Histoire Erotique

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L'ambitieuse

Le parcours fulgurant d'une jeune cadre qui sait manager ses collaborateurs.

Proposée le 7/11/2017 par Roleplayer

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Thème: extra-conjugal
Personnages: Groupes
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Neuf heures. Les huit personnes de l'open-space du service commercial se trouvaient dans la salle de réunion à la demande du DRH.

"-C'est qui la nana avec le DRH ? fit Pierre à Maurice.

-Je sais pas, surement encore une stagiaire.

-Ben il s'emmerde pas ce salaud, tu lui donnes combien ?

-Dix-huit sur vingt ! Fit Maurice malicieux.

-Nan t'es con, quel âge? Moi je dis vingt-deux.

-Ouais peut-être, en tout cas, elle est mignonne.

-Humm, je la ferais bien sauter sur mes genoux pour la former..."

Comme d'habitude, on n'hésitait pas à se lâcher sur les grivoiseries. Il faut dire que l'équipe se composait de quatre filles et quatre gars. Entre les vingt-neuf ans de Marie, la benjamine, à la petite cinquantaine pour Maurice, Pierre en avait quarante-cinq ; Il ne s'était jamais rien passé entre collègues mais on rigolait bien en parlant de cul.

Le DRH prit la parole:

"-Mesdames, messieurs, après la promotion de votre directeur commercial, j'ai le plaisir de vous présenter son remplaçant."

Les regards tournèrent autour de la salle dans un léger brouhaha en cherchant l'élu.

"-Enfin, je devrais dire SA remplaçante, voici Madame Clémentine Deltours, qui devient votre nouvelle directrice."

Un silence de plomb tomba quand la jeunette se mit debout.

"-Ce sera Mademoiselle, si vous le voulez bien Monsieur. Bonjour à tous, je suis Clémentine, j'ai vingt-cinq ans, diplômée d'HEC, j'ai déjà travaillé un an pour un groupe financier et je suis heureuse d'intégrer cette nouvelle structure. Je suis certaine que nous allons faire du bon travail ensemble." Fit-elle avec une voix un peu aigüe.

L'assemblée avait les yeux rivés sur elle. Elle faisait environ un mètre soixante-cinq, blonde, les cheveux relevés en un chignon parfait; Sur un chemisier blanc, elle portait un ensemble bleu nuit avec des escarpins assortis.

"-Qu'est-ce que c'est que cette connerie ? Murmura Pierre.

-Une blonde, sans les gros nichons, c'est un gag, pouffa Jean.

-Elle se prend pour qui cette pétasse ? fit Claire à Marie.

-Il manque plus que son salaire, et elle nous la fait à l'américaine." ricana Maurice.

Un petit moment de flottement passé, le DRH prit congé, laissant Clémentine et ses nouveaux collaborateurs faire connaissance. Chacun se présenta poliment. La réunion prit fin et tous retournèrent à leur poste de l'open-space. Les commentaires allèrent bon train, les filles n'étaient pas tendre avec leur nouvelle supérieure. Pierre la trouvait plutôt très jolie.

Le lendemain, Clémentine organisait une réunion sur les nouvelles stratégies à adopter.

Alors qu'elle parlait en déroulant son powerpoint, Pierre se laissa aller à ses rêveries. Son tailleur bicolore d'aujourd'hui la rendait ravissante. Hummm, il la prendrait bien en levrette sur la table, la jupe relevée pendant qu'elle donnerait des explications. Et puis son chignon, il lui déroulerait pour lui tirer les cheveux et la faire crier devant l'assemblée. Il sentait sa queue se tendre. Un court instant car il fut sorti de sa torpeur quand Clémentine l'interpella.

"-Et il me semble que c'est Pierre qui chapote cette partie des projets, non ?

-Heu, oui merci !"

Il n'avait rien écouté et venait de répondre au hasard. Ses collègues se mirent à ricaner.

"-Pierre, je ne sais pas ce que vous avez compris de la question, je sais qu'on ne peut pas toujours être aware en réunion, mais vous êtes prié de ne pas dire n'importe quoi si vous avez un doute."

Elle lui fit un joli sourire alors que ses collègues étaient pliés. Elle venait de lui foutre une honte monumentale.

La réunion prit fin. Clémentine aborda Pierre alors qu'il sortait.

"-Pierre s'il vous plait ! Sans rancune pour tout à l'heure, hein ?... dit-elle en lui faisant un clin d'œil.

-Nan, c'est bon, je ferai attention la prochaine fois."

Toute la journée, il fut la risée du bureau.

Chacun prenait ses marques avec la nouvelle directrice. Les gars avaient les yeux ébouriffés chaque jour, certaines filles la jalousait un peu.

Jean vint trouver Pierre.

