C'est l'été, ce soir-là, nous prenons quelques verres et jouons à ce jeu pour dévoiler nos fantasmes. Le lendemain soir, tu me préviens que tu vas arriver en retard, car tu covoitures avec une nouvelle collègue arrivée le lundi...
Proposée le 7/05/2024 par coupledu85
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Fantasme 3
Il fait chaud ces derniers jours en ce mois de juillet, j'ai passé la plupart du temps à me vider la tête, à lire, à écrire, à bronzer nu la maison et à la plage. Ce soir-là, nous prenons quelques verres et jouons à ce jeu pour dévoiler nos fantasmes. J'ai la sensation que tu veux en savoir plus ou plutôt m'entendre dire les désirs hautement érotiques. Nous abordons sans détour les fantasmes de nos Black List. Nous profitons de la soirée et faisons l'amour à plusieurs reprises, nos paroles nous ont grandement excités.
Le lendemain soir, tu me préviens que tu vas arriver en retard, car tu covoitures avec une nouvelle collègue arrivée le lundi. Enfin un partage des frais, des trajets moins monotones. J'en profites pour te dire que je t'aime, que je suis encore sous le charme de notre soirée de sexe. J’ai passé une partie de la journée à te chauffer, entre écritures crues, selfies et images suggestives et explicites. Avant ton départ du travail, je t’informe que je t'attendrai pour boire un verre en terrasse.
Je t’attends donc comme prévu sur la terrasse, gâteaux, saucisson, légumes d’été et rosé pour se rafraichir.
Je suis impatient de pourvoir profiter de la soirée en amoureux.
Assis sur le canapé au soleil, je t’entends ouvrir et refermer la porte d’entrée, mais tu n’es pas seule. Tu es revenue avec ta collègue. Je me lève pour vous accueillir, un peu frustré de ne pas pouvoir te sauter dessus.
Je suis déçu, mais je me dis simplement que nous aurons toute la soirée pour faire nos galipettes.
Je ramène donc un autre verre pour ta collègue Julie. 1m70 à peu près, la quarantaine comme nous, jolie nénette, comme tu me l’avais dit. La conversation est orientée sur le boulot, nous, elle, son parcours.
Nous sirotons deux ou trois verres, mais quelque chose ne tourne pas rond. Je sais qu’elle est nouvelle, mais j’ai l’impression qu’elle ne connait pas le métier ou le domaine dans lequel elle travaille. La conversation se poursuit et sans que je ne rende compte de quoi que ce soit, elle aborde le jeu auquel nous avons joué la veille. Un peu gêné, je n’ose pas livrer mes pensées. Tu prends les devants sans aucune retenue, et nous continuons à nous exprimer. L’alcool libère nos paroles, chacun dévoile ses fantasmes.
Pourtant, j’en garde un... Je n’ose pas...
Je suis assis à tes côtés, ta main est posée sur ma cuisse, et Julie nous fait face, elle nous sourit, elle reprend son verre en main. Je n’ose toujours pas... Et je sens que ce qui pourrait se passer dans quelques instants pourrait me dépasser. Julie décroise ses jambes longues juste recouvertes par une robe courte. Je pense avoir aperçu une culotte blanche, peut être un tanga bien aéré... Elle s’en est aperçue et me fixe du regard avant de chercher le tien. Son petit jeu reprend. Je ne sais pas si je rêve ou pas. La situation m’échappe, je suis en fait un peu figé, presque pétrifié.
Elle insiste pour me faire parler. Je n’y arrive pas.
Elle laisse glisser une bretelle de sa robe jusqu’au-dessus d’un téton et tout en te regardant, elle annonce qu’elle est au courant de ce fantasme inavouable devant une inconnue :
- Je sais que tu aimerais faire l’amour avec deux femmes.
Elle se pince les lèvres et effleure le sein qu’elle a presque libéré avec un doigt , je reste bouche bée. Elle termine son verre, alors que tu m’embrasses sur la joue. Je me tourne vers toi et tu saisis mes lèvres avec un sourire qui en dit long. Tu me demandes de dire ce fantasme :
- Tu peux le dire, elle est courant comme tu peux le voir.
Je m’exécute :
- Un de mes fantasmes est de faire l’amour avec deux femmes
Tu insistes :
- Demande-lui mon amour.
Les battement de mon cœur accélèrent :
- On pourrait peut-être en profiter tous les trois, j’en ai très envie.
Tes mains parcourent mon visage et mon dos. Je ne pense plus à rien ou plutôt à tout. Je ne vois rien venir et pourtant ta collègue s’est levée et attrape ma tête pour déposer une bise sur ma joue. Je sens toujours tes mains se balader, donnant le feu vert à la réalisation de ce rêve.
