade plus forte … qui ne venait pas. Visiblement plus impatient qu\'elle, je lui montrai que j\'avais reçu son message en la pressant soudainement sur mon visage, mes lèvres enserrant son clitoris pour le sucer et l\'aspirer, et mon nez plongeant dans ses entrailles, pour me remplir les narines de son odeur intime (toujours aussi peu marquée). Je devais la relever assez souvent pour pouvoir respirer, mais ce mouvement créa un va-et-vient naturel qui faisait écho au va-et-vient de ses lèvres brûlantes de désir sur mon sexe.
A ce rythme-là, je n\'allais pas tarder à jouir. Mais peu m\'importait : la sensation était trop agréable, je n\'avais plus la volonté suffisante pour l\'arrêter. Au moins décidai-je de ne pas jouir seul, et j\'accélérai soudainement ma succion de ses petites lèvres. Je forçai Cécile à relever ses fesses, pour pouvoir respirer sans relâcher son clitoris. Cela me permit également d\'enfoncer l\'un de mes doigts dans son vagin déjà dégoulinant de cyprine luisante. Au jet de fluide tiède que je reçu sur le nez, et au cri qu\'elle poussa étouffé par ma bite, je compris qu\'elle venait d\'atteindre l\'orgasme. Je failli partir à mon tour, mais, dans son orgasme, elle agrippa violemment la base de mon sexe, ce qui stoppa net mon orgasme, qui se transforma juste en une libération de quelques gouttes de liquide séminal.
C\'est à ce moment que Cédric revint, tout nu, dans la pièce. Cécile était passée en mode déchainée : le début d\'orgasme qu\'elle venait d\'avoir, et le goût de mon liquide séminal avaient réveillé la bête lubrique en elle. Plus de retenue ou de dégoût : elle poussa ses hanches vers le bas pour se frotter sur mon visage, et agrippa les fesses de Cédric qui s\'était présenté devant sa bouche, pour engloutir son membre encore flasque.
Je ne pouvais pas voir ce qui se passait, je devais quasiment me décrocher la mâchoire pour recueillir le minimum vital d\'air, mais je sentis la jambe de Cédric se coller à la mienne lorsque Cécile passa à l\'action. La position n\'était pas très agréable pour moi. Aussi je me dégageai doucement, pour me mettre à côté de Cédric, pendant que Cécile, sans lâcher le mât maintenant bien dur de Cédric, s\'assit sur le canapé, face à nous.
Une bite dans chaque main, elle se mit à lécher alternativement nos glands, comme une petite fille incapable de choisir entre ses deux sucettes préférées. Le sexe de Cédric était plus long, et surtout beaucoup plus gros que le mien, ce à quoi Cécile ne semblait pas prêter la moindre attention, déchainée qu\'elle était sur nos sexes offerts à son bon plaisir. Nous subissions exactement les mêmes assauts de sa langue et de ses lèvres aspirant notre gland, et de ses mains masturbant lentement nos deux hampes.
Cédric et moi ne pouvions détourner nos regards de ce tableau au contraste envoûtant : un visage si enfantin se délectant de deux bites comme une véritable nymphomane. Nous nous partageâmes sa poitrine : à chacun un sein à malaxer, sous-peser, pétrir à volonté.
A plusieurs reprises Cédric essaya de pénétrer de force la bouche de Cécile lorsqu\'elle avait déjà mon gland en bouche, mais la taille de son joufflu était trop imposante pour qu\'elle puisse absorber les deux en même temps. Comme pour rappeler qu\'à l\'origine cette séance lui était destinée, il prit le visage de Cécile dans ses mains et la força à accentuer la succions sur sa bite, en l\'enfonçant le plus loin possible, ravi de constater que son membre était trop gros pour que la petite bouche de Cécile puisse l\'avaler en entier. Pour accentuer davantage son image de mâle dominateur, il se mit littéralement à baiser la bouche de Cécile, qui avait de plus en plus de mal à reprendre son souffle.
