Bruno a rêvé de son assistante toute la semaine. Il a discuté avec la meilleure amie d'Inès, il a obtenu l'objet de son désir. Lui et son assistante se préparent pour le week end...
Proposée le 10/05/2024 par Vincent20100
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Inès sourit. Elle a passé un très bon moment. Cindy a eu raison de l'inciter à se laisser aller avec Bruno. L’assistante se mord les lèvres comme pour cacher à son patron qu'elle a apprécié de se faire prendre sur le bureau.
-Je vois que vous souriez Inès. Ne vous cachez pas. Moi aussi j'ai adoré... Vous faites quoi de beau ce weekend ?
-Ben je sais pas trop. Dit-elle un peu embêtée.
A la base, elle devait passer le weekend avec son copain mais il lui a tout annulé à la dernière minute. L'assistante aimerait bien dire à son patron qu'elle est disponible et qu'elle aimerait beaucoup passer le weekend avec lui à la place. Mais elle n'ose pas.
-Ok, si vous n'avez rien d'important, je passe vous chercher et vous passez le weekend chez moi. Il y a des choses que je dois apprendre à ma nouvelle élève zélée.
-Zélée ?
-Oui, vous prenez de bonnes initiatives. Et j'espère que vous en prendrez d'autres. C'est une bonne habitude. En parlant d'habitude, vous allez en prendre une nouvelle à partir de lundi.
-Une nouvelle habitude ?
-Oui. A partir de lundi, tous les matins en arrivant, vous mettez vos cheveux en queue de cheval comme aujourd'hui, vous viendrez à mon bureau... Ou plutôt SOUS mon bureau.
Inès, qui écoutait attentivement son patron soulève les deux sourcils pour marquer son étonnement, sa bouche reste à moitié ouverte. Elle voudrait dire quelque chose pour protester, mais elle ne sait pas trop quoi dire. D'un côté elle a signé son contrat d'apprentissage du sexe et de l'autre elle trouve son patron de plus en plus entreprenant. Faut-il qu'elle mette des limites tout de suite avant que ça ne dérape ?
-euh, sous le bureau ?
-oui Inès. On a un contrat non ?
-oui, oui. Mais je m'attendais pas à...
-a quoi vous vous attendiez ? Vu votre caractère il faut que je m'assure de votre docilité. Donc tous les matins, cheveux en queue de cheval, vous vous agenouillez sous mon bureau et vous me taillez une pipe. Pour le reste, si vous trouvez que ça va trop loin, vous pouvez toujours me dire stop et on ne fera pas ce qui vous dégoûte. C'est aussi dans le contrat. On est ok ?
-Mais pourquoi ma docilité ? Le premier jour j’étais fâchée c’est tout.
-Oui, le premier jour, mais toute la semaine vous m’avez cherché… Bon on est ok ?
-Ok…
-Ok qui ?
-Euh...
-Ok qui ??
-Ok patron !
-Parfait.
Bruno s'approche d'Inès, sourit, lui caresse la joue. Il lui explique comment va se passer le weekend… L'assistante est à la fois excitée et craintive. Elle ne sait pas ce qui l'attend, mais elle va certainement encore y prendre du plaisir. Elle s’apprête à ouvrir la bouche pour répondre, mais Bruno en profite pour insérer son pouce entre les lèvres de son assistante. Il lui caresse la langue du bout du pouce comme s’il y avait mis son dard. Son élève se laisse faire, comprenant qu’elle doit attendre qu’il finisse de décrire le scénario du weekend.
Inès se soumet, se laisse pénétrer la bouche par le pouce ferme de son patron qui la regarde droit dans les yeux. Son regard porté vers le haut, vers les pupilles de son professeur, elle observe impatiente de voir ce qui va se passer ensuite.