"-Dis, c'est vrai qu'elle t'a demandé de rester plus tard ?

-Heuu, ouais pour boucler un dossier, fit Pierre.

-Rhooooo, aller c'est ça, ça cache un truc, non? ?

-Nan, arrêtez d'être cons les gars."

En fin de journée Pierre trouva deux préservatifs glissés sous un dossier par ses collègues.

"Pfff, ils sont trop nazes" pensa-t-il.

Clémentine l'attendait. Elle avait enlevé sa veste de tailleur et portait un pull fin serré qui dessinait les jolies formes de sa poitrine. Pierre avait du mal à en détacher ses yeux.

La réunion prit fin, Pierre resta assis. Surprise Clémentine fit:

"-Hé bien, qui y a-t-il Pierre ? Vous rêvez ?

-Oui de vous Mademoiselle !" Laissa-t-il échapper volontairement en rougissant.

Clémentine le regarda en pouffant.

"-Soyez sérieux, je vous en prie. Bonne soirée Pierre." Fit-elle sèchement.

Il se leva et sortit.

"Ha la salope ! J'aurais bien envie de lui défoncer son p'tit cul !" Pensa-t-il excité comme jamais.

D'ailleurs, le soir c'est sa femme Nathalie qui en fit les frais. Alors que les enfants dormaient il commença à se frotter à elle dans le lit.

"-Qu'est-ce que t'as ce soir ? Fit-elle.

-J'ai envie de toi, c'est tout.

-Pfff vite alors, je suis crevée."

Il n'en fallu pas plus pour que Pierre se mette en action. La nuisette en coton fut vite retirée. Il se mit à sucer les tétons de sa femme goulument.

"-Hééé, doucement Pierrot !"

Il se reprit, l'embrassa puis fourra la tête entre ses jambes pour lui aspirer le clitoris. Il était assez doué avec sa langue et Nathalie étouffa un premier orgasme. Elle lui saisit la queue déjà toute dure.

"-Hé ben, pfiouuu!"

Il l'embrocha de tout son long et se mit à la limer comme un fou. Elle lui passa les mains sur le visage.

"-Mais va doucement, y a pas le feu..."

Il adorait voir la généreuse poitrine de sa femme bondir sous ses coups de reins. Elle l'avait entouré de ses jambes, et commençait à haleter.

"-T'aimes ça hein ? T'es ma petite cochonne hein ?

-Oui, vas y continue, défonce moi !" fit-elle en se prenant au jeu de son mari.

Il ne tarda pas à l'inonder mais restait encore bien dur.

"-Hé ben, t'es en forme ce soir, fit-elle avec un large sourire.

-Humm, ouais, j'ai envie d'essayer dans ton joli cul !

-Quoi ? Nan !

-Mais si, aller laisse toi faire !" Insista-t-il en essayant de la retourner.

Il reçut une gifle qui le stoppa dans son entreprise. Il la regarda contrit.

Sans un mot lui saisit la queue qui avait débandée et commença à le masturber. Elle se recroquevilla pour lui offrir une sympathique fellation. Il se lâcha à nouveau dans sa bouche. Ils finirent par se coucher l'un contre l'autre.

La vie au bureau suivait son cours, tout comme les remarques vaseuses des hommes à la pause-café.

"-Dites, vous avez vu comment elle est fringuée aujourd'hui ? Ca donne des idées non ? Fit Jean.

-Ouais, moi je la ferais bien crier en lui défonçant le cul" fit Pierre.

C'est à ce moment qu'elle apparut. Pierre rougit un peu de ses propos. Il était moins une.

"-Bonjour messieurs, vous allez bien ?

-Oui, merci Mademoiselle, fit Jean.

-Dites, j'ai deux dossiers très urgents sous le coude, vous pouvez me dépanner ?

-C'est pour quand ? Fit Pierre.

-Le votre ? Demain ! et vous Jean, après demain, c'est possible ?"

Les deux compères acquiescèrent, de toutes façons ils se voyaient mal refuser un boulot supplémentaire.

Le lendemain, en fin d'après-midi Pierre alla présenter son travail à sa cheffe. Elle en était satisfaite.

Pierre se leva pour prendre congé.

"-Hé bien Pierre, vous partez déjà ?"

Il la regarda surpris.

"-Pardon Mademoiselle ?

-Vous n'avez plus envie de me faire crier en me défonçant le cul ?"

Pierre la regarda interloqué; elle l'avait donc entendu hier. Il sentit ses joues rougir et bredouilla.

"-Heu, excusez-moi Mademoiselle, je suis vraiment désolé de ce que j'ai dit, c'est idiot...

-Mais qui vous dit que je n'aime pas les hommes qui ont de la prétention ? Assumez vos propos."

