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Une relation particulière 1 : Education à la soumission

Cette histoire en deux parties est mon histoire, une histoire vraie. Celle de Cécile, jeune fille paumée, qui vit dans la rue et qui est recueillie par Philippe qui deviendra son amant. Un amant particulier pour une relation particulière.

Proposée le 8/09/2016 par CecileS

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Un léger bruit me tire de mon sommeil. Sommeil ? Pas vraiment, coma plutôt ! J’ai la migraine, la langue collée au palais, un gout immonde dans la bouche. Je n’ouvre pas les yeux, tentant me rappeler comment je suis arrivée là. Ou d’ailleurs ? Je n’en sais rien, je ne me souviens de rien. Les yeux toujours clos, j’écarte les bras, les jambes, j’explore ma couche, des draps, un grand lit. Je me sens nue entre ces draps, je suis nue. Plus de vêtements, plus de soutif, même pas de culotte.
J’ouvre enfin les yeux. Il fait jour, un rayon de soleil filtre par la fenêtre entre les épais doubles rideaux. Un plafond blanc haut, très haut, avec des corniches en stuc. Les murs sont couverts de papier peint, une imitation de toile de Jouy. Moche !
Je me redresse, le drap glisse sur ma poitrine. Un homme est là, au pied du lit. Il me regarde, impassible, les bras chargés de vêtements. Je demande :
- Je suis où ?
- Chez moi, me répond l’homme en posant les vêtements sur un fauteuil.
- Comment je suis arrivée là ?

Il m’explique qu’il m’a trouvée sur un trottoir, inconsciente, ivre morte, couverte de mon vomi. Il m’a emmené chez lui et m’a couchée dans ce lit. Il termine ses explications par :
- Va prendre une douche, tu pues. La salle de bains est par ici. En me montrant une porte.

Je me lève péniblement. Je suis moulue comme si j’étais passée sous un rouleau compresseur. Je me dirige vers la porte qu’il m’a indiquée, inconsciente de ma nudité. La douche me fait du bien. Le parfum du shampoing, du gel douche me détendent.

J’essaie de me rappeler. Je reprends tout, depuis le début, il y a six mois. Depuis que j’ai quitté ma mère adoptive, depuis que j’ai laissé tomber mes études, depuis que je suis arrivée dans cette ville, seule à 22 ans, croyant trouver du travail, la liberté, un homme. Fantasmes ! Des petits boulots, mal payés, incapables de me payer un loyer. La liberté, celle de crever de faim, de dormir dans la rue, sur des bancs. Des hommes, des males plutôt qui m’ont baisée, contre une nuit au chaud dans leur lit, contre un sandwich, contre un verre ou pour rien. Baisée, totalement baisée.

Et celui-ci qui m’a ramassée dans le caniveau, celui qui m’a mis dans ce lit, que veut-il ? Mon cul, ma bouche ? Hier, j’ai acheté une bouteille de gin et 3 grammes de shit. J’ai fumé l’herbe et j’ai commencé à boire le l’alcool et…je ne me souviens plus…Je me brosse les dents avec ardeur pour faire disparaitre les dernières traces de la nuit précédente.

Je reviens dans la chambre, enroulée dans une serviette. Il a changé les draps, remis des propres. La fenêtre est ouverte et laisse entrer l’air frais. Il me dit :
- Habille-toi. Je pense que ça devrait t’aller.

Il ne bouge pas. Attends que je m’habille devant lui. Il veut me mater.

Une culotte en dentelle blanche glisse sur mes cuisses et vient cacher mon intimité. Un soutif couvre mes seins. La lingerie est jolie, chère surement c’est une marque connue pour cela. Une jupe grise, un chemisier rose pâle, des escarpins rouges à talons haut. Je ne suis pas à l’aise. Ma tenue habituelle, c’est jean, basket sweat-shirt et blouson. Je ne suis pas à l’aise mais je me sens bien, je me sens belle.
L’homme sourit.

- Viens prendre un petit déjeuner. Tu as faim ?
- Oui.

Des croissants, des chocolatines, un bol de thé brulant. Oh que oui j’ai faim. Il me questionne. Entre deux bouchées je lui raconte. Pendant que j’avale mon bol de thé, je le détaille. Il semble réfléchir le regard sombre. Il doit avoir quarante ans, peut-être un peu plus. Il pourrait être ce père que je n’ai jamais eu. Il est bien conservé, bien bâti. Il doit faire du sport. Somme toute, il serait plutôt séduisant. Je ne sais rien de lui.
- Moi, c’est Cécile et vous ?
- Philippe. Quel âge as-tu ?
- 22 et vous ?
- Exactement le double. Cécile, j’aimerais te proposer de rester ici avec moi. Tu as le choix entre rester ou retourner dans la rue. Tu me donneras ta réponse demain matin.
- Et si je choisis de rester, c’est en échange de quoi ?
- De ton obéissance totale.

