Histoire Erotique

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Mon mac allemand (2)

Je suis désormais la propriété de Rolf, totalement à sa merci, il me fait comprendre à sa façon ce qu'il attend de moi. Je suis sa "femme" et à l'avenir il disposera de moi comme il l'entend... L'apprentissage promet d'être dur...

Proposée le 7/05/2018 par soumize

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Il me fit m’assoir sur le bord du lit, j’étais toujours menottée, il m’intima l’ordre de le sucer, il me saisit par les cheveux et me força à prendre son sexe dans la bouche :
- Pompe moi bien connasse, fais-moi bien bander.
Je m’appliquai autant que je pouvais, il plaqua ma tête contre son pubis, m’obligeant à gober la totalité de sa queue, je suffoquais, elle allait jusqu’au fond de ma bouche.
J’entendis Anna lui dire :
- Mon chéri évite de jouir dans sa gueule de pute, réserve toi pour son cul.
- Tu as raison il est temps de s’occuper de son gros cul.

Il me fit relever, ôta mes menottes et me poussa brutalement sur le lit, il me remit les menottes en les fixant aux barreaux du lit et me força à cambrer mes fesses. J’étais à quatre pattes, mon large fessier offert. Il me fit écarter les cuisses et se mit à m’administrer une fessée magistrale, à la main pour commencer puis je sentis les lanières d’un martinet s’abattre sur mon postérieur.
- Une petite mise en bouche pour attendrir la viande et bien te faire comprendre qui commande ici.

Je poussai de petits cris, mais la douleur était supportable et j’aimais bien la fessée, j’avais eu par le passé quelques petites expériences dans ce domaine et ce n’était pas pour me déplaire ; c’est ce qui allait inévitablement suivre qui m’inquiétait plutôt.
Il voulut me mettre un bâillon sur la bouche, mais Anna lui dit qu’elle voulait entendre mes cris quand il me pénétrerait. Elle avait approché le fauteuil du lit et je constatai qu’elle se masturbait avec un gros gode violet. Derrière elle il y avait un grand miroir au mûr, je pus donc assister aux préparatifs de mon Maître, je vis qu’il avait un flacon de gel en main (au moins ne me violerait-il pas à sec, c’était déjà ça).
Il fit couler le gel le long de ma raie, puis il fit des mouvements circulaires autour de mon anus, c’était très agréable ;
Il fit remarquer :
- Elle a l’air d’aimer ça la grosse pute, regarde comme elle tortille du fion.
- On verra quand tu lui feras ta piqure de viande, si elle aime toujours.
Il me « travailla » pendant de longues minutes, remettant régulièrement du gel, il introduisit un doigt doucement dans mon petit trou, il entra sans résistance, puis un deuxième sans autre difficulté, pour le troisième doigt ce fut moins facile, je me crispai et poussai un petit cri.
- C’est vraiment une pucelle, elle n’avait pas menti. Je sens que je vais me régaler.
- Elle va passer directement de pucelle à pute, il faudra bien la former pour Paolo.

