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Le gourdin de tonton. 12

Julie est heureuse car son tonton l'a traitée comme une vraie femme. Pour aller plus loin, elle voudrait être sodomisée comme ses sœurs par ce gros défonce-cul. Mais pour ça, il faut déjà s'exercer avec des plugs de plus en plus gros. Ce qui n'était pas prévu, c'est l'addition Viagra + cockring. Aïe

Proposée le 15/03/2024 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Le gourdin de tonton. 12

Le gourdin de tonton. 12

-Oh et puis merde ! Tu prends la pilule, Julie ?

Je fais oui de la tête. Mais pourquoi me demande-t-il ça maintenant ? J’ai vite la réponse. Sa verge à peine débandée, il replonge dans mon cloaque, déclenchant de nouveau des contractions vaginales que je ne peux contrôler qui ont un effet immédiat sur sa verge qui reprend en moins d’une minute toute sa dureté et il me pine à nouveau avec une lenteur et une douceur particulièrement plaisante, nous permettant de récupérer des forces.

Suite :
Combien peut mesurer son engin ? Largement plus de vingt centimètres en tout cas et pour la circonférence, mon poignet n’arrive pas à rivaliser, le croyez-vous ? Mais si, vous vous en êtes déjà rendu compte si vous êtes un(e) de ses fans en visionnant ses vidéos comme : hors normes ou explosif, mlkjhg39. Il est sacrément bien monté mon tonton, hein !
Maintenant il se caresse doucement devant moi, s'approche et m’ordonne : "Suce-moi". J'avance la tête et lèche doucement le gland. Ma langue s'enroulant autour pour lui titiller la petite fente qui lâche une ultime goutte de jus, puis je la glisse le long de la hampe pendant que mes mains pétrissent ses couilles. Je sens sur mon corps son sperme glisser sur ma peau. Il m’ordonne :
-Prends-moi en bouche maintenant !

Il appuie sur ma nuque et sa queue glisse entre mes lèvres, j'essaie d’en prendre le plus possible en bouche mais elle est si grosse que je n’y arrive toujours pas et l’aspire tant bien que mal. Il m'impose un rythme lent, grognant de plaisir en me regardant dans les yeux.
-Tu suces comme une reine ma petite nièce, dommage que te bouche soit trop petite.
Je m’escrime comme une affamée et arrive quand même à mes fins, la bouche ankylosée.
-Je vais tout te lâcher, à toi de choisir si c’est dans ta bouche, tu sais que je ne suis pas un radin question sperme !

J’ai déjà fait ça avec Valentin mais je sais que ce ne sera pas comparable avec tonton question quantité et le lui signifie avec un léger mouvement de la tête. Il se branle en accélérant le rythme et des décharges de foutre inondent ma bouche. Je tente de reculer ma tête mais sa main sur ma nuque ne me permet que de recracher quelques centimètres. Je m’étouffe presque car les jets se succèdent les uns derrières les autres et ce n’est pas ceux de Valentin. Une seule de ses éjaculations est plus copieuse que la totalité de celles de Valentin.
-Tu as acceptée alors comme tes sœurs, avale maintenant ! lâche-t-il.

Je ne l'ai jamais fait avec Valentin car je n'aime pas particulièrement ça mais là je n'ai pas le choix et doit m’y soumettre. J’avale jusqu'à la dernière goutte sa semence salée/amer et ma foi, ce n’est pas si terrible hormis le fait que je manque m’étouffer sous la dose.
-Bien ! Maintenant nettoie-moi bien la queue maintenant et va prendre une douche.
Je m'exécute avec application puis vais me laver et commence à me rhabiller. Il m’attrape par le bras.
-Mais qu’est-ce que tu fais, Julie ? La séance n'est pas encore terminée. Je t’avais pourtant prévenue que c’est moi qui déciderai quand ça sera fini !

Il me prend dans ses bras et m'embrasse doucement, me caresse la poitrine, s'attardant sur mes seins qu'il se met à suçoter à tour de rôle, une main descend sur mon bas ventre pour rapidement glisser entre mes jambes et retrouver ma fente. Je ne veux pas être en reste, je lui saisis la queue et recommence à le branler et à mon grand étonnement, la bête recommence déjà à se réveiller, comment peut-il déjà rebander ? Mon ventre va à la rencontre de ses doigts qui entrent et sortent de ma grotte chaude et humide sans même que je le veuille. Mais soudain il m’abandonne et va s’asseoir sur le divan la bite à la verticale. Je ne peux résister à l’appel et viens chevaucher ses jambes, le suppliant de me baiser. Il sourit et me dit que j’ai carte blanche. Je saisis sa bite, place son vit à l'entrée de ma vulve, fait aller et venir sa queue le long de mes grandes lèvres, agaçant mon clitoris, reprenant la caresse de sa verge le long de ma vulve, la frappant avec sa queue avant de m’embrocher une nouvelle fois sur l’organe de tonton.
Nous avons passé les deux heures qui ont suivies à baiser, je l'ai branlé à m’en choper une tendinite, je l’ai sucé plus que de raison n’en revenant pas de son endurance, Il débandait mais arrivait toujours à retrouver suffisamment de gourdin pour me prendre à nouveau, me faisant jouir un nombre incroyable de fois avant enfin de me promettre :
-La leçon est finie pour aujourd’hui, pour la prochaine, il faudra que tu demandes à tes sœurs la manière de te préparer car je te sodomiserai et il faut aléser tout ça. Allez, rhabille-toi et va-t’en !