Elle le regardait droit dans les yeux en parlant et s'assit sur le bord du bureau.

"-Alors, vous me montrez ce qui va me faire crier ?" Le défia-t-elle.

Il ne la quittait pas des yeux, hypnotisé il ne pouvait plus se défiler. Il ouvrit son pantalon et baissa son caleçon offrant à Clémentine la vision d'un sexe non bandé de bonne taille.

"-Ha, oui, quand même !" Fit-elle.

Elle s'approcha près de lui et lui saisit la queue en levant la tête.

"-Vous allez bien m'embrasser un peu, on va pas faire ça comme des bêtes, hein Pierre ?"

Cette nana était complètement barrée et il commençait à être bien dur. Il lui roula un patin en dézippant sa jupe qui glissa à terre. Elle portait des bas. Il l'assit sur le bord du bureau et se plaça entre ses jambes. Il écarta la culotte de dentelle et se glissa en elle.

Elle jeta la tête en arrière en le tenant par les épaules

"-Haaan, mon dieu!" Souffla-t-elle.

Il commença à la limer. Elle soufflait, le regardait en souriant.

"-Alors, ça fait quoi de baiser sa cheffe ? Lança-t-elle.

-Huum, attend tu vas voir qui est le chef..."

Il la descendit du bureau, la retourna pour la prendre debout en levrette. Clémentine était trempée. Il lui retira sa culotte et lui monta une jambe sur le bureau pour mieux la prendre.

"-Je ne crie pas encore, hein Pierre?" Fit-elle entre deux inspirations.

Quelle salope, elle le défiait. Il lui lubrifia le petit trou avec sa mouille abondante. Il poussa son gland pour lui écarter la rondelle. Elle se crispa en s'agrippant aux bords du bureau.

"Hooo putaaiiiin..." Souffla-t-elle.

C''est vrai qu'il était gros, et elle ne se souvenait pas avoir pris un tel engin entre les fesses. Elle releva la tête en râlant quand il la pénétra complètement. Elle avait l'impression qu'il allait lui faire éclater l'arrière train à chaque coup de rein profond et ne put s'empêcher de gémir pour finir par crier.

Pierre lui avait attrapé les cheveux et lui pilonnait les fesses, excité par les cris de Clémentine. Il était comme un fou lui donna quelques tapes sur la croupe avant de s'enfoncer au plus profond pour l'inonder. Clémentine eut un spasme et resta interdite quelques instants, à demi allongée sur son bureau.

Il la releva et la serra contre lui. Elle le regarda, et ne dit rien, rajustant son chemisier qu'elle avait gardé. Elle remit sa jupe, Pierre se rhabilla.

"-Bien entendu, cela reste entre nous Pierre, n'est-ce pas ?

-Oui Mademoiselle, vous pouvez me faire confiance."

Il quitta le bureau.

Les jours qui suivirent, Clémentine et Pierre ne laissèrent rien paraître. Le train-train avait repris. Elle lui confia un autre travail supplémentaire qu'il s'appliqua à bien faire et à aller lui présenter en cette nouvelle fin de journée.

"-Mademoiselle ? Fit-il en passant sa tête à la porte du bureau alors que tout le monde était parti.

-Ha Pierre, c'est vous, entrez."

Clémentine portait un pull moulant rouge, une jupe noire et des escarpins. Ils commencèrent à discuter du travail fait par Pierre. Une fois de plus elle en était ravie. Pierre se leva pour prendre congé.

"-Attendez s'il vous plait.

-Quoi donc Mademoiselle ?

-Ca me gêne un peu, c'est à propos de la dernière fois, je...

-Je n'ai rien dit, cela restera entre nous je vous l'ai promis.

-Je n'en doute pas, mais là, si vous le voulez bien..."

Pierre la regarda surpris. Elle s'avança et se colla quasiment à lui. Elle dégageait un parfum légèrement vanillé. Il sentit une main le caresser au niveau de la queue alors qu'elle le regardait dans les yeux.

"-J'ai encore envie de votre queue, souffla-t-elle.

-Clémentine, je ne savais pas que vous...

-Ne vous faites pas de film, j'aime juste le sexe."

Il lui caressa les hanches puis la poitrine, entrepris de lui enlever son pull pour découvrir un joli soutien-gorge à balconnets de dentelle rouge. Il se baissa pour lui embrasser le haut de la poitrine, glissant une bretelle, il libéra un sein dont il saisit le téton entre ses lèvres. Clémentine soupira.

"-Humm Pierre, ouiiii."