Sans doute demain et après-demain, c’est son pieu qui y prendra place. Et, docile, elle le laissera faire. Inès entend encore la voix de Cindy dans sa tête "Quelle salope tu fais ma chérie". Merde pense alors Inès. Cindy et mon patron vont faire de moi une vraie salope. Je voulais juste faire un peu l'allumeuse. Là, je commence à ressembler à une nymphomane. Et je suis presque certaine que mon patron veut me transformer en cochonne avide d'assouvir ses fantasmes sexuels. Bon au pire je peux dire stop.
A la pause méridienne, Inès annonce qu’elle va sortir quelques minutes pour appeler sa mère. Bruno s’étonne un peu. Mais après tout, pourquoi pas. Ce qui surprend Bruno, c’est qu’avant de sortir, Inès a fermé la porte du bureau de son patron.
Une bonne demie heure plus tard, l’assistante revient à son bureau et reprend son travail comme si de rien n’était.
Bruno a à peine le temps de voir qu’Inès s’est remise au travail qu’un appel arrive.
-Allo ?
-Allo, allo, allo !
-Oui ?
-C’est le patron d’Inès ?
-C’est sa coach ?
-Alors alors coquinou ? Comment ça se passe ?
-Comment ça ?
-Oh allez ! Vous allez pas vous la jouer ? Vous savez ? Vous avez joué du trombone à coulisse ? Joué du marteau-piqueur ?
-…
-Elle m’a raconté. Enfin pas tout, j’ai dû lui tirer les vers du nez. Mais je suis contente que vous lui ayez défrisé le buisson. Elle l’a mérité son p’tit coup.
-Elle a tout raconté ?
-Non pas tout. Mais je sais quand même que vous lui avez fourré la tarte dans le four et que demain elle passe le weekend chez vous. Je voulais juste vous dire qu’il faut bien s’en occuper.
Bruno comprend que son assistante a en fait appelé Cindy. La besta de l’assistante confirme qu’Inès a passé un bon moment et qu’elle est impatiente de venir chez son patron ce weekend.
Cindy appelle donc pour enquêter. Pour savoir ce que le professeur mijote, jauger si les activités programmées sont acceptables et adaptées à sa copine.
-Faut pas aller trop vite avec ma copine monsieur Bruno. Ok ? Je pense qu’elle plein de choses à découvrir et que c’est bien que ce soit vous qui la dévergondiez, mais faut pas se presser.
-Vous inquiétez pas, j’y vais petit à petit.
-Ok pour lui exploser le terrier, mais à son rythme. Je vous surveille monsieur Bruno. Vous m’avez l’air d’un sacré coquin.
-Vous êtes directe ou vous faites de la provoc ?
-Non je suis comme ça, assez directe. Je sais ça surprend.
La discussion se poursuit. Cindy pose des questions, plutôt précises. Bruno tente de répondre sans trop rentrer dans les détails, de peur que tout ne soit révélé avec Inès. Il semble que l’amie est assez excitée par ce que lui raconte le professeur. Sa voix, son intonation et sa curiosité la trahissent. Au point que Bruno se demande si Cindy ne voudrait pas secrètement tâter du patron d’Inès.
Mais il se sort l’idée de la tête. Il ne doit pas être le genre de Cindy. Il ne sait même pas à quoi elle ressemble, ni quels sont ses gouts.
Cindy fait quelques suggestions, donne quelques idées. Elle assure à Bruno que s’il donne du plaisir à Inès, lui aussi sera comblé.
-Vous m’avez l’air de beaucoup vous intéresser au plaisir de votre copine.
-Non monsieur Bruno, ce n’est pas ça… Bon pensez ce que vous voulez, mais voilà je veux qu’elle s’éclate et qu’elle oublie l’autre abruti. Je compte sur vous.
Après avoir raccroché, Bruno réfléchit à la suite. Il est certain qu’il va passer un bon weekend et que son assistante, bien qu’agitée, est impatiente également. Elle va être docile, et s’il se débrouille bien, il en fera sa salope personnelle de sa petite assistante.