Philippe n’ajouta rien à cette phrase et commença à débarrasser la table. Je tentais une question mais sa réponse fut cinglante « Ton obéissance totale ». Et son regard me dissuada d’insister.

La journée fût agréable. Philippe m’emmena au restaurant pour déjeuner et diner.

L’après-midi, nous sommes allés nous promener dans un parc. Pas une fois, je ne tentais de la questionner à nouveau et Philippe se montra charmant. De retour à la maison de Philippe, une grande maison en banlieue, je m’attendais à ce qu’il se montre plus entreprenant. J’avais tellement l’habitude que les hommes veuillent une gâterie pour le moindre quignon de pain, que je ne crus pas mes oreilles quand il me souhaita simplement une bonne nuit quand je lui dis que j’allais me coucher.

En me réveillant le lendemain, ma décision était prise. J’allais accepter sa proposition. J’avais pesé le pour et le contre. Mon obéissance totale lui était acquise. Qu’est-ce que je risquais d’ailleurs ? Que pouvait-il m’arriver de pire que ce que j’avais subis ces six derniers mois ? Si Philippe avait été un criminel, je ne vois pas pourquoi il m’aurait demandé mon avis.

Je lui fis part de mon choix et son regard me sourit.

Le petit déjeuner à peine terminé, une infirmière vint me faire un prélèvement de sang. Dans la matinée, Philippe m’emmena chez un médecin qui m’examina complètement. Pendant que nous déjeunions, il reçut un appel téléphonique. Un sourire éclaira son visage sévère. Il murmura « Parfait » juste après avoir raccroché. En début d’après-midi, Philippe me conduisit chez un coiffeur qui transforma ma tignasse informe en une coiffure à la mode, me maquilla et pris soin de mes ongles. Puis une esthéticienne me fit une épilation des jambes, des aisselles et du pubis. Dans le taxi qui nous ramenait chez lui, Philippe me prévint que dès cet après-midi il mettrait mon obéissance à l‘épreuve. Je ne cherchais pas à savoir de quoi il s’agissait même si j’en mourrais d’envie.

On sonna et Philippe me demanda d’aller ouvrir. Un livreur, les bras chargés de paquets entra. Philippe l’invita à poser son chargement dans le salon. Il retourna deux fois à sa camionnette. Une dizaine de sacs à l’enseigne de magasin de vêtements, de lingerie, un douzaine de boites de chaussures encombrait à présent le salon. Philippe invita le livreur à s’assoir et lui servit un verre de vin. Il me dit :
- Cécile, j’ai choisi tout cela pour toi. Il faudrait que tu fasses l’essayage avant que monsieur ne reparte. Il pourrait ainsi rapporter ce qui ne te va pas.
Alors que je prenais un des sacs, Philippe ajouta :
- Tu devrais faire l’essayage ici, cela gagnera du temps. Même si monsieur a été largement payé pour son attente, c’est inutile de le retenir trop longtemps.


Je compris alors ce que Philippe exigeait de moi. Un gage de mon obéissance totale !
Je quittais alors mes vêtements et mes sous-vêtements. Le contraste entre l’attitude de Philippe et celle du livreur était saisissant. Autant mon bienfaiteur semblait détaché, insensible à ma nudité, autant le livreur vira au rouge cramoisi dès je commençais à quitter mes vêtement et paru au bord de l’apoplexie aussitôt que je fus nue devant lui.

J’essayais une à une les parures de lingerie, me couvrant à chaque fois avec une robe, un pantalon ou une jupe. Je me pris au jeu de ce strip-tease, riant intérieurement de voir le pantalon du livreur grossir au niveau de l’entrejambe. J’en rajoutais même un peu en lui demandant parfois son avis qu’il me donnait en bafouillant.

Alors que je quittais la dernière pièce de ma nouvelle lingerie, Philippe me demanda :
- Ma chère Cécile, tu devrais récompenser monsieur pour sa patience.

Philippe me demandait un gage de plus de l’obéissance qu’il exigeait de moi. Je compris parfaitement qu’il voulait que je devais offrir mon corps à cet inconnu pour le remercier.