C’était la première fois que j’entendis parler de Paolo, donc je ne compris pas ce qu’elle voulait dire. J’étais totalement concentrée sur ce que Rolf me faisait. Je parvins à me détendre quelque peu et il put enfin introduire son troisième doigt, il me masturbait lentement tout en me caressant les fesses, il était finalement capable de douceur, mais je craignais que cela ne dure pas…. Je n’avais pas tort. Dans le miroir je voyais qu’il se masturbait. Petit à petit il écarta ses doigts, j’avais un peu mal mais mon anus cédait progressivement. Puis je vis qu’il était en train d’enfiler un préservatif, ça y est je vais passer à la casserole. Il mit également un loup sur son visage.
Il me força à me cambrer plus, me donna une grande claque sur les fesses :
- Laisse-toi faire grosse pute tu as une visite, tu vas comprendre maintenant la différence entre un homme, un vrai et une lopette.
Je sentis son gland s’insérer dans ma rondelle, dans un premier temps je ne ressentis pas de douleur particulière puis comme une grande brulure quand le gland fut passé ; je criai et essayai de me débattre, il se retira et gifla :
- Je t’ai dit de te laisser faire pétasse, plus tu te crisperas plus tu auras mal, d’une manière ou d’une autre tu vas y passer, alors tiens-toi tranquille et sois coopérative.
Il remit du gel et me pénétra de nouveau, j’étais tendue mais j’essayai de ne pas lui résister. La douleur fut de nouveau intense quand son gland fut en moi. Il s’immobilisa un long moment, le temps que mes sphincters se détendent. Sa sœur se moquait de moi :
- Toutes pareilles ces pouffes, elles veulent se faire enculer mais dès qu’une vraie bite se présente elles veulent se débiner. Pas de bol pour toi, là tu es tombée sur un vrai queutard, tu n’y couperas pas. Tu voulais être une femme, il va falloir le mériter.

Il poussa doucement, s’enfonça progressivement dans mon fondement ; c’était encore très douloureux mais je commençai à m’y habituer, il fit de cours va et vient. Petit à petit sa queue entra entièrement dans mon cul, il me tenait fermement par la taille, je sentais ses gros testicules me frapper les fesses. J’étais vaincue, je subissais ses coups de boutoir sans tenter de résister désormais ; après tout Anna avait raison je cherchais à me faire baiser et je savais pertinemment que la première fois serait un moment difficile à passer. Je parvenais progressivement à me détendre et à gérer la douleur. Je haletais en même temps que je poussai des petits cris :
- On dirait qu’elle commence à aimer ça la petite pute dit Anna.
- Tu en doutais ? Ces chiennes ont besoin de se prendre un bon saucisson dans le trou de balle pour se sentir femelle, elles font les mijaurées mais ne demandent que ça.
Il ressortit de moi, je croyais qu’il en avait fini mais il me pénétra de nouveau, beaucoup plus brutalement que la première fois, je hurlai.
- Tu me sens bien connasse ? il faut que tu souffres pour mériter ma bite.
Tandis qu’il allait et venait en moi en haletant, je recommençais à bander. J’avais toujours mal mais ça devenait plus supportable, je n’éprouvais pas à proprement parler du plaisir mais j’étais contente de me faire enfin ramoner le cul.
Au bout d’un moment, à l’accélération de sa respiration je compris qu’il était sur le point de jouir. Ce qu’il ne tarda pas à faire avec un gros grognement de satisfaction ; il resta en moi, s’allongea sur moi, pesant de tout son corps.
De longues minutes plus tard il se retira enfin et enleva le préservatif.
Il ôta enfin mes menottes se mit à quatre pattes sur le lit et il m’ordonna de lui lécher l’anus en signe de soumission, je m’empressai d’obéir de peur d’être une nouvelle fois frappée. C’était un peu humiliant mais en même temps cela m’excitait. J’acceptai d’être sa chose, je me soumettais totalement à sa volonté.
Il se releva, me saisit par les cheveux, me forçant à mettre à genoux. Puis il vida le contenu du préservatif sur mon visage. Il me força à tourner la tête du côté ou était Anna. Elle avait un appareil photo et se mit à mitrailler. Voilà pourquoi il portait un loup, pour qu’on ne le reconnaisse pas. Elle me dit en rigolant :
- J’ai pris des dizaines de photos pendant que tu te faisais baiser comme une truie. Ces photos seront ton contrat te liant à nous. Le contrat est très simple, tu fais tout ce qu’on t’ordonne ou ces photos seront diffusées.

