Suite et fin du week-end torride et pervers de la jolie brunette trentenaire chez un couple mature. Le calme revient peu à peu après des heures de partouzes éprouvantes mais Patricia doit encore satisfaire une amante bien spéciale, pus vient l'heure des adieux à ses hôtes...
Proposée le 23/07/2018 par aqw12
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je file à la douche. Pourvu qu’ils partent vite, je n’en peux plus. Mon cul et ma chatte sont douloureux comme jamais. Je voulais me faire baiser : me voici servit. Et je repense à mon rendez-vous avec la mère de Bernadette qui m’attend…
Je rêvasse sous ma douche nocturne et réparatrice et je perçois quand même les cris et gémissements de Bernadette qui est encore en train de se faire sauter dans la chambre voisine. Quelle santé cette cochonne. Contre toute attente, la porte de la salle de bain s’ouvre et c’est Chantal qui me rejoint sous la douche. Je remarque que ses tétons sont percés et portent chacun un petit anneau doré. Alors qu’elle m’a fisté, léché, brouté, ce détail m’avait échappé. Elle se savonne en me regardant à peine. Son cul rond est très beau, sa chatte est lisse, parfaitement épilée comme sa raie. Je prends goût aux femmes et je la trouve très belle. Elle me frôle pour se rincer et nous nous enlaçons sans un mot. Elle se met à genoux en face de moi et respire mon sexe sans pudeur. « Tu as quel âge ? » me demande-t-elle en se relevant.
Je lui réponds « 32 » en le reprenant dans mes bras et me laissant aller dans les siens. « Une des deux filles de mon mari à le même âge que toi et l’autre à juste 3 ans de plus. C’est le bon âge, c’est la pleine maturité de ta chatte. Elle sent bon ta moule. C’est maintenant qu’il faut tout essayer. On va rester en contact et comme on n’habite pas loin, on va se revoir chez moi et tu vas découvrir des trucs incroyables, fais-moi ma confiance ma chérie. »
J’ose enfin lui demander comment elle a organisé cette partouze avec des hommes qui me connaissaient sur le net ? « Facile, je connais ton profil sur les sites puis grâce à Christian, j’ai récupéré les contacts de mecs qui en voulaient à ton cul. J’ai éliminé tous ceux qui t’avaient déjà tringlé pour chauffer à blanc ceux qui voulaient vraiment te démonter depuis pas mal de temps. Y en a certains qui ont déjà bousillé ta copine black… Myriam, c’est bien ça ? » « Oui, oui, c’est ça. Il nous arrive parfois de se repasser les plans fesses avec Mymy… » « Tu as déjà sucé des nichons à piercing » me demande-t-elle voyant que mes yeux ne quittent pas ses seins. « Non jamais… » « Alors ne te gêne pas : mange-moi les loches ! » Je m’exécute et déguste sans retenu ses seins lourds en poires. Je joue avec ma langue à faire bouger les bijoux qui ornent ses tétines roses foncés aux aréoles parfaitement dessinées. Elle me rend la pareille en suçant mes longs tétons bruns et glisse une cuisse entre les miennes pour énerver ma chatte déjà brulante. Je l’imite et je sens sa grosse moule lisse bien baveuse sur ma cuisse également. Nous nous donnons un plaisir mutuel de cette façon.
La douche finit, nous nous isolons sur les transats qui bordent la piscine et finissons la nuit à la belle étoile. Je lui ai prêté une jupe et un débardeur qui comprime ses gros seins. Pour ma part, j’ai enfilé une culotte sous un short et je porte le fameux débardeur rouge sous lequel les hommes voyaient pointer mes petits nichons sur les photos.
