Voici la suite des aventures de Joëlle avec son coach privé, toujours téléguidés par Franck, le mari de Joëlle. Laurent, à la demande de Franck propose un trio à Joëlle. Franck refuse qu'elle le fasse avec un autre homme avec Laurent. Et propose d'être le troisième.
Proposée le 15/02/2018 par Badwell
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Franck a noué sa cravate debout dans la cuisine, devant son café ; Joëlle est assise, nue sous son kimono de soie. Sa main s’aventure dans l’échancrure et caresse les petits seins qui lui plaisent tant, plantés haut, souples et fermes à la fois.
– Alors ton coach va encore s’en occuper, ce matin ?
– On verra bien, répond Joëlle un peu songeuse
– Quel faux cul tu fais ! Tu n’attends que ça… Depuis ce matin tu es silencieuse mais souriante et tu tournes en rond d’impatience, poursuit Franck qui pince les tétons érigés l’un après l’autre
– Allez, j’avoue Franck… mon sexe est tout moite
– Tu devrais t’abstenir de soutien-gorge ce serait sympa pour lui. Il s’appelle comment ton coach, déjà ?
– C’est Laurent répond Joëlle, comme pour se l’approprier. Mais pourquoi sans soutien-gorge ? C’est d’abord une séance de fitness, ça peut juste en rester là.
Franck rigole.
– Tu n’y crois pas une seconde, ma chérie. C’est ça : ce Laurent va faire bouger ton corps, pendant une heure, te tripoter la taille, les cuisses, le torse, les hanches, ensuite tu seras à poil sous ses mains, et il va te prodiguer un massage, malaxer l’intérieur de tes cuisses, palper tes nichons, puis partir sans se soulager ? Sois sincère, Joëlle, dis-moi plutôt que tu as envie de lui, que tu as envie de baiser avec le coach, tu sais que c’est ce qui me plaît pour toi.
– J’avoue, Franck, j’ai envie des caresses de Laurent, …de son sexe, murmure-t-elle
– Ah, voilà ce que j’aime entendre de l’adorable bouche de ma tendre épouse ; adorable bouche qui va en voir de toutes les couleurs ce matin, c’est chouette ! Et voilà pourquoi tu ne porteras pas de soutien-gorge : ton coach doit savoir dès qu’il arrive que tu n’attends que ça : qu’il abuse de ton joli corps.
– Bien chef ! acquiesce Joëlle en souriant
Franck pose une bise sur chaque sein, ils échangent un baiser enfiévré et Franck file à sa voiture.
Joëlle est prête. Elle a enfilé une sage culotte blanche en coton découvrant une partie des fesses, type tanga, son legging blanc qui souligne bien ses formes et le débardeur bleu qui moule si bien sa poitrine libre, qu’on devine même la forme des aréoles, sans parler des pointes... Pour tromper son impatience elle a mis le CD de Scarlatti qui lui donne la pêche et range la salle de séjour, elle aime que les bibelots, les livres soient à leur place. Elle a également déposé un grand drap de bain rouge sur le tapis, là où elle va être massée… rouge !
Elle entend le son particulier de l’Alfa Romeo qui remonte l’allée et se gare sur le côté la maison. Joëlle l’attend sur le pas de la porte-fenêtre. Laurent sourit en découvrant la poitrine nue sous le fin tissu bleu, pénètre dans le salon et donne une bise sur les lèvres de Joëlle.
– Bonjour, Laurent, j’ai fait du café, tu en veux ?
Une fois le café avalé, Laurent propose un petit footing dans le jardin, il fait un peu frais encore mais si beau. Joëlle accepte et les voilà en petites foulées sur la pelouse fraîchement tondue par Franck, le jardin est vaste, près d’un hectare bordé de haies vives. Tout au contrôle de leur respiration, ils ne parlent pas, mais Joëlle voit bien que Laurent reluque les seins qui s’agitent sous le débardeur. Ils font deux tours et demi, et rentrent en marchant pour reprendre leur souffle. Les tétons de Joëlle pointent fièrement et transpercent le coton bleu.
– Courir sans sous-tif, ça excite les nichons, plaisante Laurent, surtout qu’il fait frisquet !
Et se plaçant devant Joëlle tout en marchant à rebours, il tente d’effleurer les pointes érigées.
– Dis donc, toi, sois sage ! s’esclaffe Joëlle en couvrant ses globes
Ils rentrent dans le séjour et retirent leurs basquets humides de rosée.
– Je t’ai préparé un programme tout en douceur, mais ce sont des exercices et mouvements qui travaillent les muscles en profondeur, c’est ce qu’il te faut actuellement pour bien te structurer.