Elle finit par le repousser pour respirer enfin. Cédric saisit alors son gourdin luisant de bave et, comme dans les films porno, en frappa le visage de Cécile, qui sortit sa langue en poussant des feulements d\'excitation : puisque Cédric voulait se prendre pour un acteur de X, il allait être servi.
Lassé de la bouche de notre blonde, Cédric positionna son dard entre les deux énormes seins de la belle, pour se lancer dans une branlette espagnole de compétition. Il s\'occupa lui-même d\'empaumer les seins de Cécile pour enserrer sa bite, et recommença ses va-et-vient du bassin. Grand prince, il me laissait la bouche et les mains de Cécile pour mon loisir, ce dont je ne me privai pas. Cécile ne resta d\'ailleurs pas inactive, qui avala toute ma bite d\'un coup, devant le regard lubrique de Cédric, à la fois ravi de marquer son avantage physique sur moi, et en même temps excité du spectacle de cette pipe endiablée dont j\'étais la très heureuse victime. Pour achever le tableau, tout en me tenant les bourses d\'une main, pour contrôler la pénétration buccale, elle commença à se masturber elle-même avec sa main libre.
Je ne sais pas pour Cédric, qui poussait des grognements à chaque à-coup, mais en ce qui me concerne, je ne pouvais résister très longtemps au traitement que me prodiguais notre sublime compagne du moment. Heureusement pour moi, Cécile était entrée dans un état d\'excitation tel, qu\'elle se releva d\'un bond, nous prenant tous deux de court, me poussa sur le canapé où je m\'assis tout penaud, et vint s\'empaler d\'un coup sur mon pieu dressé pour elle. Après deux ou trois mouvements de mise en place, elle pu reprendre le sexe de Cédric en main, pour lui montrer enfin tous ses talents de branleuse / suceuse.
Ne pouvant approcher mes mains des seins de Cécile sans risquer de toucher la bite de Cédric, ce dont je n\'avais pas très envie, je me contentai de pétrir ses hanches et ses fesses, en aventurant de temps en temps quelques doigts curieux sur son clitoris ou sa vulve.
Cédric garda ses mains suspendues comme un funambule cherchant son équilibre, pendant que Cécile masturbait les couilles et la hampe de Cédric avec ses seins et ses mains, et aspirait le gland le plus loin possible dans sa bouche. Cédric prenait visiblement beaucoup de plaisir, peut-être même trop : il fit arrêter Cécile, et me lança un regard complice, sous-entendant, selon son plan, qu\'il voulait passer à l\'étape suivante. Mais Cécile n\'était pas encore prête pour subir une double pénétration. Elle demanda donc à Cédric de s\'assoir à son tour sur le canapé, et le chevaucha, en restant tournée vers moi.
Elle descendit très lentement sur la verge gonflée, laissant ses chairs se distendre progressivement, jusqu\'à faire complètement disparaitre le pal dans son intimité. Je laissai Cécile tranquille pendant toute l\'intromission, me contentant de me flatter la verge, pour maintenir mon niveau d\'excitation, ce qui n\'était d\'ailleurs pas difficile !
Une fois installée correctement, elle entama les va-et-vient sur Cédric, et, pour continuer sur sa lancée égalitaire, me proposa le même traitement qu\'à Cédric, en alternant les coups de langue sur le gland et les frictions entre ses deux seins merveilleusement moelleux (pour une raison évidente de taille, elle ne pouvait pas faire les deux en même temps). J\'avais besoin, pour apprécier pleinement la situation, de rester connecté à Cécile, je plaçais donc mes mains sur les siennes, sans les presser, juste pour maintenir le contact, tout en la laissant diriger la manœuvre.