Elle brandit ma carte d’identité ainsi qu’une de mes cartes de visite, cette garce en avait profité pour fouiller mon portefeuille. Elle poursuivit :
- Je garde la carte d’identité en garantie, pour être sûre que tu viendras bien samedi soir, elle te sera rendue si tu donnes satisfaction à « ton mari », tu seras travestie, maquillée pour le plaisir de Rolf ; tu deviendras sa femme, enfin sa deuxième femme, je reste la première, toi tu seras sa femme « par derrière ».
Rolf enchaina :
- Samedi tu seras soigneusement épilée, maquillée et tu feras un lavement avant de venir, je t’enculerai sans capote et je jouirai dans ton gros cul, je veux qu’il soit propre, de toute façon quand je t’aurai baisée tu nettoieras ma queue avec ta langue ; donc si tu ne veux pas lécher ta merde tu sais ce que tu as à faire.
Je hochai la tête, il ajouta :
- On sera seuls ce soir-là, tu seras très câline, tu mettras ta tenue la plus sexy, mais pas provoquante ; samedi ce sera en quelque sorte notre mariage, pour notre nuit de noce tu prévois une nuisette la plus sexy possible. Il faudra assurer, toute la nuit ; je te préviens, je suis très chaud et tu vas t’en prendre plein les miches.
Je l’assurai que j’obéirais en tout. Il passa une main sur mon visage souillé de son sperme et me demanda de la lécher :
- Tu vas te rhabiller sans essuyer ta gueule et tu rentres chez toi, dès que tu seras arrivée tu ouvres ta messagerie, compris ?

Je lui assurai que j’obéirai, nous remontâmes sur la terrasse, j’avais un peu de mal à marcher, mon anus me brulait. Je remis mes vêtements et pris congé de mes Maîtres en leur baisant la main.
- A samedi petite pute, pour continuer ton dressage.
Je repris la route et rentrai chez moi, quand je fus arrivée j’ouvrai mon ordi, j’avais un message avec une dizaine de pièces jointes. Je me vis en train d’être baisée, sur chaque photo mon visage était bien reconnaissable, contrairement à celui de Rolf. Le message en lui-même était laconique :
- « Il y a beaucoup d’autres photos de toi la pute, tu nous obéis ou elles seront diffusées avec ton nom et ton adresse. Donc rendez-vous samedi à 18 heures précises avec le cul bien propre. Signé Maître Rolf et Maîtresse Anna »
J’allai dans la salle de bain et me regardai dans le miroir, le sperme séché qui souillait mon visage faisait une fine pellicule, mon anus forcé me faisait toujours un peu mal, mais cette douleur n’était pas désagréable, elle me rappelait mon nouveau statut.
- Voilà, ça y est je suis une enculée. Maintenant il va falloir assumer, ils me tiennent, jusqu’où vont-ils aller ? après tout je verrai bien, je cherchais une aventure avec un mec, j’ai même une femme en prime.
J’étais loin de m’imaginer ce que l’avenir me réservait dans les mois qui suivirent !


Le lendemain, vendredi, je n’avais pas vraiment la tête à mon travail, j’attendais avec une impatience mêlée de crainte le samedi. En rentrant je découvrai un nouveau mail. Il m’enjoignait de prévoir une tenue sexy pour la nuit, une nuisette aussi transparente que possible, pas de problème j’en avais plusieurs. Je passai la journée de samedi à me préparer, épilation soigneuse, choix des tenues et des dessous ; enfin l’après midi je me fis un lavement, le rinçai mon colon cinq fois pour être sûre d’être bien propre.

Mon cœur palpitait quand je partis, j’avais environ 40 minutes de route. J’arrivai pile à l’heure fixée par Rolf, je garai ma voiture dans la cour, pris mon sac de voyage dans lequel j’avais rangé mes tenues et sonnai. Il m’ouvrit la porte, il portait un pantalon cuir très ajusté, un tee shirt en résille noire et tenait à la main une cravache. Je le saluai respectueusement, il ne prononça pas un mot et me fit signe de le suivre puis il me désigna la salle de bain avec la cravache et dit :
- Tu as quinze minutes pour te préparer, pas une de plus, chaque minute de retard te vaudra cinq coups.
- Bien Maître je vais me dépêcher.