Quand à cette Cindy, il ne sait pas quoi penser. Pour sûr, elle est déjà une salope avérée. Et elle veut que sa copine soit un peu plus comme elle, ou du moins, pas trop chaste. Comme c’est sa meilleure copine, elle ne veut pas paraître trop différente et pouvoir partager sans gêne leurs expériences intimes.
Il se met à rêver. Est-ce que cette Cindy a un aussi beau fessier qu’Inès ? Comment sont ses seins ? Sa bouche ?
Si Cindy cherche à dévergonder Inès par l’intermédiaire de Bruno, a-t-elle essayé directement ? Se sont-elles câlinées ? Embrassées ? Touchées, caressées, léchées ?
Bruno ouvre la porte de son bureau, croise le regard d’Inès. Elle lui sourit, il lui rend un sourire. Inès glousse en pensant à ce matin et ce qui arrivera ce weekend. Bruno, lui, s’imagine son assistante et sa copine en plein 69 lesbien.
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La journée se poursuit sans rien de particulier. Avant de quitter le bureau, Inès, habillée et réajustée comme s’il ne s’était rien passé le matin, donne son adresse à Bruno et ils se mettent d'accord sur l'heure à laquelle il viendra la chercher.
-On est ok Inès ?
-Euh, oui, oui… Donc chez moi à 10h00.
-Oui qui ?
-Oui patron.
-Enfin ! Vous oubliez ?
-Non ! Enfin, un peu… Pas tout ! Oh mais vous m’avez déstabilisée aussi ! Vous m’avez mis votre doigt dans le bec tout à l’heure-là !
Bruno s’approche. Il attrape Inès pas le bras, lui fait faire demi-tour, et lui met une claque sur chacune des fesses.
-On se rebelle ? On était d’accord pourtant !
-Pardon…
-Vous voulez vous faire pardonner ?
-Oui, répond Inès tête basse.
-Très bien.
Bruno déboutonne son pantalon et le fait tomber. Il attrape Inès par la nuque et la guide pour qu’elle l’accompagne. Il s’assoit dans le fauteuil d’Inès et la fait s’agenouiller. Puis, il appuie sur la nuque de son élève qui a compris comment elle va se faire pardonner.
Elle préfère ça à une vraie fessée. Les petites claques ne lui font pas mal, mais elle se demande si Bruno ne finira pas par lui en administrée de vraies comme dans les films pornos que Cindy lui a montrés. Son corps réagit. Elle ressent un picotement le long de sa colonne vertébrale, ses oreilles chauffent autant que ses joues.
Elle a un petit coup de stress. Ah non… Ah non, Inès ne veut pas de fessée. Alors la belle assistante s’exécute sans broncher, elle prend tout de suite en bouche le pieu de son patron et commence à l’astiquer en y mettant de l’ardeur, de l’attention, du dévouement. Ce que Bruno semble apprécier. Il se relâche. S’appuie en arrière contre le dossier du fauteuil, les bras sur les accoudoirs. Il jette un œil sur son lève qui s’occupe de lui. La voir se démener l’excite encore plus. D’autant qu’il s’est imaginé tout à l’heure qu’elle léchait la chatte de sa copine Cindy.
Après quelques minutes de « travail », de « soins », Bruno sent qu’il va exploser.
-Je vais venir Inès… Prépares toi.
Inès s’arrête d’un coup. Elle comprend qu’il veut jouir dans sa bouche. Après tout il lui a dit qu’elle devrait apprendre. Mais pas aujourd’hui pense-t-elle. Au plus tôt demain ou après, même lundi… Elle cherche comment échapper à cette leçon. Pas sur son visage, elle a déjà eu aujourd’hui. Peut-être sur les seins comme elle a vu dans les films. Ou alors il pourrait lui ramoner un peu la chatte. Même si elle ne prendra beaucoup de plaisir car il risque de venir vite, c’est préférable à avaler.
Bruno la regarde se redresser et enlever son chemisier.
-Qu’est-ce que tu fais ?
-Euh… C’est pour que vous… ben… Vous ayez du plaisir sur mes seins… Parce que la bouche là je suis pas vraiment d’accord… Enfin… Pas aujourd’hui.
