"Sex addict pathologique", mon amant magnifique ? Pathologique, je ne sais pas... En tous cas, ne change rien meu Paulo. Surtout pas ! A chaque fois qu'il me rejoint c'est "samba" et rigolade...jusqu'au bout de la nuit.
Proposée le 6/01/2019 par wooowww
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Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
J'adore me faire rimmer et celui qui me rimme le mieux en ce moment, c’est Paulo. Paulo, je l’ai rencontré il y a un peu plus d’un an. C’était à l’occasion d’un shooting photo pour des maillots de bain. Car Paulo est top model, brésilien de surcroît. Un ami m’avait demandé d’aller le récupérer à l’aéroport. A la seconde où je l’ai vu, dans la file des passagers, j’en suis tombé raide dingue. Sans même savoir s’il était homo. D’ailleurs, il est plutôt bi et surtout, insatiable côté sexe. Faut dire qu’avec le physique qu’il a…Et pourtant, dès le premier soir, dans la villa mise à sa disposition par la production, il m’a littéralement sauté dessus. Ce fut une première nuit d’enfer. Il y en a eu bien d’autres depuis. Même si nous ne vivons pas ensemble en permanence, son métier l’obligeant à courir le monde. Pour préserver son image, et faire fantasmer femmes et hommes, il se doit d’être discret sur sa vie privée. C’est pourquoi, Paulo n’est pas son vrai prénom. Bien sûr, ce n’est pas simple. Je passe mes nuits à attendre sa venue- toujours en coup de vent, 2 ou 3 nuits maxi-. Il m’a toujours dit qu’il voulait rester libre et donc que, moi aussi, je pouvais faire comme bon me semble. Pourtant, au fil du temps, je remarque à des petits riens, qu’il s’attache de plus en plus. Pour moi, c’est fait depuis longtemps.
L’autre nuit, chaleur d’enfer. Je dormais nu, seul, fenêtre ouverte. Je me suis soudain retrouvé plongé dans un rêve plus que hot. J’étais dans une « soirée », on était plusieurs gars nus, serrés les uns contre les autres, en levrette, offerts aux langues des mecs d’un club. Je me faisais lécher, rimmer, doigter en permanence par des langues différentes qui se succédaient presque sans interruption. Mon voisin de droite en profitait pour me branler doucement tout en se faisant rimmer. Je sentais des langues me parcourir doucement la raie. Commençant par me chatouiller les couilles par en dessous puis remonter lentement dans la raie jusqu’à mon œillet et y exercer de légères poussées du bout de la langue. J’ADORE ça ! Vraiment. A un moment, je me suis mis à regretter que ce ne soit pas Paulo qui soit là à me rimmer comme lui seul sait le faire….J’aurais tant voulu….Est ce que je prenais mes désirs pour des réalités ? On aurait dit que ces petits coups de langue nerveux, cette façon de me titiller la rondelle…Ca ressemblait furieusement à la manière de Paulo. J’émergeais une seconde de mon rêve. OUI ! C’était bien lui !! Il avait du rentrer en pleine nuit et se glisser sous le drap. Aussitôt, je décidais de continuer à faire semblant de dormir… Quelle douceur il y mettait ! Il ne voulait probablement pas me réveiller trop vite. C’était donc sa main qui me branlait doucement. Je fis mine de bouger dans mon sommeil pour mieux m’offrir à ses caresses buccales. Je sentais sa langue pointue sur mon œillet, cherchant à se glisser par petites poussées. Trop trop bon ! Mon cher Paulo était là ! La nuit allait être torride. Il écartait tout doucement mes globes. Je sentais son souffle chaud et la pointe chaude de sa langue. Ca y est ! Elle était un peu passée. C’était doux et chaud. Je savais que ça pouvait durer un bon moment car, lui aussi adorait me rimmer. Croyait-il vraiment que je dormais encore ? Pas sur, mais il faisait comme si. Question sexe, Paulo comme moi, on est plutôt joueur. Pour l’embêter un peu, je décidais de changer de position dans mon sommeil et de me mettre sur le dos…Je sentis le drap se soulever et bientôt je respirais l’odeur forte de la bite de Paulo, là, juste sous mon nez. Maintenant, elle effleurait très légèrement mes lèvres du bout de son gland humide. Je fis mine de la chasser de la main comme s’il s’agissait d’un moustique ! Je l’entendis étouffer un petit rire. Qu’allait-il inventer maintenant ? Il me prit très très doucement la main et la posa sur sa bite tendue comme un arc. Je fis comme si je ne réagissais pas. Il se mit alors à coulisser doucement dans le creux de ma main. En même temps, il glissa sa bouche vers ma bite. Lèvres ouvertes, il soufflait le chaud sur mon gland décalotté et mouillé. J’attendais qu’il resserre doucement ses lèvres…Ce qu’il fit. Je ne pus m’empêcher de tressaillir tellement c’était bon. Du coup, je stoppais le jeu. J’empoignais à pleines mains sa tête et lui faisait avaler ma bite d’un coup, en rigolant.