Je posai mon sac et sorti la tenue que j’avais prévu de mettre, petit slip tanga en dentelle extensible bleu roy avec des rubans vert clair, soutien gorge assorti, porte jarretelles en satin blanc avec dentelle grise, une robe habillée bleu roy moulante pas trop courte, mais très décolletée, dans le soutien gorge je glissai deux faux seins en silicone pour faire un bon bonnet C . Avant de partir j’avais déjà mis des bas couleur chair et le porte jarretelles et mis un discret fond de teint sur mon visage, je n’avais plus qu’à mettre un peu de fart à paupières et du rouge à lèvres, je mis également une perruque blonde courte et finissai en enfilant une paire d’escarpins blancs.
Je quittai la salle de bain et me rendis sur la terrasse ou il m’attendait, il jeta un coup d’œil à sa montre et me fit signe de me tourner, il dit :

- Ça va pour la tenue, mais tu as trois minutes de retard, tu sais ce qui t’attend ?
- Oui Maître.
Il m’ordonna de retrousser ma robe et de me pencher en prenant appui sur la table avec mes coudes. Il dit apprécier ma culotte, qu’il baissa en ajoutant :
- Je vais te faire une faveur grosse pute, je te fais grâce de deux coups pour ta jolie culotte, tu en auras donc treize au lieu de quinze.
- Merci Maître.
Soudain il commença à frapper avec sa cravache, les coups furent violents, je criai ;
- Ah ce n’est plus de la fessée pour petite fille, à partir de maintenant c’est un vrai dressage que tu vas subir. Je vais faire de toi une vraie esclave, tu m’appartiens et je disposerai de ton corps comme il me plaira.
Les coups pleuvaient sur mon fessier, c’était beaucoup plus violent , je supportais bien les fessées avec le martinet, mais n’avais jamais été « travaillée » à la cravache. Je hurlai de douleur et pleurai, ça avait l’air de l’exciter, les coups devenaient de plus en plus forts.
- Chiale gonzesse j’aime ça, te sentir à ma merci, tu vas comprendre qu’il faut souffrir pour me mériter.
Enfin la séance prit fin, j’étais hébétée, le visage trempé de larmes, mon cul me brulait, j’avais l’impression que la chair était à nu. Il m’ordonna de rester dans ma position, de ne pas bouger.
- Je vais faire quelques photos de ton gros cul de salope, on voit bien ma signature, treize traces bien nettes. Dommage que ma sœur ne soit pas là, elle aurait adoré voir ça, je vais lui envoyer le photos avec mon portable, ça va bien l'exciter. Ce soir elle se fait baiser par deux blacks.

Il s’absenta quelques instant puis revint avec son téléphone portable et une petite boite, il fait quelques photos puis ouvrit la boite, elle contenait plusieurs godes de tailles variées, un flacon de gel. Il prit un plug de taille moyenne et le flacon. J’avais compris. Il entreprit de me lubrifier le petit trou puis enfonça le plug d’un coup, je hurlai de nouveau. Il refit des photos puis remonta ma culotte. Il m’autorisa enfin à me relever, je m’exécutai et je remis ma robe en place.
J’étais là debout devant lui, reniflant, j’essuyai mes larmes et j’attendais. Il s’était rassit et ne s’occupait plus de moi. Je ne savais pas quelle attitude adopté, j’étais un peu décontenancée. Je pensais qu’après ma punition il me demanderait de le sucer ou qu’il me baiserait. A vrai dire j’en avais très envie, malgré la douleur et le sentiment d’humiliation j’avais envie d’être culbutée comme une grosse salope que j’étais. Mais là, rien. C’est comme si je n’existais pas, il alluma une cigarette et se tourna vers le jardin. Quand il eut fini sa cigarette il me dit :
- Vas au fond du jardin sous les arbres et attends moi, tu tourneras le dos à la maison.
J’obéis et me dirigeai vers le jardin, il y avait d’abord un petit potager, puis un verger d’une cinquantaine de mètres de long, les arbres se trouvaient au fond, avant il y avait une vingtaine de mètres sans arbres ou se trouvaient deux chaises longues et un parasol replié. L’ensemble du jardin était entouré d’une haute haie de plus de trois mètres, il était totalement à l’abri des regards indiscrets.