Il avait une gaule d'enfer, Clémentine lui défit sa ceinture et laissa glisser son pantalon à terre. Elle le poussa vers son fauteuil et se mit entre ses jambes. Elle fit courir sa langue sur le gland gonflé par l'excitation puis le fourra dans sa bouche. Elle suçait fortement en lui malaxant les boules. Pierre se contractait, entre plaisir et douleur. Elle savait s'y prendre, sa femme ne lui avait jamais fait un truc pareil.

"-Oooooh putain Clem, t'es trop bonne..." Murmura-t-il.

Elle le regarda, le fit se lever pour prendre sa place. Elle le suçait toujours.

"-J'ai envie de votre foutre sur mes seins." Fit-elle en dégrafant son soutien-gorge et en le regardant. Elle se mit à le branler avec vigueur, bombant le buste. Pierre explosa et se répandit sur son cou puis sa poitrine. Elle suça les dernières gouttes de semence puis l'accroupit devant elle. Elle lui saisit la main pour qu'il étale le liquide visqueux sur ses seins. Elle se redressa pour l'embrasser, les lèvres encore mouillées.

Cette jeunette était en train de lui en faire voir de toutes les couleurs.

"-Clémentine, tu...

-Qui vous a permis de me tutoyez Pierre ? Vous vous égarez."

La réflexion lui coupa sa question. Elle lui lança un regard sévère.

"-Excusez-moi Mademoiselle, bredouilla-t-il un peu confus.

-J'ai adoré ce moment Pierre." fit-elle en se levant.

Elle remit son pull, Il se rhabilla.

Ils se quittèrent en se saluant poliment. Comme la fois précédente, rien ne transparut les jours suivants.

Marie fut à son tour convoquée chez sa cheffe un peu avant la fin de son travail.

"-Entrez Marie, asseyez-vous."

Clémentine regarda Marie, vêtue d'un tailleur sombre avec de fines rayures blanches, d'un chemisier et d'escarpins s'installer en croisant les jambes.

"-Qu'y a-t-il Mademoiselle ?

-Voilà, j'aurai besoin que vous me dépanniez sur un projet. Je sais que vous êtes déjà pas mal occupée, mais je me permets de vous faire cette demande.

-Heuu, oui, je vais voir ce que je peux faire.

-Très bien, je saurai vous remercier, ne vous en faites pas.

-D'accord, fit Marie.

-Dites-moi Marie, j'ai une question très personnelle qui sort du cadre du travail, répondez si vous voulez. Vous vivez en couple, je veux dire vous êtes avec quelqu'un non ?"

Surprise, Marie marqua quelques secondes d'hésitation avant de répondre.

"-C’est-à-dire... plus maintenant, j'ai rompu il y a quatre mois.

-Ho, excusez-moi, c'est très maladroit de ma part.

-Pourquoi cette question ?

-Par curiosité... je... je suis certaine que vous plaisez beaucoup aux hommes, mais aussi aux filles vous savez..."

Marie se mit à rougir.

"-C'est que... je ne suis pas vraiment dans ce truc là en fait et...

-Je vous embarrasse à nouveau, excusez-moi. C'était très personnel, j'ai tenté ma chance. Cette petite discussion restera entre nous bien entendu, fit Clémentine en se levant.

-Pas de problème Mademoiselle. Pour le travail, je vous le ramène dans trois jours."

Marie prit congé, un peu chamboulée. Alors Clémentine est gouine... ou bi ? Pensa-t-elle en partant. Elle venait tout simplement de lui faire des avances ! Si les autres savaient. Mais elle resterait muette sur le sujet.

Durant les huit mois qui suivirent, Pierre dut satisfaire sa jeune cheffe à plusieurs autres reprises. Elle lui donnait toujours plus de travail supplémentaire à faire.

En cette mi-juin, elle vint le voir dans l'open-space.

"-Pierre...

-Ha, Clémentine ! Fit-il avec le sourire.

-Pierre, je voudrais qu'on se voit, mais pas ici. Demain à quatorze heures, voici l'adresse. Vous serez en déplacement pour l'après midi."

Elle lui glissa un papier avec l'adresse d'un Novotel de la région et un numéro de chambre. Pierre sentit son cœur battre plus fort, excité et curieux de savoir ce qu'elle mijotait.

Le lendemain, il était un peu en avance au rendez-vous. Au moment où il sortait de sa voiture, il vit Jean sortir de la sienne. Il se dirigea vers lui.

"-Jean ? Qu'est-ce que tu fous là ?

-Ben et toi ?"

Les deux collègues eurent un instant d'hésitation, n'osant dévoiler la raison de leur présence. C'est Jean qui se lança:

"-C'est Clem ?

-Ouais, fit Pierre un peu gêné.

-C'est quoi ce délire ? Nan, me dit pas que... "

Un petit silence se fit, ils se regardèrent.

"-T'as couché avec elle alors ? Repris Jean.

-Ben... ouais, toi aussi je suppose.