Perchée sur les hauts talons de mes escarpins rouges, je m’accroupis devant le fauteuil du livreur dont les mains se crispèrent sur les accoudoirs.je lui offris ainsi une vue imprenable sur mon corps dénudé et sur mon minou débarrassé de toute sa pilosité. Je fis glisser le zip de sa braguette, ouvrit son pantalon et en extrayais une queue gonflée, dure et grosse. Aussitôt je la pris dans ma bouche et je commençais à le pomper vigoureusement sous le regard détaché de Philippe.

Philippe s’approcha de nous et agita une pochette de préservatif devant mes yeux. Je cessais de sucer le livreur pour couvrir sa bite avec la capote. Puis je le chevauchais et enfournais son chibre dans mon antre brulant. La situation m’excitait énormément. Jamais je n’avais vécu un instant de telle luxure. Depuis mon dépucelage douloureux à seize ans par un voisin de ma mère adoptive, tous les hommes qui s’étaient satisfaits entre mes cuisses, n’avaient cherché que leur seul plaisir. Un coup vite fait, une giclée de foutre dans le con ou dans la bouche et c’est tout. J’y avais parfois pris un peu de plaisir mais jamais je n’avais ressenti ce sentiment de puissance, cet empire que j’avais sur cet homme.

Je calmais les mouvements de mon bassin, lui laissant le loisir de gouter la douceur de mon con par d’amples mouvements de bas en haut avant de me laisser retomber lourdement autour de sa queue.

Il n’osait pas lâcher les accoudoirs, lançaient des regards inquiets en direction de Philippe qui, s’il ne perdait pas une miette du spectacle, nous regardait avec cette indifférence qui était sa caractéristique.

J’étais excitée mais pas au point de jouir. D’ailleurs je me demandais si Philippe apprécierait que je jouisse de la bite de cet homme avant d’avoir jouis de la sienne. Mes scrupules cessèrent quand le livreur se vida dans sa capote en grognant. Je cessais mes mouvements de ludion et me libérais de son dard.

Philippe intervint enfin :
- Ma chère Cécile, voici un remerciement qui semble avoir été apprécié mais il faudrait que tu songes à l’hygiène de monsieur.

J’arrachais le préservatif et suçait soigneusement le chibre gluant du livreur, le pressant entre mes lèvres pour en extraire les derniers reliquats de liqueur.
Une fois le livreur parti, les couilles vides et la poche remplit des billets que lui avait glissé Philippe, celui-ci me demanda d’aller ranger mes vêtements dans le dressing de ma chambre. Alors que je tendais la main vers les vêtements que je portais depuis le matin, l’ordre de Philippe arriva sèchement :
- Je t’ai dit de ranger tes vêtements pas de te rhabiller !

C’est donc nue que je rangeais mes nouvelles affaires. Philippe me suivit dans ma chambre et surveilla tous mes gestes. Une fois tout rangé, il m’entraina dans la salle de bains et me doucha. Il me savonna à mains nues, fouillant le moindre recoin de mon anatomie. Jamais auparavant un homme ne m’avait frictionné avec autant de douceur. D’ailleurs jamais un homme ne m’avait réellement caressée. Je fondais littéralement sous la danse de ses mains sur mon corps. Et même si je mouillais abondamment, si le plus léger contact de ses doigts sur mes endroits sensibles m’arrachait des soupirs, pas une fois Philippe ne sembla désireux de me donner du plaisir, ce plaisir que je lui avais réservé, ce plaisir dont le besoin me tordait le ventre depuis que j’avais sucé et baisé le livreur. Il me fit subir ensuite un lavement vaginal qui stoppa net ma lubrification. Enfin il me demanda de me tourner, de me pencher en avant. Ces doigts écartèrent les globes de mes fesses, et la froideur de la canule envahit mon petit trou. Un dernier rinçage et Philippe sortit de la salle de bain en m’ordonnant de me sécher, de me coiffer et de me maquiller.

Il avait disposé sur mon lit, une robe blanche, des bas de couleur chair et un serre-taille blanc. Une paire d’escarpins à talons vertigineux attendaient au pied du lit.
- Habille-toi. Nous allons diner. Me dit-il.

Il n’avait pas sorti de sous-vêtements de l’armoire. Je faillis les prendre moi-même mais je me ravisais. S’il ne les avait pas préparés, c’est qu’il souhaitait que je n’en porte pas.