Au lever du jour, je suis réveillé par un coup de bite sur la joue puis un gland qui cherche à violer mes narines. Le grand black et le vieux magrébin sont au garde à vous et promènent leurs queues sur moi. « Tu passeras le bonjour à ta copine Myriam » me dit l’ancien. « T’es vraiment une super salope, encore mieux qu’elle ! » Je commence à les sucer mais je comprends vite qu’ils veulent encore me mettre une séance. « On reprend le train de midi pour Toulouse avec Chantal donc on va te casser le cul une dernière fois petite putain ! » m’informe le black. Je me lève et les suis sur la pelouse. Mon short et ma culotte à mi-cuisses, je me mets à genoux dans l’herbe. Le black se met à me bouffer littéralement le cul en pétrissant mes petits seins à travers mon haut. Le vieil arabe me présente sa queue que je suce machinalement.
Je sens le black se dresser derrière moi mais c’est mon petit trou qu’il va perforer à sec et d’un coup. Je hurle de douleur et d’effroi car je ne suis pas préparer et parce que les innombrables assauts de la veille ont meurtri mon rectum. Je le supplie de changer de trou mais je pense que mes implorations l’excitent encore plus. Il pince mes mamelles encore plus fort et m’insulte de plus belle le vieux m’empoigne par les oreilles, quand à lui, et me baise la bouche avec force et autorité. Je suis défoncé et j’en pleure en prenant quand même mon plaisir. La douleur dans mon cul devient une sensation de piston qui me fait fourmiller le ventre. Je sens ma chatte en manque de queue et quand le black me demande où je souhaite qu’il jute, je l’implore : « Dans ma chatte s’il te plaît, remplie moi, saillie moi comme une bonne jument ! » Il s’exécute et je sens son jus dans mon ventre. Le vieux a quitté ma bouche et le remplace dans ma chatte pour me couvrir lui aussi et je sens ma chatte qui déborde de foutre après ces deux saillies bestiales.
Les autres n’auront pas la force de m’honorer une dernière fois avant leur départ qui survient après un petit déjeuner en commun. Le petit jeune sera quand même isolé une dernière fois dans la chambre par Bernadette qui se fera donc honorer une énième fois.
La maison est bien vide après le départ de tout ce petit monde.
Christian et Bernadette me laisse me reposer au bord de la piscine et partent chercher leur fils. « T’inquiète pas ma belle, me rappelle Bernadette, on récupère le petit et on va faire un tour avec lui pour laisser le temps à ma mère de venir jouer avec toi ! » Moins de 40 minutes plus tard, la mamie est là, en face de moi. Je suis en bikini noir à grosses fleurs rouge sur mon sein droit et sur mon pubis.
Elle est élégante dans sa robe vert pomme au décolleté dévoilant le profond sillon entre ses gros seins blancs que je devine lourds et douillets. Elle s’approche de moi, souriante. Elle s’est maquillée avec beaucoup de goût pour l’occasion et j’apprécie l’attention. Elle passe sa main douce dans mes cheveux et sur mon visage et commence à prendre tendrement ma bouche en touchant délicatement mes seins. Je luis rend son baiser. Sa langue visite ma bouche, lèche mon palais. « Ils sont très jolis tes petits nénés. » Me dit-elle en les déballant de mon haut de maillot de bain.
Je commence à malaxer ses seins et, mes mains qui filent dans son dos, descendent la fermeture de sa robe qui tombe à ses pieds. Elle porte un joli ensemble en satin blanc avec un porte-jarretelle qui retient des résilles. Son cul est large et capitonné. Ses seins pèsent dans son soutif et leur vue me fait aussitôt penser aux nichons de ma mère. Cette furtive image incestueuse m’excite brusquement et je sens ma vulve qui déborde de jus. Ça tombe bien, ses doigts sont déjà à l’entrée pour recueillir mon nectar. Elle les porte à sa bouche et semble se délecter de mon jus de femme. Je lui rends sa caresse en glissant une main dans sa culotte pour rencontrer sa toison fournie qui s’avèrera grisonnante elle aussi. C’est une dame « à l’ancienne » ! Nous nous touchons, nous nous frottons puis je m’agenouille devant son tablier de sapeur pour la manger un peu. Bien vite, elle me relève et s’agenouille devant moi. Elle me respire, me suce, me lèche. Je suis au bord de l’orgasme. Nous filons sur le canapé.