« -Hi ! I was sure you don’t sleep anymore ! » dit-il en s’esclaffant, lui aussi.
On se précipita fougueusement l’un vers l’autre pour s’embrasser longuement, passionnément. J’aimais tout chez Paulo. Sa chevelure abondante, noire de jais, son beau visage, ses lèvres charnues, ses dents éclatantes, son odeur, ses pecs, ses abdos fins, son ventre plat ourlé d’une ligne de poils qui filait vers une bite somptueuse entièrement rasée, sa chute de reins, ses fesses super galbées, sa raie large et profonde. Sa joie de vivre aussi, son optimisme, son côté rigolard qui ne se prend pas au sérieux. TOUT. Absolument tout. Et sa peau café au lait, si douce…
Paulo disait -en riant-, que ce qu’il aimait le plus chez moi c’était…mes yeux ! Et mon petit cul ! Tiens….et pas ma bite ?
Il m’entraina vers la douche à l’italienne pour une longue séance de caresses, de massages, de baisers, collés sous le jet ruisselant. Je savais qu’il avait terriblement envie de me défoncer, de jouir dans mon ventre et pourtant il savait prendre son temps et faire monter doucement le désir. Paulo est très très endurant. Deux fois par nuit, c’est un minimum. C’est plus souvent trois. Plus la journée. Il dit qu’il adore faire l’amour. Il n’a pas besoin de le dire, il respire l’amour, il exhale l’amour.
Revenus dans la chambre, j’ai eu droit à une nouvelle longue séance de rimmage car il sait que j’adore ça. En plus, il suce les couilles comme personne. J’étais chaud comme la braise et prêt à assouvir tous ses désirs. J’étais son amant, sa chose. Il peut faire ce qu’il veut de moi. Je ne demande que ça…On enchaina par un 69 d’anthologie. J’adore sa bite. J’adore la sentir dans ma bouche. J’adore la sentir aller et venir dans mon ventre. J’adore la sentir vibrer dans ma main quand je la branle. J’adore la lécher jusqu’à la dernière goutte quand il a joui. Moi, je dois essayer de me contrôler plus que lui car je viens beaucoup plus vite que lui. Ca aussi, à la longue, il l’a senti et il sait très bien me faire durer le plus possible. Après, il m’a pris pratiquement dans toutes les positions qu’il connait -et il en connait beaucoup-, sans oublier ma préférée pour le final : mes jambes accrochées à sa taille, adossé au mur et défoncé par en dessous par son dard en furie. A chaque coup de bite, il vient m’exciter la prostate du bout de son gland. Divin. Un hurlement de jouissance et il se vide dans mes entrailles. Je sens son foutre chaud qui m’envahit. Il est ruisselant de sueur. Je le ramène sur le lit, je me réenfile sur sa bite gluante et je reste ainsi collé à lui, sa bite en moi. Car il a aussi la chance de débander très très lentement. Je n’aime rien tant que ces moments là. Je sais qu’il va sombrer pour un petit temps dans un sommeil réparateur. Je vais le garder tout contre moi, en moi, mon désir pour lui intact….