– Parfait, dit Joëlle, on y va
S’ensuit un enchaînement de postures où Joëlle, debout, assise, couchée, courbée, arc-boutée, écarte les bras ou les cuisses sous la direction de Laurent qui corrige une attitude, une amplitude, touchant son corps là où il faut. Par exemple pour la cambrer, une main, sous le legging, en haut des fesses pour retenir et l’autre main entre les seins pour pousser. Le majeur sera juste dans le début du sillon, le petit doigt sur un téton… hasard du geste… il va de soi que les doigts ne se retiennent pas d’effleurer ses zones les plus érogènes.
Lors de l’exercice « du chameau », Joëlle est à genoux, Laurent debout devant elle, les pieds de part et d’autre de ses cuisses, il lui tient les coudes pour la guider, sans trop forcer quand elle doit se cambrer en arrière, puis l’aide à se redresser et alors son visage est à touche-touche du pubis de Laurent.
– On va en faire dix, dit Laurent
À chaque reprise, le nez de Joëlle touche le tissu du 501 de Laurent, et s’imprègne de son odeur de mâle qui lui trouble les sens.
– Dix ! annonce Laurent en lâchant les bras du pantin devant lui, alors que Joëlle l’attrape aussitôt par les hanches
– J’ai envie que tu jouisses dans ma bouche, reste là, implore-t-elle en tirant la braguette du jean odorant
– C’est comme ça que tu fais ta pause, toi ! Tu fais une sacrée bonne cochonne, Joëlle
Pris au dépourvu, Laurent ne bande pas mais le savoir-faire de Joëlle ne va pas tarder à lui donner de la vigueur. Elle ouvre la ceinture pour bien dégager ses bourses, qu’elle suce et lèche l’une après l’autre. Puis la langue longe la tige encore mollassonne qu’elle embouche d’un coup jusqu’au bout sans crainte qu’elle atteigne le fond de sa gorge, il est encore trop tôt… Mais comme elle active ses vas-et-viens, la queue ne tarde pas à gagner sa taille triomphale, emplissant totalement la cavité goulue. Alors Laurent s’anime en rythme avec Joëlle, mais la coordination n’est pas parfaite qui ne lui permet pas de goûter la caresse voluptueuse de la gorge percutée par son gland. Prenant Joëlle par les cheveux, il l’immobilise et glisse dans sa bouche, jusqu’au fond, s’arrête alors et impose de petites pressions et rotations. Il sent le battre le flux sanguin dans le gland tendrement compressé par la paroi du pharynx.
Joëlle se sent étouffer, et ressent aussi les battements saccadés de la bite au fond de la gorge ; la promesse de l’éjaculation imminente lui procure un émoi inconnu. Elle ronronne et grogne, on ne sait pas très bien, alors que Laurent a repris de besogner la bouche offerte, variant le tempo, modifiant l’amplitude. Elle a l’impression qu’elle va jouir de la gorge, qu’une vague va affluer, comme un orgasme, ici en haut… Mais c’est bien au creux des reins que surgit la tornade, irradiant son bassin, alors que Laurent lui impose le plus vif des rythmes. Bâillonnée par le mandrin, elle parvient à hurler la jouissance inouïe que lui procure cette fellation quémandée.
Laurent est chaviré par l’orgasme buccal et ne va plus pouvoir se retenir, il sort de Joëlle pour envoyer son premier jet sur sa langue, puis s’engouffre derechef pour balancer son foutre tout au fond, et se termine en quelques aller-retours, entre langue et palais. Joëlle n’aura pu que tout avaler.
Il soulève la femme anéantie, et la dépose sur le canapé. Joëlle le gratifie d’un faible sourire .
– Je devrais savoir te faire un café, propose Laurent
– Non reste là près de moi, tu vois le buffet là en face ? Je crois qu’un soupçon de poire d’Alsace me fera plus d’effet, porte de droite
Laurent s’exécute et sert deux petits verres à alcool, lui tend l’un et s’assied sa hanche contre celle de Joëlle. Ils se remettent en dégustant un digestif à onze heures du matin…
Un long moment de silence, Scarlatti a terminé son concert depuis un bon moment, l’alcool de poire leur redonne de l’énergie, Laurent a placé les jambes de Joëlle sur les siennes, il caresse négligemment sa cuisse, entre le genou et l’aine.