L\'excitation et le plaisir atteignaient des sommets pour nous trois, et Cécile fut la première à exploser, maculant les bourses de Cédric de son habituel jet de fluides intimes, et comprimant mon sexe entre ses seins, secoués par ses spasmes de plaisir. Si son orgasme s\'était prolongé ne serait-ce que 10 secondes de plus, j\'aurais explosé à mon tour, et Cédric n\'était visiblement pas mieux loti.
Mais le calme revint après la tempête, et Cécile se releva pour se tourner vers Cédric, permettant à nos deux baguettes de calmer la musique. Cédric me regarda à nouveau pour me demander de préparer Cécile pour la suite.
Pour me laisser la place d\'agir, celle-ci s\'accrocha au cou de Cédric, écrasant leurs deux poitrines l\'une contre l\'autre. Je descendis donc doucement mes mains le long de son dos, dans de suaves caresses que j\'espérais tendres et sensuelles, jusque sur ses fesses, pour finalement faire converger mes doigts vers sa rosette tendue vers moi, et déjà bien humidifiée de ses sécrétions vaginales. Pour me faciliter le travail, du moins je suppose, Cédric agrippa, puis écarta au maximum, les fesses de Cécile, afin que je puisse me concentrer sur le col interdit.
J\'humidifiai d\'abord mon pouce avec ma salive pour lui prodiguer quelques caresses, et effectuer une première reconnaissance du terrain. Dans mes mouvements de va-et-vient, mon pouce s\'approchait de plus en plus de la verge de Cédric que je voyais par intermittence, au rythme de la chevauchée de Cécile.
Je repensai alors à nos jeux d\'enfants, quinze ans plus tôt, lorsque Cédric et moi faisions des jeux de rôles, prétendant être des agents secrets en mission, nous battant contre des ennemis imaginaires, faisant mille cascades. Dans nos jeux, nous faisions toujours un homme et une femme, comme dans les films, et nos missions se terminaient inlassablement par la scène de cul indissociable des films d\'action américains. Nos jeux s\'arrêtèrent peu après la puberté de Cédric, qui préféra sans doute passer à une approche plus réelle de l\'acte sexuel.
Après tout, cette verge, je l\'avais plus d\'une fois masturbée à travers le jogging de Cédric. Je décidai donc de poursuivre mon mouvement de descente jusque sur l\'entrée du vagin de Cécile, pour me fournir en lubrifiant à la source, et donc fatalement au contact du sexe brûlant de mon alter ego, qui était dans un tel état d\'excitation qu\'il ne se préoccupa pas le moins de monde de l\'origine de ce nouvel attouchement.
J\'ajoutai rapidement ma langue à mes doigts pour m\'appliquer à faire la plus agréable des feuilles de rose. Cécile commençait à grogner de plaisir et d\'impatience, et se redressa un peu pour me dire qu\'elle n\'était plus vierge de ce côté-là : je devais certes la préparer, mais ce n\'était pas la peine de faire tant de chichis : là, c\'est du sexe bestial qu\'elle voulait !
En grand serviteur de ces dames, je n\'allais pas la priver de son fantasme. D\'ailleurs, soyons honnêtes, nous réalisions tous les trois un fantasme partagé ! Je présentai donc mon gland devant la rosette humide de Cécile, qui arrêta sa chevauchée endiablée pour le laisser entrer. Je poussai lentement mais fermement pour passer le sphincter. Une fois le gland passé, je poussai plus rapidement pour rentrer complètement dans la grotte interdite et néanmoins très accueillante. Cédric dut sentir le mouvement car il poussa lui aussi un ahan de surprise, qu\'il transforma rapidement en grognements de plaisir lorsque, de ses mains toujours agrippée aux fesses de Cécile, il lui fit reprendre la chevauchée fantastique.
