Aurélie arrive enfin en vacances et veut profiter du calme d'une plage un peu isolée. Cependant, sa relaxation se retrouve perturber par l'arrivée d'un couple de vacanciers, qui s'installe tout près d'elle.
Proposée le 12/02/2019 par Dragoncita
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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Après une année de dur labeur, Aurélie peut enfin souffler. Cette petite brune, en fin de sa vingtaine, peut enfin se payer de belles vacances. Le trajet n’est pas de tout repos, avec plusieurs heures à alterner entre trains et bus, mais la voici enfin sur les rives de la Méditerranée. Une petite plage sauvage à sa disposition, avec un mélange entre des galets et du sable sur 200 mètres entre des rochers, mais pas plus d’une dizaine de personnes en tout sur ce petit coin de paradis, perdu quelque part entre Barcelone et Valence.
Après une petite marche, ayant laissé son vélo sur le parking un peu plus haut, cette plage étant assez loin des axes routiers, elle s’installe tranquillement sur sa serviette. Tout le nécessaire a été prévu pour rester de longues heures ici, que ce soit la crème solaire, le petit oreiller, un livre et un petit carnet de mots fléchés, afin que le cerveau ne soit pas complètement à l’arrêt, mais pas de téléphone. De toute façon, cela ne capte surement pas ici.
Une fois dévêtue, la voici en bikini noir. Le haut resserre et redresse un peu ses seins, qui ont été tombant depuis l’adolescence, ce qui n’a pas manqué de la complexer. Au contraire, elle est très fière de ses fesses bien fermes, que le bas laisse bien visible. Après tout, autant bronzer un maximum et profiter du soleil catalan.
Une petite heure passe et Aurélie décide enfin d’aller à l’eau. Il n’est pas nécessaire de préciser l’agréable température marine et elle avance vite pour aller faire quelques longueurs, pour se défouler un peu et user de l’énergie, comme s’il fallait se donner une raison pour retourner se reposer pendant encore toute la journée.
À son retour sur sa serviette, elle remarque que deux personnes viennent se s’installer. « Ils ne s’embêtent pas ceux-là » Se dit-elle à la première réflexion, puisqu’il restait de la place plus loin d’elle sans pour autant aller gêner les autres. Mais bon, ce sont les vacances, on ne se prend pas la tête et on profite.
Sans pour autant écouter leur conversation, elle ne peut s’empêcher de remarquer qu’ils parlent français. Certes, l’accent diffère bien du sien, mais elle trouve réconfortant d’entre sa langue natale, après 24 heures uniquement en espagnol ou en catalan, dont elle ne connaît que quelques mots, même si elle se débrouille et parle parfaitement l’anglais.
Elle découvre ainsi que le garçon, blond, assez petit comme elle, mais au physique assez athlétique, s’appelle Sven, puis que la fille, blonde aussi, plus grande, mais plus fine qu’elle s’appelle Tina. Les présentations n’ont pas eu lieu, mais les entendre discuter à suffit à faire deviner ça.
Sans pour autant les épier, elle jette un petit coup d’œil à ce jeune couple. Sven laisse vite tomber le t-shirt et le bermuda pour se retrouver en boxer de bains. Quant à Tina, elle ôte sa robe rouge pour laisser dévoiler un bas de bikini de la même couleur, mais absolument aucun haut. Absolument pas timide, elle aussi s’apprête à faire bronzer une zone intime de son corps, comme Aurélie, même si elle couvre un peu plus ses fesses qu’elles.
Les yeux d’Aurélie restent alors un peu plus rivés sur elle, admirant la poitrine de Tina, non pas par envie ou par désir, mais avec un soupçon de jalousie. Ses quelques angoisses de jeunesse remontent, alors qu’elle s’apprête à vite tourner les yeux. En effet, Sven passe de la crème solaire sur le corps de Tina, lui malaxant bien mollets et cuisses, puis lui massant dos et bras, passant délicatement sur son virage sans oublier le cou, le tout sans avoir non plus oublier le torse et les seins, qu’il malaxe amplement en étalant la protection aux UV.
Aurélie rougit un peu et décide de se replonger dans son livre, même si la concentration n’est pas à son paroxysme. Quelques instants plus tard, alors que Tina est vite parti à l’eau, elle entant « Hola ».
Sven la salue poliment et Aurélie lui répond « Bonjour ».
La glace est rompue et un début de discussion a lieu. Elle découvre qu’ils viennent de Genève (c’était donc ça cet accent) et qu’en fait elle s’appelle Martina, mais que tout le monde l’appelle Tina depuis la plus tendre enfance.