Etrangement, je n’ai pas encore d’érection, malgré la situation. Je suis surpris par la tourne des événements. Tes mains dirigent les miennes verres le buste encore vêtue de Julie. Tu fais glisser sa deuxième bretelle, faisant tomber le haut de sa robe sur ses hanches. Une poitrine plus grosse que la tienne se dévoile à mon regard, sans doute du 95C, je suis aux anges. Aucun soutien-gorge, je ne l’avais même pas vu. Je sens ta main droite sur ma nuque pour que mes lèvres se collent sur les seins de notre invitée. Je dévore alors cette offrande. Mes mains rejoignent ma bouche pour tâter cette poitrine imposante, je les resserre. Sa peau est aussi douce que la tienne, les épaules un peu moins carrées, sans doute du 38 ou 40 pour la taille, c’est une jolie femme. Je pense pouvoir avoir le contrôle, mais tu orientes ma main gauche vers toi pour que je descende à ton tour les bretelles qui cachent tes nénés. Là encore je n’avais pas fait attention que tu avais retiré ton haut ETAM. Les aviez-vous ôtés juste en passant la porte de la maison ?! sans doute que oui.
Plus aucun doute, la soirée va être chaude. Je n’ai pas le temps de réfléchir, vous me déplacez pour que je me mette à genou devant vous. Je contemple les deux créatures, torses nus. Je me rapproche, une main sur chaque poitrine. Elles sont peut-être différentes, mais je suis en extase sur les deux. Vous semblez également prendre du plaisir et je me laisse retirer mon tee-shirt, en fait, non, vous me l’arrachez. Je me laisse guidé par mes envies, et mes mains baladeuses cheminent sur vos cuisses, je veux voir et toucher ce qui ressemble à présent à deux jupes courtes. Je soulève alors les deux tissus et je peux observer deux culottes blanches. Mes mains se faufilent sur les bords des dentelles et je constate que Julie est intégralement épilée et toi, tu arbores une petite toison soigneusement taillée. Je ne peux plus me retenir, mes doigts s’immiscent jusqu’aux portes du bonheur. J’y fais entrer 2 doigts facilement. Julie sursaute lorsque j’effleure son clitoris. Je suis sous votre emprise, contrairement à ce que je pourrais penser, vous me dominez, et j’en suis exactement là où vous vouliez que je sois. Une bosse s’est très largement imposée dans mon short, et je ne sais comment une main s’est aventurée pour me déboutonner et commencer à caresser mon bas ventre.
Je rentre et ressors mes doigts humides de vos petites chattes, je devine des souffles, tu me dis :
- Ne t’arrête pas !
Julie surenchérit :
- J’en veux encore !
Une seconde main pénètre dans mon boxer et mon short tombe sans mon aide. Un pouce agile tournoie autour de mon gland et humidifie ma queue bien raidie. Je me redresse tout en poursuivant mes massages vaginales et clitoridiens. Je retourne m’enfoncer dans vos poitrines qui sont si proches, je sens que vous mutualisez vos gestes pour m’ôter définitivement le dernier bout de vêtement que je porte.
Tu m’embrasses fougueusement et me glisse à l’oreille :
- Laisse-toi faire.
Après m’avoir forcé à m’allonger sur le dos sur les matelas sur lesquels j’avais bronzé nu dans l’après-midi, tu m’ordonnes de laisser mes mains sur les côtés. J’obtempère. Je vous regarde vous approcher de moi, je n’en perds pas une miette, les seins à l’air, la jupe qui se plisse et une femme qui s’assoit sur mon visage, l’autre sur mes jambes. Mes mains ne bougent pas, dans l’action je n’ai pas fait attention aux positions et je ne sais pas à qui appartient le sexe encore masqué par le slip blanc. Qu’importe, il se rapproche de plus en plus, une main féminine s’insert dedans et commence à masturber à l’abri de mon regard le fente humide. Au moment d’entrer en contact avec mes lèvres, des doigts écartent le fond de la culotte pour me laisser admirer le spectacle auquel je peux participer en y assenant des coups de langue. A présent je sais qui a pris l’initiative de venir exhiber sa vulve. Le goût m’est inconnu et mon nez ne rencontre aucun poil pubien, et c’est un tanga blanc. Alors que je me concentre sur cette vue et cette mouille qui inonde ma bouche, je sens des mains expertes et une bouche affamée qui malaxent et avalent sans modération mon sexe qui a considérablement grossit. Tout en restant captivé par la scène de notre trio inattendu, je sens un fessier familier se rapprocher de mon visage. Je peux à présent alterner mes coups de langue sur les deux sexes féminins. Vous en profitez pour échanger vos positions et des lèvres nouvelles engloutissent ma tige. Le jeu érotique se poursuit, et Julie libère mes mains pour que je puisse m’activer sur vos corps. Les phalanges de ma main droite triturent ton sexe alors que celles de ma main gauche caressent le pubis de notre hôte. Je tente d’immiscer un doigt dans son vagin, mais elle me rétorque :
- Non, continue avec mon clito, j’ai plus de sensation.