Je m\'agrippai pour ma part aux hanches de notre blonde, qui commençait à perdre le contrôle de son propre corps sous l\'effet de cette double pénétration. Je ne sais pas exactement ce qu\'elle pouvait ressentir, mais c\'était manifestement très agréable, et réveillait en elle une bestialité que je ne luis avait encore jamais vue. Entre les \"Oui\" et les \"Han\", elle nous ordonna d\'aller plus vite, plus fort, plus loin. Cédric, assis sur le canapé, poussa de ses pieds au sol pour augmenter sa pénétration.
Je sentais son énorme bâton glisser dans l\'autre antre de Cécile, que j\'attirai soudainement à moi par les cheveux d\'une main, et un sein de l\'autre main. Loin de se fâcher de cette initiative, elle cria son plaisir en entamant un ballet de langues avec moi. La multiplication des contacts entre nos corps, et l\'aspect transgressif de notre position, éveillèrent en moi une bestialité que je ne soupçonnais pas davantage. A chaque butée, je poussais le plus loin possible comme si je voulais la transpercer de part en part, cognant au passage mes couilles contre celles de Cédric, qui se mit à claquer les fesses de Cécile et à les écraser comme des citrons que l\'on presse. Il imprimait un rythme soutenu à Cécile, il se masturbait presque avec son bassin, qu\'elle ne pouvait de toutes façons plus mouvoir elle-même.
Nous criions tous les trois de façon désordonnée, de plus en plus fort, de plus en plus vite. J\'avais définitivement attiré Cécile contre moi en la tirant par un sein, que je comprimais aussi violemment qu\'un enfant sert son doudou après un cauchemar, et par son cou que j\'enserrais juste assez pour montrer ma domination sur le cops de Cécile qui nous était totalement offert, mais sans pour autant l\'étrangler ! J\'en étais arrivé à un tel point, que je ne me souciais plus ni de l\'un de l\'autre : je voulais juste jouir de ce petit corps si sexy, en me frottant sur le mât de Cédric à travers le fondement de Cécile.
Je finis par atteindre le point de non retour, qui provoqua en moi un tel déchainement de passion que je trouvai encore la force d\'accélérer et d\'accentuer davantage mes mouvements, jusqu\'à la libération finale en chaine : mon orgasme dévastateur, et surtout sa manifestation violente sur le corps de Cécile, déclencha son propre orgasme : les yeux exorbités, plus aucun son ne sortit de sa bouche. Trop de sensations se bousculaient en elle, ses cordes vocales étaient saturées, son diaphragme trop contracté : un longue plainte silencieuse accompagna le déchainement de ses entrailles, jusqu\'à ce que finalement sa gorge se libère et nous délivre un cri rauque, animal, prélude à des spasmes plus violents que jamais : son bassin reprit vie tout seul, ses mains s\'agrippèrent à sa poitrine, qu\'elle serra bien plus fort que je n\'avais oser le faire moi-même. Cédric n\'avait même plus besoin de bouger tant le bassin de Cécile s\'excitait dans tous les sens. Je sentais les parois de son rectum palpiter, et je suppose qu\'il en était de même avec son vagin.
L\'orgasme de Cécile dura quasiment une minute, à la fin de laquelle Cédric explosa à son tour. Je sentis son sexe gonfler par à-coup à chaque jet de sperme, dont Cédric nous prévenait involontairement de l\'arrivée par un grognement d\'ours affamé. L\'intensité de mon orgasme avait été telle que j\'avais quasi-instantanément débandé. Mais je m\'étais suffisamment agrippé à Cécile pour rester en elle. L\'enchainement des orgasmes de mes deux partenaires acheva de me remettre d\'aplomb, prêt pour une troisième manche.