Ma démarche était un peu raide, à cause du plug qui remplissait mon anus et aussi à cause de mes escarpins, je n’étais pas habituée à marcher avec des talons hauts. Parvenue à destination j’attendis. Cela dura un long moment, puis je l’entendis s’approcher, il m’entraina vers un arbre où un anneau métallique était scellé dans le tronc à environ un mètre de hauteur. Il me passa des menottes en cuir aux poignets et aux chevilles, ces menottes étaient reliées entre elle par une chaine, il prit une deuxième chaine et relia mes entraves à l’anneau de l’arbre. J’avais les mains dans le dos, mais je pouvais les bouger un peu, ce n’était pas trop resserré, je pouvais également bouger les pieds, la chaine faisait environ 50 centimètres. Il me fit me tourner vers la maison et me posa de nouveau un masque cache-yeux.
Soudain je me mis à frétiller, le plug dans mon anus s’était mis à vibrer, il devait avoir une télécommande.
- Bien dit il, j’espère que la télécommande fonctionnera depuis la terrasse, je ne l’ai jamais testée à cette distance. Tu reste là, je viendrai te chercher quand j’aurai besoin de toi.
Et il s’éloigna, il testa plusieurs fois la télécommande, à chaque fois ça me faisait commande une légère décharge électrique dans l’anus, c’était plutôt excitant.
- Ça marche cria t’il au bout d’un moment.
De mon coté j’attendais, je ne savais pas quelle serait la suite.
Quelques minutes plus tard j’entendis plusieurs voix, il avait de la visite ! je fus prise de panique, il allait me livrer à des inconnus !