Je le dévore des yeux, lui caresse les cheveux, essuie sa sueur sur son torse, lui caresse les fesses. Je sens qu’il débande doucement. Je me retire doucement. Il dort. Sa lèvre supérieure retroussée laisse voir deux dents immaculées. Je prends mon portable et fais quelques photos de son superbe corps. Je lui montrerai tout à l’heure. J’ai terriblement envie de lui mais je veux aussi le laisser récupérer un peu. Alors, je me place derrière lui, tout contre lui. Ma bite tendue se glisse dans sa raie et je me mets à bouger très très lentement. Mes mains caressent doucement sa bite et s’enduisent de son sperme. Je les porte à ses narines pour le faire émerger un peu. A moitié inconscient, il écarte sa jambe gauche pour me laisser coulisser plus aisément et accéder à son trou. Mon gland ruisselant lubrifie sa rondelle tout en douceur. Je le doigte un peu. Mon doigt passe facile. Je pousse un peu avec mon gland qui entre sans problème. Je ne bouge plus. Il émerge doucement et me sent en lui. Il tire sur mon cul pour que je m’enfonce plus. Il suce mes doigts enduits de son sperme. Je suis maintenant complètement en lui et je me mets à le limer doucement. Il me demande de mettre un peu de gel, ce que je fais copieusement. Il se met en levrette, offert. Je me mets à le bourrer. Il murmure des mots en portugais. Je le retourne sur le dos. Il pose ses jambes sur mes épaules et je l’enfile d’un seul coup. Je sais qu’il ne dédaigne pas parfois avoir des rapports « musclés ». Alors, je me retire à chaque va et vient et l’embroche de toute la longueur de ma bite, rudement. Son visage s’éclaire et irradie. Il m’encourage du regard à continuer, me tirant à lui à chaque coup de bite. Mes couilles claquent contre son cul. Il me dit qu’il adore ce bruit là. Ma bite glisse parfaitement dans son fourreau, bien au chaud. Putain que c’est bon ! Je commence à haleter. Je me déchaîne sur son trou. Il gémit de plus en plus fort. La tête de lit bat la cadence contre le mur. Je m’accroche à lui de toutes mes forces, je sens que je vais exploser…
« -Vai là ! Vai là ! » me crie-t-il en portugais.
Je décharge dans un grognement de bête en rut. Je me retire et l’inonde de mon foutre chaud.
Nous voilà repus pour un petit moment. Au cours de cette nuit là, il me reprendra deux fois avec la même envie, le même plaisir, le même bonheur…Le second round fut hyper hyper doux. Il était déjà presque en moi quand j’émergeais de mon sommeil. Ce fut très très lent et d’une infinie tendresse. Il s’arrangea même pour que l’on jouisse presque ensemble.
Le jour et la nuit suivante furent un enchantement. Paulo a le on d’enchanter tout ce qu’il fait. Tout est prétexte à rigolade. Question baise, Paulo m’a appris et m’a fait découvrir plein de choses. Il ne se met aucune limite. C’est un curieux mélange de douceur et de sauvagerie pure. C’est surtout un amant magnifique. A l’écoute, attentionné, attentif au plaisir de l’autre. Il se définit lui-même comme un « sex addict pathologique ». Pathologique je ne sais pas, en tous cas, moi, ça me va bien comme ça. Ne change rien ! C’est bien ce qui rend les nuits sans lui difficiles…
Quand il est reparti, je n’ai pas eu la force de l’accompagner à l’aéroport. J’ai traîné une journée entière vêtu d’un de ses slips imprégné de son odeur, constamment au bord des larmes.
Totalement accro.
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