C\'est d\'ailleurs Cédric qui demanda cette nouvelle manche : certes il avait joui, mais il n\'avait toujours pas visité l\'antre secret de Cécile, et il n\'était pas décidé à rendre les armes avant de l\'avoir fait. Cécile n\'était certes pas vierge de ce trou, mais elle n\'y avait encore jamais accueilli une verge aussi large que celle de Cédric. Et elle n\'avait plus la force de recommencer dans la même position. Elle s\'allongea alors sur le canapé, en offrant sa croupe à la verge flasque de Cédric, et me demanda de venir devant elle, pour qu\'elle puisse s\'occuper de moi avec ses mains et sa bouche. Nous acceptâmes tous deux sa proposition : après avoir frotté son gland sur la vulve détrempée de Cécile, pour se redonner de la vigueur, Cédric força lentement mais sûrement la collerette de Cécile, qui se cramponna à mon dard, ravi de servir de point d\'accroche !
Comme à son habitude, Cécile commença par nettoyer mon sexe de toutes ses sécrétions, mélange de tous nos fluides intimes, ce qui lui fit rapidement retrouver un niveau d\'excitation qui lui permettait d\'apprécier la pénétration de Cédric et de son imposant gourdin. Pour s\'assurer de jouir elle aussi de la situation, elle plaça elle-même la main de Cédric sur son chaton baveux et lui montra le mouvement qu\'elle attendait.
Si Cécile n\'avait pas l\'habitude de se faire prendre par derrière par une bite aussi grosse, Cédric n\'était pas non plus habitué à pénétrer un trou aussi serré. Et se voir enfin \"casser le cul\" de Cécile, comme il m\'avait de nombreuse fois avoué fantasmer, le plongea lui aussi très rapidement dans un état d\'excitation élevé.
Régulièrement, pour maintenir son excitation au plus haut point, Cécile prenait la main de Cédric pour la nettoyer de ses sécrétions intimes. Le goût du sperme avait sur elle un effet dévastateur. Additionné à la pénétration de plus en plus violente de Cédric, qui pour une fois se montrait particulièrement attentionné sur son doigté dans la vulve blonde, Cécile atteint rapidement l\'orgasme : elle plaqua sa main sur celle de Cédric, comme si elle voulait se l\'enfoncer à travers le pubis, et éjecta, par ses spasmes internes, le sexe tendu de Cédric, qui dut, tout comme moi, se contenter de rester spectateur de ce spectacle aussi merveilleux qu\'est la jouissance d\'une femme.
Une fois remise de ses émotions, Cécile se rassit sur le canapé, nous invita tous deux à nous mettre devant elle, pour boucler la boucle. Mais avant elle avait une dernière requête à satisfaire. Ce n’était pas vraiment un fantasme pour elle, mais l’une de ses amies lui avait déjà dit fantasmer sur le fait de voir ses deux amants se branler l’un l’autre. Elle profita donc de l’occasion qui lui était faite pour voir si elle trouverait une telle scène excitante.
Elle saisit d’abord nos deux membres dans ses mains, puis emboucha celui de Cédric. Avec sa main ainsi libérée, elle saisit la main de Cédric et la posa sur son mon sexe. Cédric n’était manifestement pas très emballé, mais il était impossible de résister aux yeux passionnés de Cécile. Sa deuxième main libérée, elle saisit la mienne pour la poser sur le vit palpitant de Cédric. J’avoue que sentir ce membre si imposant dans ma main me procura un intense sentiment de plaisir, comme si je pouvais enfin voir ce que ça faisait d’avoir un gros sexe.
Pour admirer son œuvre, Cécile recula sa tête pour nous regarder nous activer sur la bite l’un de l’autre. Si Cédric se contentait du minimum syndical, avec l’aide de Cécile qui me caressait une fois de plus des bourses à l’anus, je profitai de l’occasion pour tester mes capacités à donner du plaisir à un homme. Je flattai toute la longueur de la hampe de mon voisin, puis refermai doucement mes doigts sur son énorme gland, pour enfin coulisser jusqu’à la base, et recommencer encore et encore en accélérant. Je pense que malgré tout Cédric appréciait la caresse. Mais il aurait préféré qu’elle vienne de Cécile, qui ne trouva pas l’expérience très concluante : elle aimait autant s’occuper de ses jouets elle-même.