– Tu sais, Laurent ?... Joëlle ne termine pas sa phrase et Laurent se redresse pour la regarder
– Franck n’a jamais joui dans ma bouche, poursuit Joëlle le regardant droit dans les yeux
– Ça me flatte d’être le premier… Mais quand même, pour ton mari, c’est gênant…
– C’est toi qui m’as donné ce désir, Laurent, et c’est grâce à Franck que je découvre ce plaisir, mon Franck sera vite récompensé, ne te tourmente pas pour cela, je rattraperai mon retard de prude épouse
– Faisons cul-sec pour Franck, propose Laurent
Et dans la foulée il se déshabille, puis se précipite sur elle, confisque le débardeur et le legging, et arrache Joelle du canapé pour poser son postérieur encore humide sur la table familiale, un antique plateau de chêne où des générations de moines prirent leurs repas en silence… il écarte le bougeoir et le centre de table, allonge la maîtresse de maison sur cette table où elle reçoit famille et amis déchire le slip et la baise sauvagement, puis en levrette. Laurent va et vient sur la table, il retourne Joëlle et la fait jouir, la fourre en cuillère, l’empale sur lui, s’introduit entre ses cuisses, baise encore sa bouche, avant de l’agenouiller à nouveau, concentré sur la rosette de son petit trou, il l’humecte…
– Non ! pas par-là ! impose Joëlle
Laurent cède et la pénètre aussitôt dans l’orifice autorisé, juste pour jouir, Joëlle a déjà tout donné et le laisse la niquer ; il se retire pour éjaculer sur son dos, ses fesses, son sillon ; puis rapporte du sopalin pour la nettoyer. Il la soulève alors pour la déposer sur le drap de bains.
– Je vais te faire un massage décontractant, puis je file
– Tu es gentil ! inexorable, mais gentil, Laurent, tu me fais du bien
Laurent épargne toutes les zones endolories, érotiques et procure à Joëlle un chaste mais efficace massage très relaxant. Nu il est au-dessus d’elle et termine par le cou et les épaules, le sexe ballant effleurant ses seins, il la regarde et lui demande :
– Tu n’as jamais été prise par derrière, Joëlle ?
– Non, Laurent et franchement ça ne me manque pas
– Franck n’a pas essayé ?
– Si un peu, mais n’a jamais insisté
– Je t’enculerai, Joëlle, et tu adoreras mes sodomies, crois-moi, et, comme tout à l’heure tu découvriras un plaisir inimaginable !
*
Plusieurs jours plus tard, Franck annonce à Joëlle que demain, il part tôt voir un prospect très important à Dijon et qu’il reviendra et fin de journée.
– Je partirai tôt, je ne te réveillerai pas
Sur la route, vers neuf heures, il appelle Joëlle.
– Bonjour mon amour, tu es bien réveillée ?
– M’en parles pas ! Je suis à la bourre, je viens de me réveiller et Laurent arrive dans un quart d’heure…
– Qui ça ? Ah, le coach, et bien tu prendras ta douche après ce ne sera pas inutile, sans doute, c’est pas bien grave… Bon j’arrive chez mon client, je te rappelle dès que je peux, on va déjeuner avec son équipe ; sans doute en quittant Dijon. Bises, mon amour et bonne journée.
Franck rappelle vers seize heures trente :
– Ma puce je suis content ! Ça s’est très bien passé, je veux fêter ça avec toi. Sauf imprévu j’arrive à vingt heures, alors on se retrouve directement à l’auberge du Château, j’ai prévenu Bernard, il nous réserve l’alcôve, on sera tranquilles.
– Bien ! parfait mon chéri, j’ai des trucs à te raconter justement
– Des trucs ?
– Ça va te plaire, c’est cool, à tout à l’heure
Franck arrive à l’auberge de leur village, il est presque à l’heure et le patron, Bernard l’accueille.
– Joëlle vient d’arriver, je lui ai servi une coupe, je t’apporte ton pure malt
Joëlle l’accueille d’un baiser langoureux dans cette auberge peu fréquentée le soir et à l’abri dans l’alcôve. Franck est impatient de ces trucs que Joëlle lui a promis de raconter…
Bernard apporte le verre de Franck et propose un menu qui convient parfaitement, ils vont être tranquilles pour papoter !
Franck est impatient que Joëlle lui raconte ses exploits avec le coach, alors il prend les devants :
– À Dijon ça s’est très bien passé, on devrait conclure bientôt, je suis super content.
Joëlle demande des précisions, tourne autour du pot et puis, elle se lance :
– Alors ma chérie, maintenant tu dois me raconter tes aventures sportives
Elle lui relate alors comment le massage a vite tourné aux jeux sexuels, comment il l’a prise plusieurs fois, dans quelles positions et où.