-Ha la salope !

-Bon, on fait quoi maintenant ? La chambre, c'est une blague du coup ?

-Je sais pas, allons voir."

Alors qu'ils traversaient le parking, une voiture passa devant eux. Interloqué Pierre dit :

"-Heuuu, c'est pas Marie ?

-Quoi ? Tu déconnes ?

-Nan, je t'assure." Fit Pierre en se dirigeant vers la voiture qui se garait.

Lorsqu'elle sortit, Marie feint la surprise de se trouver nez à nez avec ses collègues.

"-(…)Ooh, tiens ? Qu'est-ce que vous faites là les garçons ?

-Ben et toi ?" Fit Pierre qui la détaillait de la tête aux pieds.

Les deux garçons restaient sans voix. Marie d'habitude si classique portait une robe courte, dos nu intégral juste tenue en haut par deux ficelles aux épaules. L'absence de dessous ne faisait aucun doute, des talons compensés sexy complétaient sa tenue.

"-Waouuu, j'adore tes fringues ma belle, ça change, fit Jean sans se démonter.

-Ah ouais, putain t'es super sexy Marie, tu devrais venir comme ça plus souvent, fit Pierre taquin.

-Alors vous venez faire quoi ici ?" Fit-elle.

Les deux compères se regardèrent.

"-Ben, on a eu une invitation de Clémentine, toi aussi tu as été invitée alors ? Demanda Pierre.

-Oui." Fit Marie en rougissant un peu.

Pierre enchaîna:

"-Attend Marie, je vais dire un truc con, mais... t'as fait des trucs avec Clémentine ?

-(…) ummm oui...

-Wow, t'es bi alors petite coquine ? Fit Jean.

-Toi aussi t'avais du boulot en plus alors ? Elle en a filé à combien d'entre nous ? Fit Pierre.

-On est tous là, je vous rassure, fit Marie énigmatique.

-Ha ouais? T'as l'air bien au courant toi, fit Jean.

Elle ne dit rien et prit la tête du petit groupe. Les deux garçons lui emboitèrent le pas ne détachant pas leur regard de ce superbe dos découvert et de ce petit cul qui se dandinait devant eux.

Jean poussa la porte de la chambre avec galanterie pour laisser passer Marie. Clémentine les attendait à l'intérieur, habillée d'une robe ultra courte et décolleté avec des talons.

"-Entrez !" Fit-elle en s'avançant vers eux.

Marie posa un baiser sur les lèvres de Clémentine sous le regard médusé des deux garçons.

"-Ha (…) d'accord... fit Jean.

-Qu'est-ce que cela signifie-t-il ? Demanda Pierre.

Clémentine et Marie étaient côte à côte. Clémentine prit la parole.

"-C'est vrai, je vous dois quelques explications messieurs. Dans deux semaines, je quitte mon poste ici pour aller diriger les bureaux de Londres. Je tenais à remercier mes collaborateurs les plus proches... et les plus actifs!

-Ha, félicitations pour cette promotion Mademoiselle, vous... vous allez nous manquer, fit Pierre ne sachant trop quoi dire.

-Cette promotion, je vous la dois, par tout le boulot que vous avez fait en plus pour moi.

-Bha, c'était normal vous savez fit Jean."

Un petit silence s'installa, Clémentine passa une main autour de la taille de Marie.

"-Et aussi, Marie part avec moi."

Il y eut un blanc, le temps que les garçons réalisent.

"-Hein ? C'est pas vrai ! Fit Jean.

-Si, fit Marie. Vous savez, depuis que j'ai rompu, je n'ai plus d'attache ici, Clem m'offre une opportunité, je n'ai pas envie de la laisser passer. Et un peu plus aussi... ajouta-t-elle en penchant la tête vers elle.

-Mais... toutes les deux... Ça fait longtemps, fit Pierre.

-Quelques mois, dit Clémentine en souriant.

-Ca alors... j'aurais jamais pensé, notre Marie toute timide ! fit Jean en rigolant.

-Visiblement tes collègues te connaissent mal, hein ? Fit Clémentine à Marie avec un clin d'œil.

-Aller les garçons, on se prend une coupe de champagne !" Fit Marie en se dirigeant vers le mini bar.

Elle fit le service, ils trinquèrent. Une seconde coupe fut servie, Clémentine prit la parole.

"-Voilà les garçons, avec Marie on voulait partager un dernier moment avec vous, tous les quatre, vous voyez ? J'espère que vous n'êtes pas contre ?"

Pierre et Jean se regardèrent. Les deux jeunes femmes leur proposait tout simplement un plan à quatre?! S'ils avaient déjà tringlé la patronne, ils se demandaient s'ils allaient aussi baiser la jolie Marie, l'idée, restée un fantasme leur était de toute façon venue depuis qu'ils travaillaient ensemble.