Bruno se redresse, il prend le menton d’Inès entre son pouce et son index, la regarde droit dans les yeux.
-Il faudra apprendre Inès…
L’assistante hoche la tête pour approuver tout en disant :
-Oui ok j’apprendrais, mais pas aujourd’hui… Je tiens mes promesses.
-Ok Inès, pas aujourd’hui… Bon, du coup : à poil et retourne toi. Ce sera levrette.
Soulagée de ne pas avoir à gober la semence aujourd’hui, Inès se dépêche de se déshabiller. Elle mouille déjà. Le comportement sur et ferme de son patron l’excite. Et puis, elle a repensé au plaisir qu’elle a pris ce matin. Quand il l’a fait s’agenouiller pour le sucer quelques instants auparavant, elle s’imaginait que c’était des préliminaires comme le matin. Mais elle n’avait pas bien saisit que c’est une punition et que donc elle n’est pas là pour prendre de plaisir dans ce cadre. Par contre elle doit en donner à son patron.
A peine nue, elle se met dos à son patron, se penche en avant sur son bureau. Bruno pose son sexe tendu, couvert de la bave de sa secrétaire qui coule maintenant entre les fesses de sa soumise. Il se penche sur elle, son souffle chaud couvre la nuque de sa femelle à qui il caresse les seins. Puis, une main descend et tâte l’entrejambe.
-Mais tu mouilles déjà ! Ah c’est parfait. Mais c’est une punition petite garce, c’est moi qui prend mon pied, pas toi. Si tu es sage ce weekend, je te ferais couiner comme ta copine voudrait que tu couines.
Inès, tourne la tête, comme pour poser une question sur Cindy et cette histoire de couiner. Comment le sait-il ? Comment Bruno sait pour Cindy et son esprit déluré ?
Pas le temps de parler que déjà Bruno enfonce sa colonne de chair humidifiée dans son fourreau chaud et humide. Inès ressent une décharge électrique et se laisse tomber sur le bureau pendant que son patron la ramone. Il martèle pour jouir au plus vite. Rien à voir avec ce matin où il prenait son temps. Inès espère quand même en tirer un peu de plaisir. Mais Bruno ne ralentit pas le rythme, au contraire il pistonne comme un fou. Il commence à claquer les fesses de sa secrétaire.
Ses deux mains s’abattent chacune sur le cul de la petite brune. Les jambes de l’apprentie du sexe tremblent. Les claques s’arrêtent, le pieu chaud et dur de Bruno sort de sa gaine brûlante. Il pousse un grognement de plaisir. Inès sent alors un liquide chaud et visqueux tomber sur son dos.
L’assistante soumise qui commençait à prendre du plaisir est frustrée. Elle n’aura pas de plaisir… Elle aurait dû l’écouter tout à l’heure… Et ce sperme dans son dos ? Comment va-t-elle le nettoyer ? Elle se retourne et le demande à Bruno.
-ça, ma petite garce, c’est pas mon problème… ça fait partie de la punition. Ha ! Ha ! Ha !
Inès a un sourire simulé. Elle ne sait pas trop si elle a mérité ou pas. Elle arrive tant bien que mal à se nettoyer le dos dans les toilettes du local. Puis, Bruno, beau joueur, la raccompagne chez elle en voiture.
Sur la route, l’assistante se demande encore comment Bruno est au courant pour Cindy ? Elle pense également au fait qu’elle est frustrée et que peut-être avant de dormir elle devrait se donner du plaisir avec le gode rose qu’elle s’est offerte pour toutes fois où son petit ami qui bande mou ne lui a pas apporté de satisfaction.
-On est arrivés. Annonce Bruno.
Inès regarde par la fenêtre de la voiture. Il fait assez sombre, mais c’est bien là. Bruno lui caresse la joue et l’approche d’elle pour l’embrasser.