– Il a aussi voulu me prendre par derrière, j’ai refusé
– Tu as bien fait, j’aurais peut-être été jaloux… je peux te croire ?
– Je te le jure, Franck. Pour que tu me croies, je te dois toute la vérité : la semaine dernière je l’ai laissé jouir dans ma bouche, je te l’ai caché, car je savais que tu serais contrarié. Mais promis je lui ai refusé mes fesses.
Franck le sait bien puisque Laurent lui relate tout, mais ne dit mot.
– Ah oui ? Tu me l’as toujours refusé à moi !
– J’étais très excitée, c’est toi qui as voulu ces situations, aussi. Mais je veux t’expliquer mon chéri, quand il jouit il donne très peu de sperme, toi c’est le Niagara…, avec lui j’étais rassurée. Pour me faire pardonner tu prendras ma bouche complètement tout à l’heure, j’ai aimé ça, tu sais.
– Tu me feras ça dans le jardin, il fait doux ce soir.
– D’accord mon amour. Dis-moi, Laurent m’a parlé de quelque chose dont je voudrais te parler
– C’est grave, ma puce ?
– Non heureusement. Mais on a discuté, après en buvant un café à la cuisine après la douche. Il m’a dit qu’il aimerait bien venir avec un collègue pour me partager avec lui. J’ai vivement refusé que quelqu’un d’autre entre à la maison, tu es d’accord avec moi ? Mais il n’a pas quitté son idée fixe, il a un ami qui habite seul une grande maison près d’ici vers Rambouillet alors il va lui proposer qu’on aille le voir tous les deux et que je m’offre à eux deux.
– Et toi tu en penses quoi, je te donnerai ensuite mon avis
Franck, là non plus n’est pas surpris, c’est lui qui a demandé à Laurent de proposer un plan triolisme à Joëlle. Brave Laurent… c’est vrai qu’il y participera de toute façon, ça ne se refuse pas.
– Je trouve ça excitant, mais on ne l’a jamais fait et tu voudras être le premier
– Bien vu ma chérie ! Je veux participer à ton premier trio. Ensuite avec deux ou plusieurs autres hommes je suis d’accord, à la condition que tu me rapportes tout, scrupuleusement, sans oublier le moindre détail comme une éjaculation dans ta bouche ; voire même des photos ou un film. Tu sais que je fantasme sur la pluralité masculine avec toi : quand on fait l’amour, je te parle souvent d’un homme qui te mate, propose son sexe à ta bouche, mais jusqu’à présent ce n’est que mon pouce que tu suces…
– Oui et j’aime bien tes paroles perverses. Tu vois cela comment ?
– Il revient quand ton Laurent ? Tu lui diras que nous sommes d’accord pour un trio, mais avec lui et moi. On passera une soirée ensemble à Paris pour faire connaissance ; puis, si le courant passe entre nous trois, j’organiserai une nuit à l’hôtel.
– Parfait pour moi approuve Joëlle, je suis toute excitée, mon amour
– Super, t’as une culotte ? oui la rouge, il s’agissait de te retrouver
– Mets la dans ma poche de veste
– Ici ? T’es fou
– Tu as vu comme c’est calme, vas-y
Joëlle prestement se redresse de la chaise et fait coulisser le slip le long de ses jambes gainées ; elle le passe autour des escarpins quand Bernard apporte l’addition… Joëlle rougit et dépose la boule rouge dans la poche.
Ils saluent Bernard et sortent.
– Je laisse la voiture ici, on va rentrer à pied par le petit chemin de derrière.
Et, enlacés, ils rentrent à la maison, traversant la place plantée de marronniers et faiblement éclairée ; Franck pose sa main sur ses fesses.
– Il est sympa ce Bernard, un jour il faudra l’inviter, je suis sûr que c’est un bon baiseur
– Mais, Franck, il est marié !
– Ça change quoi ? une bite reste une bite
Arrivés dans le chemin juste éclairés par un croissant de lune il soulève la jupe pour titiller sa raie. Passent le portillon et arrivent au jardin. À mi-chemin de la maison, Joëlle se place devant Franck s’agenouille, prend le membre de Franck, déjà gonflé, elle l’embouche, l’humecte bien, tout du long, puis tendant son visage vers lui :
– Je veux que tu jouisses dans ma bouche.
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Commentaires de l'histoire :
Badwell
Patience... dans quelques jours "Ch3 Joëlle au Sofitel" En attendant vous avez le loisir de lire "Joëlle tape dans l'œil..." ou "L'antiquité entre en jeu". Bonne lecture.
Posté le 16/02/2018
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