La robe blanche, que j’avais essayé peu de temps avant, était une robe portefeuille, seulement fermée par une large ceinture. Le décolleté était profond, si profond que la pointe s’en trouvait au-dessous de ma poitrine nue. A chacun de mes pas la robe s’ouvrait largement sur le devant laissant apparaitre la lisière en dentelle de mes bas.

Quand je fus prête, Philippe tira de sa poche un petit sac en velours rouge. Il s’assit sur le lit.

- Approche. Me dit-il. Ouvre tes jambes et relève ta robe.

Il sortit deux boules de geishas du sac et les introduisit profondément dans mon con. Il me regarda en souriant :
- Tu es superbe. Nous pouvons y aller maintenant. Prends garde à ne pas perdre ce que tu as dans ton sexe.

Nous sommes allés à pied à la station de taxi. Les boules de geishas s’entrechoquaient dans mon ventre, me procurant des sensations délicieuses accentuées par la contraction de mes muscles afin de les garder à leur place. Dans le taxi, Philippe me fit assoir au milieu de la banquette. Ma robe s’ouvrit largement dévoilant le haut de mes cuisses. Il m’offrait au regard gourmand du chauffeur qui modifia le réglage de son rétroviseur. Le taxi nous déposa à l’adresse indiquée qui se trouvait à une centaine de mètres du restaurant. Cent mètres d’un doux supplice, deux cents pas qui chacun faisait s’agiter les deux boules diaboliques dans mon ventre. L’humidité me glaçait l’intérieur des cuisses.

Au restaurant, mes cuisses se dévoilèrent au serveur, qui pouvait aussi lorgner dans l’ouverture de ma robe. Il ne s’en privait pas, le coquin, trouvant mille prétextes pour se pencher vers moi, pour me resservir en vin.

Le retour fut comme l’aller, un peu de marche qui remit le feu dans mon ventre, une exhibition pour le chauffeur de taxi, et encore un peu de marche. En arrivant dans la maison, toujours accompagnée de mon maitre, j’étais en fusion, une vraie pile électrique, une centrale nucléaire prête à exploser, un volcan au bord de l’éruption.
Philippe me conduisit à l’étage, sous les combles. Là il me fit entrer dans une petite pièce intégralement vide. Il noua un bandeau de velours noir sur mes yeux. J’étais totalement aveugle tant le bandeau était opaque. Je sentis ma robe glisser sur ma peau avant que Philippe me pousse dans je ne sais quelle direction.

Il me fit faire quelques pas jusqu’à ce que je sente un contact froid sur mon ventre. Il lia mes bras en croix, aux poignets et aux coudes. Je me sentis basculer en avant. Il prit mes jambes et les plia pour faire reposer sur un support. Il les lia aussi, aux chevilles, aux genoux. Je ne reposais que par l’appui de mon ventre sur un coussin, les genoux fléchis mais les cuisses ouvertes, les bras en croix comme une grenouille qu’on aurait crucifiée.

Il se passa quelques minutes dans un quasi silence que seuls les pas de Philippe et quelques bruits légers que je ne pouvais identifier venait troubler. Une morsure sur mon téton droit m’arracha un cri. Mon sein se trouva tiré vers le bas. La même morsure sur le gauche et le même étirement. Une autre morsure encore sur ma chatte, sur une de mes petites lèvres. Moins vive que celle sur mes tétons, la même de l’autre côté et ma fente se trouva largement ouverte.

Quelque chose de froid s’introduisit entre mes fesses, força ma rosette, se retira, revint, se retira encore, tourna sur lui-même. Mon œillet se dilatait insensiblement à chaque poussée, l’objet s’introduisait plus profondément dans mon cul. C’était de plus en plus gros, Mon œillet s’étendait de plus en plus, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus progresser et que ma rosette se resserre autour de la collerette du plug que Philippe venait d’enfoncer.

Puis plus rien, le silence. La morsure des pinces à tétons se dissipait, la contrainte du plug s’évanouit à mesure qu’il se réchauffait. Cette situation dura longtemps, combien de secondes, de minutes, d’heures peut-être, je ne saurais le dire. Absence de bruit, absence de lumière, absence de mouvements, j’étais comme morte mais intérieurement je vivais. Je vivais pour ce plaisir qui allait venir, je n’en doutais pas une seconde. Qui viendrait quand Philippe aurait décidé.