Je m’affaire à vous contenter, et en même temps j’expérimente une position qui rappelle celle du 69 pour mes sensations, mais à trois, tout en ayant deux sexes sur lesquels m’amuser et donner du plaisir.
Je suis si bien sous cette jupe à dévorer et à dorloter vos sexes, je n’ai même pas senti qu’entre temps, un caoutchouc avait été enfilé sur ma verge.
A ma grande surprise, et pour la première fois de ma vie, je t’entends inviter notre convive à venir me chevaucher :
- Tu peux lui grimper dessus, vas-y doucement pour ne pas le faire jouir trop vite.
Julie cesse de me sucer se redresse pour mieux se positionner face à nous, redresse mon sexe et l’introduit facilement pour le faire disparaitre. Elle reste plantée dessus, tu te redresses légèrement et je te vois timidement approcher tes mains sur ses seins. Elle, moins pudique, moins freinée, les saisie aussi.
- Ils sont magnifiques, dit-elle.
Tu lui rétorques :
- Ils sont énormes.
Tu passes une jambe par-dessus ma tête et vient m’embrasser. Tu es assise à mes côtés, Julie n’a pas encore bougé, elle reste figée au-dessus de mon bassin, elle laisse apparaitre légèrement mon sexe et ta main vient l’entourer et je sens des vas et viens. Dans un premier temps ta main avec un pouce qui donne le rythme, puis je ressens notre invitée s’écraser de tout son poids sur moi avant de reprendre la cadence lente. Tu lui chuchote :
- Il adore quand ça va doucement, mais entièrement rentrée.
Tu m’embrasses à nouveau, tu tiens sa main pour imposer cette vitesse afin que je n’éjacule pas tout de suite.
Tu rajoutes, cette fois-ci à ma destination les paroles sulfureuses :
- Prends-nous en levrette mon amour.
A ces mots, je donne un petit coup d’accélérateur pour faire gémir Julie quelques instants, je m’assoie en lui tenant le dos, tout en reprenant quelques saccades. Elle démâte, puis tu montres la voie en présentant ton fessier. Elle se place juste à côté de toi.
Je prends mon sexe en main et pénètre rapidement en toi. Je me courbe pour pouvoir effleurer, pincer, caresser, malaxer vos poitrines généreuses. Je dois avouer que ma main droite en profite pour toucher encore plus ce que je ne peux pas toucher en temps ordinaire, puis je décide d’enfoncer et d’agiter mes doigts au plus profond de son intimité tout en chatouillant avec mon pouce son clitoris. Sans rien demander à l’une comme à l’autre, je change de croupe et ma main gauche s’agite sur ton sexe trempé. Je sens les doigts de Julie trifouiller son clitoris, je l’aide tout en profitant de ton corps et à penser à vous faire plaisir à toutes les deux. Tes bras m’incitent à revenir vers toi, puis c’est à son tour de me refaire basculer. Elle m’oriente vers toi, tu en profites puis à ton tour, tu me diriges vers elle.
A un moment donné, tu te mets sur le dos, je vois tes doigts s’introduire en toi, je rebascule sur toi, elle se retourne également, je peux en même temps la voir malaxer ses seins, ma main gauche les rejoint, mais là encore, vous contrôler les ébats, tu fais descendre ma main vers son entre jambes.
Mes doigts s’agitent avec fougue tout comme je te pilonne, nous échangeons, je ne sais plus à qui je donne satisfaction avec mon sexe ou avec mes mains, nous sommes en transe, c’est tellement bon. Des mains baladeuses, des cris, tous nos sens sont en éveil, je vais jouir, tout en ne sachant pas sur qui je suis, cela n’a pas d’importance, je vous entends toutes les deux :
- Vas-y, plus vite !
- Encore, fais-nous jouir !
- Continue avec tes mains, caresse-moi !
- Caresse-la !
- Plus fort !
Je lâche tout, je m’écroule sur vos corps tout excités. Je vous embrasse toutes les deux. Mes mains continuent malgré la fin de ma jouissance à s’afférer sur vos corps, sur vos zones érogènes pendant quelques minutes.
La soirée se continue, nous finissons nos verres, partageons le repas prévu pour deux, puis, après le dessert, vous me tirez vers la chambre pour reprendre une nouvelle partie de jambes en l’air.
Partie pendant laquelle, vous m’avouez que Julie n’est pas une collègue, mais une rencontre... Tu avais pris soin de choisir une femme à mon goût, avec qui on serait en confiance, tout comme j’aurais fait pour toi avec un homme. Je te rendrai la pareil, à moins que ce soit déjà fait auparavant !
Merci pour ce trio inattendu.
Ton homme
02/12/2023
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