Comme au début de notre séance, elle reprit alors une baguette dans chaque main, et alterna les pipes sur l\'une puis sur l\'autre. Elle regarda Cédric dans les yeux, de ce regard si sexy et provocateur à la fois, et lui demanda s\'il voulait jouir en premier. Puisqu\'il répondit par la négative, elle se tourna vers moi, avec le même regard, et me demanda comment et où je voulais jouir.
A ma demande, elle accorda toute l\'attention de sa bouche sur mon mât tendu vers elle, et l\'avala en entier. Sa main, devenue inutile sur ma verge, se déplaça sur mes bourses, qu\'elle massa délicatement mais fermement, me sachant sensible de cette partie de mon anatomie. Comme lors de nos précédents ébats, elle envoya un doigt fureteur en reconnaissance sur mon périnée et jusqu\'à mon anneau brun, toujours aussi ravi de ces excursions. Voir Cécile me sucer de la sorte tout en masturbant Cédric avec son autre main ajoutait l\'excitation extrême au plaisir que me procurait sa bouche, dans laquelle je me déversai rapidement en de puissants jets. C\'était certes mon deuxième orgasme en peu de temps, mais elle savait y faire. Elle me pompait tellement qu\'on aurait dit qu\'elle aspirait le sperme directement jusque dans mes couilles.
Elle avala avec soin mon présent pour elle, et se tourna, une fois ma verge nettoyée et sa bouche vidée, vers Cédric, pour lui demander à son tour comment et où il voulait jouir. Lui aussi voulut jouir de sa bouche, mais il voulait jouir sur ses seins. Tout comme il rêvait de lui \"casser le cul\", il rêvait également de lui \"barbouiller les miches avec [son] foutre\". De la main gauche, Cécile saisit les bourses encore gonflées de Cédric, en les caressant doucement, et plaça sa main droite à la base de la hampe. Elle emboucha le reste et commença des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus profonds, jusqu\'à sentir les prémices de l\'explosion. Elle recracha alors la verge baveuse de Cédric, la pointa vers ses deux énormes globes, et se lança dans une masturbation frénétique avec ses deux mains. Cédric lui intima l\'ordre de se masturber elle-même en même temps, ce qu\'elle fit avec plaisir.
Dans un spectacle son et lumière de première qualité Cédric finit par exploser, ponctuant les volutes de liquide blanchâtre de cris rauques : du rut à l\'état pur. Les colonnes de spermes s\'écrasaient sur la chair granuleuse des seins de Cécile, dont la chair de poule n\'était pas le seul témoin du plaisir grandissant : plus le liquide brûlant de Cédric s\'écrasait sur son buste, plus ses tétons durcissaient, comme s\'ils allaient se détacher. Lorsque le feu d\'artifice prit fin, en guise de bouquet final, Cédric essuya son gland sur les tétons durcis de la blonde, qui entrait à nouveau en transe.
Le contact du gland sur ses pointes l\'acheva : elle s\'agrippa de plus belle au bâton mollissant de son bienfaiteur et agita frénétiquement son autre main sur son clitoris, dans un bruit de clapotis qui réveillerait même un eunuque, jusqu\'à la libération finale, suivant toujours la même mécanique : des spasmes incontrôlés du bassin, des filets de liquide intimes maculant le canapé et le sol, et des petits cris de chatte en chaleur, qui contrastaient fortement avec les grognements d\'ours de Cédric quelques secondes plus tôt. Une fois la tempête calmée, elle joua un peu avec le sperme de Cédric, en se l\'étalant sur les seins, avant de le ramasser pour le manger, comme elle mangerait des gouttes de glace qui auraient coulé sur son t-shirt, en nous regardant d\'un petit air mutin, comme une petite fille pas sage prise en flagrant délit.
Nous étions tous trois repus sexuellement. Nous nous rhabillâmes tranquillement, avant de partir chacun de notre côté, comme si rien ne s\'était passé.
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