Un frôlement sur mon échine me fit me cambrer malgré mes entraves. Une plume ? Un pinceau ? Une plume pensais-je. Elle parcouru toute ma colonne vertébrale plusieurs fois avant de glisser dans ma raie culière encombrée par le plug. Elle chatouilla ma vallée humide, frôla à peine mon clitoris avant de remonter vers mes seins, d’en faire plusieurs fois le tour avant de redescendre vers mon ventre, de m’agacer l’intérieur des cuisses. Je poussais un long gémissement de désir qui se transforma en cri quand une brulure me cingla les fesses.

Puis les frôlements reprirent. Je tentais de réfréner mes gémissements car à chaque fois, la cravache me rappelait que je devais rester muette. Cela dura longtemps, la cravache m’empêchait d’exprimer mon plaisir, calmait pour un instant mon excitation sexuelle, faisait obstacle à un orgasme que je sentais devenir de plus en plus pressant. J’étais en feu, tout mon corps n’était que chaleur, fusion, volutes de volupté. J’aurai voulu crier de plaisir frustré, hurler à Philippe de me libérer de ce dragon lubrique qui me dévorait le ventre mais la morsure de la cravache me l’interdisait.

Il arriva un moment, comme une rupture, un basculement, où la morsure de la cravache ne produisit plus d’effet. Je hurlais de plaisir, mon corps fut secoué par des tremblements si puissants que les liens entrèrent dans mes chairs, je hurlais encore malgré un coup de cravache qui provoqua mon orgasme, libéra d’une seule fois un flot de jouissance. Je me sentis exploser en un milliard de particules incandescentes. Des flots de mouille inondaient mes cuisses. Mes mamelles tressautaient malgré les morsures des pinces et le poids des masses qu’ils supportaient.

Je plongeais dans l’inconscience. Je me noyais dans les ondes de plaisir qui envahissaient tout mon être.

Des mains caressantes sur mes fesses me firent reprendre contact avec la réalité. J’étais toujours liée à mon pilori. Le plug fut extrait doucement de mon cul et Philippe le remplaça par sa queue. Mes sphincters me signalèrent sa présence en se contractant autour de son chibre chaud et ferme. Il commença alors de lents allers et retours, sans me toucher. J’avais juste la sensation de son dard coulissant facilement dans mon cul dilaté. Jamais sodomie ne me fut plus douce et imperceptiblement mon plaisir que je croyais éteint refit quelques étincelles. Un gémissement de volupté échappa à ma vigilance et je craignis aussitôt la morsure de la cravache. Mais aucune brulure ne me barra les fesses. Au contraire, il me sembla que la cadence des coups de queue de Philippe augmenta. Je laissai libre cours à l’expression de mon plaisir, je m’abandonnais à un second orgasme. Philippe me défonçait comme une brute avec des han de bucheron. Il arracha brutalement les deux boules de geishas qui remplissaient encore mon con. Je hurlais de cette sensation de vide dans mon ventre et jouis à nouveau pendant qu’il me remplissait le cul de sa semence.

Ce récit est parfaitement authentique et a été écrit à la demande et sous le contrôle de Philippe qui souhaite vous faire connaitre ma condition de femme soumise.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Magnifique
Posté le 31/03/2022

Henic
J'ai déjà lu cette histoire. Elle me fait toujours autant d'effet : bien écrite et très excitante, c'est un plaisir !
Posté le 18/07/2021

VA
Excellente histoire. Bien racontee. Et l'homme est un maitre - c'est par un von enculage qu'on soumet une femme.
Posté le 10/12/2018

Rémy
très belle histoire
Posté le 7/06/2018

Lpy
????????????jaimerai vous avoir en pv
Posté le 5/05/2018

narie
jai adorer ma chatte si mouille coule doucement entre mes fesses mmmmmon plaisir de laisser mon mec samuser non il me montre pas ainsi mais en cam ...et le livreur mmm son reve de me voir ainsi bien etre prise a largeurmmmmmm je me doigte de plaisir bien hate de lui lire votre jouissance
Posté le 10/06/2017

DEBORAH SOUMISE
Excellent !!
Posté le 22/12/2016

Niny
Wahou...!
Posté le 20/10/2016

Didier dit le candauliste déçu
Super beau texte conté par une femme soumise en devenir . Merci pour excitation que vous m'avez offert. Didier
Posté le 1/10/2016

Jeanne
Magnifique...
Posté le 26/09/2016

Crabou
Madame, maintenant que vous avez découvert le SM, je vous souhaite encore bien du plaisir via les très nombreuses possibilités qu'il offre à ceux un peu curieux de jouissances alternatives. Et c'est un soumis de longue date qui vous l'écrit.
Posté le 23/09/2016


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