"-Heu, ben je crois que pour nous ça va, hein Jean ? Fit Pierre.

-Heuu, ouais, ça me va."

Les filles se regardèrent. Clémentine enlaça Marie pour l'embrasser à pleine bouche. Les garçons n'en revenaient pas.

"-Bon, à vous !" Lança Marie taquine.

Un silence tomba, Pierre et Jean se regardèrent ayant peur d'avoir mal compris les attentes des deux filles.

"-Heuuuu, ouais, mais non, nous on fait rien ensemble hein ?" Fit Jean.

Les deux filles éclatèrent de rire devant l'embarras provoqué.

"-C'que vous pouvez être cons les mecs, on vous fait marcher comme on veut hein ?" Fit Marie.

Chacune des filles vint se pendre au cou d'un garçon. Marie avec Jean, Clémentine avec Pierre.

"-On veut toutes les deux profiter de chacun de vous, messieurs, et j'ai promis à Marie que Pierre aurait l'honneur de ses petites fesses."

Clémentine était directe comme à son habitude. Les garçons étaient excités par la perspective de l'après-midi, mais ne savaient qui devait prendre l'initiative.

C'est Marie qui se lança.

"-Bon, ben j'aurais jamais pensé que ça arriverait en vrai, fit elle à Jean.

-Ah ? Parce que tu l'avais imaginé en rêve ?

-Oh, ben des fois tu sais, avec toutes les blagues de cul que tu racontes au bureau, ça donne des idées."

Jean lui caressait le dos découvert et se pencha pour l'embrasser. Il s'en trouva tout excité.

Pierre passa sa main sur le décolleté de Clémentine qui lui mit une main sur le sexe.

"-Votre queue va me manquer Pierre, fit-elle en lui souriant.

-Londres n'est pas si loin, venez me revoir Mademoiselle Clémentine.

-Ou alors, c'est vous qui viendrez." fit-elle en lui roulant une galoche monumentale.

Jean et Marie rigolaient bien, elle lui avait enlevé son pantalon et son caleçon, ne lui laissant que sa chemise ouverte. Il s'était accroupi pour lui glisser son string en dentelle.

"-Marie, si j'avais su avant... fit-il en se relevant.

-T'aurais pas osé, mais là tu peux faire ce que tu veux." fit-elle en le branlant doucement.

C'était la première fois qu'il sentait la main de sa collègue sur lui. Il devint raide comme un pieux, et lui caressa la joue.

"-C'est moi qui te fait cet effet là ?" Fit-elle taquine.

Jean s'accroupit à nouveau pour soulever la robe de Marie. Elle était complètement rasée, ça le rendait dingue. Furtivement, puis avec plus d'insistance il se mit à lui lécher le minou, sa langue lui fit grossir le clitoris et elle se laissa aller à un long soupir.

Clémentine et Pierre les regardèrent en souriant.

"-Vous savez ce qui vous reste à faire mon cher..." fit Clémentine.

Il sourit, se mit derrière elle pour lui dézipper sa robe. Il laissa retomber le haut et lui enveloppa les seins et en l'embrassant dans le cou. Elle glissa sa main entre eux pour continuer à lui masser le sexe. Les tétons de Clémentine glissaient entre ses doigts, elle commença à gémir.

Elle se retourna, s'accroupit, lui enleva son pantalon et fourra le sexe grossissant dans sa bouche. Elle ne fit que quelques va et vient pour le faire durcir, il fallait que les hommes tiennent l'après-midi. Elle se releva, finit d'enlever sa robe pour se coller à Pierre en talons et en tanga de dentelle. Pierre enleva sa chemise. Il dirigea Clémentine vers le fauteuil où elle s'agenouilla, le dos cambré et la croupe relevée. Pierre la prit en levrette en écartant l'étoffe de dentelle, elle coulait comme du miel.

Jean avait amené Marie sur le lit. Il fit glisser les bretelles de sa robe pour découvrir une poitrine qu'il n'aurait pas cru si généreuse.

"-OOoh Marie ! Tu nous cachais bien tes charmes dis donc". fit Jean.

Elle se mit à rire. Jean n'en croyait pas ses yeux. Sa collègue s'offrait à lui comme il ne l'aurait jamais imaginé. Il se fit doux pour la satisfaire. Elle gémissait, lui parlait pendant qu'il la limait. Elle sentit un petit orgasme monter, ses entrailles serrant le sexe de Jean. Il accéléra, lui aussi avait envie de jouir. Elle se mit à haleter et à se contracter, avant de se laisser aller à un doux râle en fermant les yeux. Jean explosa à son tour. Il lui malaxait la poitrine avant de se mettre sur elle et de lui rouler une galoche.