D’après ce que je pouvais entendre à distance c’était deux personnes qui venaient d’arriver, deux hommes. J’étais trop loin pour saisir leur conversation. Je les entendais rire ; comme ils ne pouvaient manquer de me voir je supposai que c’était à mon sujet. J’entendis des verres s’entrechoquer, ils prenaient l’apéritif. Cela dura longtemps, régulièrement je les entendis rire bruyamment, surtout à chaque fois que Rolf actionnait la télécommande du plug. Les mouvement désordonnés que cela provoquait chez moi les amuser follement.
Après un long, très long moment je les entendis s’approcher, je craignais le pire, qu’allaient ils me faire ?
- Les amis je vous présente ma pute française, elle s’appelle Marlène.
- Putain fit l’un d’eux, elle a l’air plutôt baisable.
- Ouais fit l’autre, c’est de la belle pute.
C’étaient des hommes relativement âgés d’après le timbre de leur voix. Le premier reprit :
- Et tu dis que c’est un mec ? On peut vérifier ?
- Bien sûr répondit Rolf.
Je sentis qu’on retroussait ma robe et une main s’insérera dans ma culotte.
- Bordel c’est vrai, cette grosse pouffiasse a une toute petite queue fit l’un d’eux.
- Laisse moi toucher fit l’autre. J’aime pas les pédés mais là ça m’excite. Voyons voir ce qu’elle a à proposer derrière.
Ils palpèrent mes fesses, les malaxèrent. Le plug fut sorti et remis en force, je criai ce qui provoqua des rires gras.
- Ça doit être bon d’aller et venir dans ce petit trou de balle, putain j’ai vraiment envie dit l’un.
- Doucement répondit Rolf, le trou de balle m’est réservé, mais si ça vous dit vous pouvez lui baiser la gueule.
On me força à me baisser, j’entendis un zip, puis une main me saisit derrière la tête :
- Pompe moi salope.
Je ne me fis pas prier, je le suçais consciencieusement, il avait une grosse bite, des couilles très poilues. Il me guidait, me forçant à la prendre jusque dans la gorge. Il jouit rapidement et tout son jus passa dans ma gorge :
- Putain et en plus elle avale, ma vieille n’avale jamais , elle aime pas ça.
Il se retira et le second pris place dans ma bouche, sa queue était en peu plus fine. Comme son compagnon il déchargea rapidement et je bu son jus.
- Rolf j’ai vraiment envie de l’enculer ta grosse pute, dit il quand il fut ressorti de moi.
- Pas question répondit mon Maître, pour l’instant j’ai l’exclusivité ; dans quelques jours quand je l’aurai bien travaillée vous pourrez en disposer. Je vous ferai signe.
Ils s’éloignèrent, j’entendis celui qui voulait m’enculer dire :
- Ta pute m’a vraiment excité, il faut que je baise un trou, si au moins ta sœur était là, elle ne dit jamais non.
- Pas de chance, elle est en train de se faire fourrer par deux jeunes blacks.
- Saloperie, ils payent bien au moins ?
- Elle ne fait payer que les vieux… comme toi, dit Rolf dans un éclat de rire. Il va falloir te rabattre sur ta bourgeoise.
- Tu parles ! depuis qu’elle m’a pondu trois chiards la « chose » ne l’intéresse plus, une fois par semaine elle s’allonge sur le dos et écarte ses grosses cuisses, elle ne réagit pas plus qu’un sac de patates quand je la fourre, elle suce mal et refuse que je l’encule. Lui faire une minette me dégoutte, elle est poilue du nombril jusqu’à la raie du cul la grosse vache et je ne parle même pas de ses culottes de grand-mère qui puent la pisse.
Les deux autres éclatèrent de rire, son compère lui dit :
- Alors il te reste les filles de Paolo.
- Ouais mais chez Paolo il faut payer et c’est pas donné.
- Il y a une autre solution dit Rolf, baise un mec, il y a suffisamment de coins de drague dans le secteur.
- J’aime pas les pédés, ces fiottes me débectent.
- Et pourtant tu voulais enculer ma pute, tu as bien vu qu’elle avait une bite, tu l’as laissé te sucer, tu lui as tripoté la bite, bizarre non ? tu serais pas un peu pédé toi-même ?
- Pédé moi ? ça va pas, c’est vrai que j’ai envie de lui foutre ma queue dans le cul mais on dirait vraiment que c’est une femme, et puis c’est pas vraiment une bite de mec qu’elle a.
Nouveaux rires. Après il furent trop loin pour que je puisse suivre la conversation.
Je venais de me faire baiser la bouche par deux inconnus que je n’ai même pas vus. Ils s’étaient servis de moi comme d’une poupée gonflable, j’étais juste une chose, un orifice pour eux. Malgré ma situation humiliante, dégradante, j’éprouvais un sentiment de fierté, je venais de faire jouir deux hommes dont un au moins était homophobe…