Malgré son âge, sa peau flasque, son cul de cellulite, elle me plaît cette grand-mère. Une fois ses seins libérés, je constate ses aréoles larges, rosées et parfaitement dessinées au centre desquelles dardent de gros tétons courts. Je la tête, elle me doigte. Nous faisons l’amour avec volupté et sans pudeur. Nous explorons aussi nos anus mutuels, grignotons nos lèvres et nos clitoris, branlons nos chattes gourmandes. Cela dure presqu’une heure et à plusieurs reprises, l’orgasme nous fait chavirer ; tantôt l’une, tantôt l’autre, tantôt les deux en même temps. Nos jambes entremêlées, nos chatte se frottent, se ventousent délicieusement. Elle me demande de la fister et sans aucune difficulté, j’enfonce ma main entière dans sa grosse moule qui m’aspire. Quelle étrange sensation que de toucher tout l’intérieur d’une femme de la sorte. Elle jouit furieusement cette fois-ci…
Nous sommes juste rhabillées mais encore collées l’une à l’autre en plein baiser torride quand nous entendons la voiture de sa fille et son gendre faire crisser la castine. La petite famille débarque et Christian et Bernadette font mine de ne pas remarquer les joues pourpres de mamie Solange. Elle est chargée de garder Tristan tandis que le couple me ramène déjà à la gare.
Je quitte Solange à regret. J’ai passé une petite jupe et un débardeur pour le trajet retour. Christian a obtenu de sa femme, l’autorisation de me tringler une dernière fois sur le trajet. Il me rejoint donc sur le siège arrière du Q7 et je passe la demi-heure de route à me faire limer la chatte puis enculer en guise d’adieux. Au moment de remettre ma culotte, Bernadette me tend son string qu’elle vient d’enlever. Elle ramasse le mien sur le tapis de sol, le renifle et l’enfile. C’est à la fois répugnant et excitant de savoir sa chatte blottit dans mes sécrétions vaginales car Christian n’avait pas oublié de me faire mouiller mes dessous avant de me saillir. En touchant celle de Bernadette dans ma main, je constate que nos ébats qu’elle a dû regarder grâce au rétroviseur en conduisant, ont rendus sa vulve bien liquide et odorante. Sans faire d’histoires, j’enfile son string noir. En effet, une sensation fraîche et humide sur ma chatte gluante. Les adieux sont fougueux et nous échangeons baisers et attouchements coquins pour la dernière fois.
Une fois dans le train, la pression retombe et je ressens de nouveau mon trou du cul et ma chatte meurtri par un week-end où rien ne leur fût épargné. Un homme s’assoit à mes côtés. A peine croyable : il s’agit d’un des deux « George Clooney ». Il s’empresse de me dire : « Tu me plais vraiment Patricia. Je devais rentrer par le train d’avant avec Chantal mais j’ai préféré t’attendre pour voyager avec toi. J’ai rendez-vous demain midi avec ta copine Myriam pour la défoncer mais si tu acceptes de devenir mon plan cul régulier, j’annule ! » J’accepte bien entendu et le train roule depuis moins de vingt minutes que nous sommes déjà en train de baiser dans les toilettes. Je monte et descend sur son membre, debout, à l’étroit, dans les effluves de pisses et secouer par les mouvements saccadés du train.
Cela fait maintenant un an que nous baisons ensemble au moins une fois par semaine. Si ça se trouve, un jour il aura le courage de parler de moi à son épouse et, qui sait, peut-être acceptera-t-elle de me recevoir chez eux pour un week-end…
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Très excitant.
Posté le 5/08/2018
aqw12
Merci pour ce commentaire Nezgrim. Il faut m’envoyer un mail pour des photos ????
Posté le 27/07/2018
Nezgrim
J'ai lu les 4 histoires, très excitant, j'adore. Il en faudrait encore ! Manque plus qu'à mettre un visage ou un corps sur cette histoire...
Posté le 24/07/2018
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