Pendant ce temps, Pierre s'occupait copieusement de Clémentine qui jouissait comme une furie. Pierre se vida en levrette. Elle se retourna rapidement pour s'agenouiller et capter les dernières gouttes de sperme de Pierre avec sa bouche. C'était une sacrée cochonne.

Maintenant que tout le monde était à poil ou presque, ils prirent une nouvelle coupe de champagne. Les filles avaient gardé leurs talons, et Jean sa chemise. Ils trinquèrent à nouveau.

"-Alors, ça vous plait les garçons ? Fit Clémentine.

-Ben, pas qu'un un peu ! Fit Jean enjoué.

-Prêts pour un deuxième tour ? Renchérit Clémentine.

-Une petite pose serait bien pour tout le monde non ? Fit Pierre.

-Ah ? Ben nous on a toujours envie, hein Clem ?" Fit Marie.

Ses collègues ne la reconnaissait pas. Marie fit assoir les garçons sur le canapé, elle se mit sur le lit avec Clémentine qui avait sorti quelques accessoires.

Visiblement, les filles avaient envie de se donner en spectacle devant les hommes. Ils ne ratèrent pas une miette des caresses et embrassades. Un cap fut franchi quand elles utilisèrent un gode, mais surtout lorsque Clémentine fourra un plug entre les fesses de Marie.

Pierre et Jean avaient recommencés à avoir une trique d'enfer. Clémentine les taquina.

"-Ca y est messieurs ? De nouveau en forme ? Et toi Chaton, t'es prête ? Fit-elle à Marie.

-Chaton ? Fit Jean en regardant Marie qui lui tira la langue.

-Moi je trouve ça mignon, c'est bien trouvé Mademoiselle ! Fit Pierre en rigolant.

-Quel fayot celui-là!" Fit Jean hilare.

Les couples changèrent, Pierre s'approcha de Marie qui lui fit un sourire timide. Elle lui caressa le sexe déjà pas mal bandé.

"-Hoo, waow ! Fit-elle en se mordillant les lèvres.

-Bon, ben dit-moi comment tu veux commencer ? Fit Pierre.

-Je sais pas".

Pierre prit l'initiative de l'allonger sur le dos, l'embrasser, de lui sucer les tétons en guise de préliminaires. Il voulait être classe avec sa collègue.

"-Bon, et vous Jean, qu'est-ce qui vous plairait ?

-Si j'osais mademoiselle...

-Osez, vous savez bien que c'est-ce que j'aime !

-Votre petit cul... Mademoiselle ! Lui murmura-t-il à l'oreille.

-Attendez, je veux voir la première de Marie, ok ?"

Clémentine et Jean étaient assis d'un côté du lit, de l'autre, Pierre venait d'embrocher la chatte de Marie qui soupirait comme jamais.

"-Oooh, la vache Pierre, t'es énorme...

-C'est toi qui me fait bander comme ça Marie..." Fit il en s'activant.

Il se retira, enleva le plug et lui lubrifia généreusement le petit trou avant de présenter son sexe. Le plug l'avait un peu dilatée. Marie eut un mouvement de recul du bassin quand il s'appuya contre elle. Pierre entra son gland, elle se crispa, retenant sa respiration en devenant toute rouge.

"-AAAïïïïeee !!AAAAAïïïïeee !!" Se mit-elle à haleter alors que Pierre ne faisait qu'entrer et sortir son gland.

Voyant la détresse de son amie, Clémentine se mit à quatre patte sur le lit, et lui saisit la main.

"-Aller chaton, laisse toi aller" lui murmura-t-elle.

Pierre prenait du plaisir à martyriser un peu la pauvre Marie. Jean se délectait de la scène.

"-Pierre, enfin, vous êtes cruel, défoncez la une bonne fois pour toute !" Fit Clémentine directive en le regardant.

Pierre y mit tout son long, Marie hurla, s'agrippant au bras de Clémentine. Elle avait du mal à reprendre sa respiration. Il resta sans bouger pour qu'elle s'habitue à son sexe énorme. Il se pencha pour l'embrasser, mais Clémentine le repoussa.

"-Nan, ça c'est moi! "

Elle se mit à rouler une galoche à Marie qui sembla se détendre. Pierre reprit un doux mouvement de va et vient. Ce petit cul serré sur son chibre l'excitait comme jamais, il allait faire durer le plaisir.

En galochant Marie à quatre pattes sur le lit, Clémentine offrait sa croupe à Jean. Il s'en approcha, fit glisser la culotte et lécha tout ce qu'il pouvait de sa cheffe qui sursauta.

"-Han mon Dieu Jean, que faites-vous ? Fit-elle en relevant la tête.