Après avoir profité longuement de cette délicate attention, Inès fait des reproches à son patron. Comme quoi, ce n’était pas gentil de lui souiller le dos comme ça sans prévenir et que c’était pas facile de se laver au boulot, elle a galéré. Et puis en plus, elle n’a pas pris de plaisir.
-Inès… C’était une punition, non ?
-C’est pas juste…
-La vie n’est pas juste Inès.
A peine a-t-il prononcé ces mots, qu’il caresse son élève. Cuisses, ventre, seins… Tout en l’embrassant.
-Ben vous avez pas eu votre compte aujourd’hui ou quoi ?
-Tais-toi… Je vais m’occuper de toi, sinon tu vas m’en vouloir et tu vas me prendre la tête demain encore…
Inès sourit. Un sourire de victoire, et de satisfaction.
-Mais on est d’accord pour le reste hein ? Dit-il en commençant à caresser la vulve de sa compagne de jeu.
-On est d’accord ?
-Demain on fait le scénario que je t’ai dit.
-Ok patron…
-Tu n’as rien écouté…
-Pardon…
Bruno l’embrasse à nouveau, introduit un doigt, puis deux. Il la caresse à l’intérieur, changeant d’orientation pour accéder à toutes les parois. Il ouvre le chemisier de sa proie et lui suce les seins tout en continuant à la doigter avec tact et ténacité. Inès soupire de plus en plus.
-Tu aimes ?
Inès hoche la tête et regarde Bruno de ses yeux pétillants. Son regard parle pour elle. Elle le veut en elle. Bruno qui la regarde a compris. Mais pour que la victoire change de camp, il fait mine de ne pas comprendre.
-Oui ? Demande Bruno. Inès rit.
-Comment oui ? Tu as bien compris. Dit-elle en riant.
-Non… Tu veux quoi ?
-Tu sais… Dit-elle en baissant les yeux.
-Tu veux… ? Dis-le. Insiste Bruno. Inès soupire, elle veut du plaisir et son amant s’est arrêté pour l’obliger à lui dire ce qu’elle veut.
-Ben que tu me fasses l’amour allez !
-Dis-moi que tu veux ma bite.
-Oui je la veux…
-Tu veux quoi ?
-Ben ta…
Bruno déboutonne son pantalon descend son caleçon. Il prend la main d’Inès et la pose sur son dard.
-Tu vois que tu sais ce que je veux.
Bruno se place entre les cuisses de sa maîtresse, colle son sexe contre les grandes lèvres humides et s’arrête aussitôt.
-Alors tu la veux ?
-Allez vas-y.
-Dis-moi que tu veux ma bite.
Bruno semble déterminé… Inès a compris, c’est comme ce matin.
-Je veux ta… bite…
-J’ai pas entendu
-Je veux ta bite ! Vas-y mets la s’il te plait.
A ces mots Bruno s’exécute. Il s’introduit en elle et commence à la pistonner avec ardeur. Un soupir de satisfaction exprime le soulagement d’Inès.
Contrairement à tout à l’heure, Bruno prend son temps pour besogner son élève. Il ralentit, accélère, s’arrête pour l’embrasser et lui sucer les seins. A un moment, il sort du fourreau d’amour d’Inès, cela ne dure que quelques secondes, mais elle le supplie : « encore… Encore… »
Bruno sourit, triomphant et se réintroduit. Ils finissent par jouir tous les deux dans la voiture.
Ils se rhabillent, Bruno raccompagne Inès au portail de la maison de sa mère. Ils s’embrassent.
-A demain professeur
-A demain petite garce. Je sens que je vais me régaler.
Inès sourit et ouvre le portail. Son patron lui met une petite claque sur le cul. Elle sursaute en riant joyeusement.
Les deux attendent le lendemain avec impatience.
Bruno remonte dans sa voiture. Deux textos arrivent.
Le premier d’Inès qui affirme qu’elle a passé une très bonne journée et a hâte de poursuivre demain. L’autre de Cindy qui demande à Bruno de la rappeler en fin de weekend pour un « débriefing »…
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