Une longue attente commençait, visiblement ses deux invités étaient partis, je n’entendais plus de bruits de conversation, de temps en temps mon plug anal se réveillait et me faisait me trémousser, au moins ne m’avait il pas complètement oubliée. Ma station debout sur mes escarpins devenait pénible en plus j’avais envie d’uriner. Il revint enfin, retira mon masque, la nuit était en train de tomber. Il détacha la chaine de l’arbre et m’ordonna de rejoindre la terrasse, il marchait derrière moi, me tenant toujours en chaine. Je marchais maladroitement, les mouvement de mes jambes étant limités par la chaine reliant les menottes. Quand nous fumes arrivés il me retira les menottes et me mit un collier en cuir, comme à un chien. Il s’assit, je restai debout, une fois de plus. Ma vessie me démangeait, je lui demandai l’autorisation de faire pipi, il accepta mais m’accompagna aux toilettes ; je retroussai ma robe, baissai ma culotte et m’assis sur la cuvette et fis ma petite commission :
- Bien dit il, tu pisses comme une fille ; à partir de maintenant tu feras toujours comme ça, même chez toi, compris ?
- Oui Maître je ferai comme vous dites.
Il m’entraina de nouveau vers la terrasse, entre temps la nuit était totalement tombée. Il me proposa un verre d’eau, ça tombait bien, je n’avais rien bu depuis des heures.
Il me fit asseoir et m’expliqua ce qu’il attendait de moi :
- Cette nuit tu vas devenir ma femme, ça sera notre nuit de noce, tu partageras mon lit et tu seras ma jeune mariée, docile , amoureuse et chaude. Tu ne seras pas attachée, pas fessée, mais gare à toi si tu ne me donne pas satisfaction, demain matin dès le réveil tu seras punie et tu n’oublieras pas de sitôt la correction que tu auras subi. Compris connasse ?
- Oui Maître, je vous donnerai satisfaction.
- J’espère bien, vas te préparer dans la salle de bain et rejoints moi ici.
Je me rendis dans la salle de bain, me déshabillai et enfilai ma petite nuisette en voile noir et dentelle, je gardai mes dessous et mes bas et enfilai une paire de mules roses et je rejoignis mon « mari ».
- Tu es belle ma chérie dit-il, tu m’excite, viens avec moi.

Il me prit par la main et me mena à la chambre, ce n’était pas la chambre au sous sol comme la première fois. Dès qu’il eut fermé la porte il m’attira contre lui et m’embrassa fougueusement en me pelotant les fesses, puis il s’écarta et ordonna :
- Occupes toi de ton mari.
Je ne me fis pas prier, je défis les boutons de sa chemise, la lui retirai, puis j’ouvris son pantalon et le lui enlevai. Quand il fut en slip je constatai qu’il bandait fort, je me mis à genoux devant lui, baissai son slip et j’entrepris immédiatement de le sucer. Je pris sa grosse queue à pleine bouche et le pompai consciencieusement. Il me saisit l’arrière de la tête et me guidai. Pendant de longues minutes je suçai mon homme jusqu’à ce qu’il explose dans ma bouche, j’avalai avec délice puis lui léchai amoureusement la queue. Il s’allongea sur le lit, je lui enlevai le slip et les chaussettes.
Il enleva ma culotte et m’oignit l’anus avec du gel, il prit son temps pour bien me préparer, un, deux puis trois doigts prirent possession de mon fondement. Pendant qu’il enfilait un préservatif je me mis à quatre pattes, cuisses bien écartées, bien cambrée.

Il attrapa mes testicules et tira fortement en arrière pour me forcer à me cambrer plus puis me pénétra d’un coup. Je poussai un hurlement tant la douleur fut vive mais il n’en eut cure et commença à aller et venir en moi. La douleur devint rapidement supportable mais ne disparut pas totalement.

Il me baisa langoureusement pendant de longues minutes ses mains tenant fermement mes hanches en haletant. La douleur s’était estompée et je commençais à sentir en moi une excitation que je n’avais jamais connue. Il jouit avec un gros grognement puis se retira.

Il arracha le préservatif et m’ordonna de nettoyer sa queue avec la langue, ce que je fis avec plaisir.

Après m’avoir longuement embrassé, il me fit m’allonger comme lui et il s’endormit rapidement.

J’eus plus de mal à trouver le sommeil tant j’étais excitée, c’était la première fois que je passais une nuit avec un homme, avec Mon Homme… Nous étions couchés l’un contre l’autre, je lui tournais le dos, les fesses contre son bas ventre, sa main droite sur ma hanche. Je lui appartenais, j’étais sa chose, docile, soumise ; et j’aimais ça.
Je finis par m’endormir.

Au réveil le dimanche matin… mais ceci sera pour une autre fois...

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