Le reste de l’après-midi est plus calme. Même s’ils sont relativement proches et que quelques mots seront échangés, tantôt avec Sven, tantôt avec Tina, il s’agit surtout de frivolité, comme des petites remarques sur le côté agréable de la plage ou bien encore s’échanger quelques biscuits pour grignoter.
3 heures plus tard, alors qu’on approche 19 heures, Tina décide de repartir. Certes il est encore tôt, mais lorsque ses voisins lui demande la raison, elle explique qu’elle voudrait voir le lever de soleil sur la mer, qu’elle avait déjà vu un coucher de soleil sur l’Océan Atlantique et que ça lui tentait de mettre son réveil le lendemain pour aller voir ça. Les trois connaissances se saluent et Aurélie se rhabille, puis repart à vélo.
Un quart d’heure plus tard, en danseuse en pleine montée d’un Puig, sur le chemin la ramenant au petit village dans l’arrière-pays où elle loue un tout petit 12 m², elle se retrouve rattrapée par une berline argentée, qui peine à la dépasser avec l’étroitesse de la route. Elle se met sur le côté, pour les laisser passer, mais la voiture ne la double pas. La vitre teintée côté passager se baisse et Aurélie découvre alors les deux Suisses, qui lui proposent amicalement de la redéposer. Il ne reste alors que 3 kilomètres, en descente, et le plus dur a été fait, mais elle accepte volontiers.
Au bas de son hôtel, elle s’apprête à aller ranger son vélo. Sven lui propose alors d’aller boire un verre, si elle connaît un bar en ville. Puisqu’elle vient d’arrivée, rien ne lui est encore connu, pas plus que pour le couple Helvète, dans la même situation et qui comptait découvrir le village le lendemain. Tina propose alors le cocktail à la tequila qu’ils ont en leur possession depuis la nouvelle année, qu’ils n’ont pas encore eu l’occasion de goûter et qu’ils avaient pris au cas où pour ses vacances. Aurélie hésite, mais puisqu’elle n’aura qu’à traverser la route pour rentrer, elle accepte.
Une fois dans l’appartement, elle ne peut que constater la différence de moyen entre ses deux hôtes et elles. On n’est pas dans la suite la plus luxueuse d’un palace, mais il y a déjà au moins 3 pièces, ce qui est plus que ce dont elle dispose le reste de l’année.
Dans le salon, l’ambiance est bonne. On boit quelques petits verres et on grignote un petit peu. On fait connaissance sans vraiment faire connaissance, se racontant des petites anecdotes vaines. Aurélie sait ainsi quelques petites histoires d’enfance de Sven et de Tina et elle sait qu’ils se connaissaient adolescents, sans pour autant savoir depuis quand ils sont ensemble, ni même s’ils vivent ensemble à Genève. Elle est curieuse, mais réservée, alors elle se dit que cela finira bien par se savoir dans le reste de la soirée.
La tequila désinhibe les trois convives et le ton de la discussion s’ouvre de plus en plus. Si bien qu’Aurélie fini par avouer ses complexes ressurgissant sur sa poitrine, d’autant plus face à Tina. Assis tous proches, sur des sièges de bar autour d’une table ronde assez petite, elle propose même à Tina de remontrer sa poitrine.
Cette dernière se montre alors assez prude et hésite, rougit. Aurélie lui fait alors remarquer qu’elle a la même robe que sur la plage et que la lever suffirait à exposer sa belle poitrine. Elle se tourne alors vers Sven, qui lui dit que ça ne le dérangeait pas qu’elle se dénude. Elle bouge alors les fines bretelles se sa robe, qu’elle laisse couler sur son corps, exhibant ainsi ses seins.
« Tu vois comme ils sont beaux » s’écrie alors Aurélie.
« Je ne sais pas trop » lui dit timidement Sven, alors que Tina rougit de plus en plus.
Bien qu’elle ait déjà l’idée derrière la tête, Aurélie fini alors rapidement son verre, comme un prétexte pour se donner le courage nécessaire à faire ce qu’elle va faire.
Elle ouvre alors son chemisier blanc et l’enlève, puis ôte son soutien-gorges, laissant dévoiler sa poitrine, plus généreuse que celle de Tina, mais bien moins ferme.
« Honnêtement, tu préfères lesquels ? » demande alors Aurélie, d’un ton bien décidé.
À suivre …
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