-J'en ai envie depuis un petit moment Mademoiselle, dit-il alors qu'il explorait l'intimité de Clémentine qui se laissait faire.

Pendant ce temps, Pierre avait relevé Marie pour l'embrasser.

"-Ca va ma jolie ?

-Ouais mais putain tu m'a déchirée, j'ai le cul détruit.

-Tu veux continuer ? J'ai trop envie."

Elle lui sourit en acquiesçant se mit à quatre pattes et creusa le dos pour le recevoir à nouveau dans les fesses. Les deux filles étaient aux prises avec les deux mâles surexcités. Marie commençait à se sentir mieux, Pierre pouvait y aller de tout son long.

Clémentine échappa un petit cri quand Jean lui prit le cul. Il ne la ménagea pas et se lâcha rapidement avant qu'elle ne jouisse vraiment.

"-Hé ben Jean, c'était intense et rapide" fit-elle taquine.

Elle se retourna pour l'enlacer et l'embrasser.

"-Mais c'était très agréable mon cher!" Ajouta-t-elle pour ne pas le froisser.

Pierre en termina avec Marie, totalement défaite. Elle eut un petit orgasme quand Pierre explosa. Elle s'affala sur le lit, Clémentine se mit à ses côtés et l'embrassa.

"-T'as vu Chaton, je t'avais pas menti hein ? Fit-elle.

-Ha ouais, là j'ai pris cher, je vais plus pouvoir m'asseoir demain au bureau, ricana Marie.

-Si, tu pourras venir sur mes genoux !" Lança Pierre taquin.

Personne ne voulait réellement que cet après-midi ne prenne fin.

Pendant que Clémentine et Jean passèrent ensemble un agréable moment sous la douche, Pierre remit le couvert avec Marie.

Ils se douchèrent à leur tour.

Les garçons quittèrent le Novotel en fin d'après-midi, laissant là les filles qui avaient visiblement prévu des choses à deux.
Le lendemain au bureau, Marie avait les yeux cernés. Pierre passa la voir.

"-Alors, ça va Chaton? Lui murmura-t-il au creux de l'oreille.

-Ooh, ça va, Jean vient de me faire la même blague."

Elle le regarda en souriant.

"-Me demande pas trop de bouger aujourd'hui, hein, petit coquin ! dit-elle.

-Et pourquoi ça ?" Fit-il en riant.

Une grande complicité s'était installée, dommage que les demoiselles partent si tôt pensait Pierre un peu morose.

Deux mois étaient passés depuis le départ de Clémentine et Marie. Elles avaient été remplacées par deux femmes également, mais Clémentine avait été une cheffe unique en son genre.

Pierre et Jean furent convoqués par leur nouvelle directrice dans son bureau.

"-Messieurs, asseyez-vous."

Plus âgée que Clémentine, Carole, la petite quarantaine n'en était pas moins charmante. Les collaborateurs de l'open-space l'appelaient par son prénom en la vouvoyant.

"-Que peut-on faire pour vous Carole ? Fit Pierre.

-J'ai reçu une demande de nos bureaux de Londres. Vous avez été désigné pour y aller trois jours, renouvelables d'ailleurs, mettre des choses en place, je vous avoue que c'est un peu vague en fait. On parle de missions ponctuelles. Vous êtes au courant ?"

Les deux garçons se regardèrent, ils avaient compris la même chose.

"-Heu oui je crois, Mademoiselle Deltours notre ancienne directrice nous en avait un peu parlé. Fit Jean.

-Et c'est quand ? Demanda Pierre.

-La semaine prochaine, j'espère que vous pourrez vous organiser.

-Pas de soucis !" Fit Jean soudainement enjoué.

Ils quittèrent le bureau. Dans l'après-midi chacun reçu un mail de Clémentine.

""Bonjour Messieurs,

Nous vous attendons avec impatience à Londres, il y a du travail. Soyez en forme...

Clém & Chaton ""

Pierre alla voir Jean.

"-T'as eu un mail aussi ?

-Ouais."

Ils se regardèrent et murmurèrent d'une seule voix:

"Aaaah, les cochonnes..."

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Commentaires de l'histoire :

Philus
L'histoire est intéressante, mais ne cédez pas à une orthographe simplissime. On écrit "Non" même si l'on prononce "Nan" et chef reste chef même au féminin. Seuls les personnages peuvent prononcer des mots grossiers, le narrateur ne parle pas de "gaule d'enfer" ou de "mouille" mais de "forte érection" et de "cyprine" ou "sécrétion". Arrangez aussi le cadre, entreprise de quoi ? Dans quelle ville ? Dans une histoire érotique, le "cul" vient émailler un récit classique, un récit qui sans le "cul" garderait tout son sens. Bon courage.
Posté le 9/11/2017


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