Je suis sur les rotules mais ivre de joie. Tonton ne m’a pas traitée en petite nièce nunuche mais en femme accomplie capable de rivaliser avec toutes ses conquêtes. J’ai salement dérouillée mais n’ai jamais abdiquée Que vont en dire mes sœurs ?

Quand je suis rentrée, mes sœurs se doutant un peu de ce qui m’est arrivée m’abreuvent d’un flot de questions :
-Il t’a baisée ? Tu as aimé ? Il t’a prise combien de fois ? T’as supporté sa grosse bite ? Et ses éjacs, phénoménales non ? Il t’a enculée ?
-Et doucement ! Je les coupe. La réponse est oui à toutes les questions, sauf pour la dernière. Il m’a suggéré de vous demander de me préparer le fion et que vous saviez comment s’y prendre. Je ne sais pas si je serai capable de ça, comment mon petit trou du cul peut-il s’adapter à son engin ? C’est pas possible !
-Mais si ! Jette Chantal. Il faut seulement s’entrainer avant, et on a tout ce qu’il faut. Elle va ouvrir un tiroir et en ramène plusieurs engins. On appelle ça des plugs, je vais te mettre le plus petit dans le cul et tu vas le garder toute la journée, puis chaque jour suivant, tu passeras à la taille supérieure pour que ton sphincter accepte de se dilater un peu plus. Au quatrième, tu seras pratiquement prête bien que le chibre de tonton n’a pas cette forme de sapin étroite en haut qui s’évase de plus en plus en descendant pour finir par une base cylindrique toute fine. Tu vas souffrir, ma vieille !

Il m’a fallu deux semaines pour réussir à supporter le plus gros plug et c’est loin d’être très agréable. Mes parents se demandant pourquoi j’avais une telle démarche en canard. Je recontacte enfin tonton et il me donne rendez-vous trois jours plus tard. Je voudrais y aller seule mais mes sœurs ne l’entendent pas de cette oreille et m’accompagnent après un lavement des boyaux. Nous rentrons chez tonton et le retrouvons au salon.
-Je m’en doutais, s’exclame-t-il, j’ai donc pris mes précautions, vous en subirez les conséquences !
?????? Qu’a-t-il prévu ?
Brigitte va chercher quatre verres et les remplit, je la vois glisser dans un d’eux une poudre et le donner à tonton puis elle lâche :
-Il faut fêter la première sodomie de Julie, ça n’arrive qu’une fois et je suis sûre qu’elle va s’en souvenir tout sa vie. Si tu le veux tonton, tu vas assister à un strip-tease de tes trois nièces.

Tonton est sur le divan avec un tee-shirt et un short qui lui arrive à mi-cuisse. Il nous regarde nous trémousser en retirant dans un ensemble parfait nos vêtements, lui dévoilant nos poitrines et enfin nos vulves épilées. Il a ses bras sur les accoudoirs du siège mais un serpent semble progresser dans la jambe droite de son short jusqu’à ce qu’apparaisse un gland épais d’une couleur plus violacée que dans mes souvenirs. Il grimace et nous demande :
-Venez me retirer mon short, les filles !
Nous nous approchons, Brigitte défait le bouton et descend la fermeture, il n’a rien en dessous. Il se soulève légèrement et Chantal et moi faisons glisser son short pour dégager sa verge. Dès que son chibre n’est plus coincé, il jaillit tel un ressort et vient taper sur son bas-ventre avec un clac sonore. Je suis stupéfiée… Son mandrin a l’air encore plus gros que d’habitude avec ses veines très proéminentes, je vois à sa base entre ses couilles et son bas-ventre un anneau en caoutchouc qui enserre son membre.
-Ce que vous voyez est un cockring, ça va me permettre de vous baiser sans pratiquement débander car son office est de bloquer le sang dans ma teub, mais comme vous pouvez vous en rendre compte, elle est de ce fait encore plus grosse et plus raide. Et je ne sais pas pourquoi, mais moi qui suis assez diesel pour bander, vos trémoussements ont suffi pour que je prenne un tel braquemard.
-Je n’aurais pas dû lui donner du Viagra chuchote Brigitte, Qu’est-ce qu’on va dérouiller, surtout toi Julie !

Je suis surexcitée, mais surtout tétanisée en voyant sa monstrueuse queue, raide comme un gourdin avec un gland gros comme une quetsche, et de la même couleur. Le fût est brun-clair et semble tout noueux tellement le cockring fait ressortir de grosses veines très apparentes qui en rendent l’aspect encore plus effrayant. Le mandrin se dresse, bien dur, bien rigide, quasiment à la verticale d’une légère broussaille de poils poivre et sel qui souligne le côté sauvage de l’organe, et je n’ai pas encore parlé des deux boules imberbes qui en ornent la base, gonflées, sensibles au toucher, et elles aussi d’une taille nettement supérieure à la normale soulignées par l’anneau qui les comprime. Tonton bande comme un malade. Sa queue est tellement dure qu’il grimace. Est-ce que ça lui fait mal ?

-Oh qu’elle est jolie ! S’exclame Brigitte, pas désarçonnée par une telle apparition. Elle se glisse entre les jambes de tonton et frotte le gland sur sa toison minimaliste puis excitant son clitoris avec ce chibre énorme, elle reprend de plus belle :
- J’adore les grosses queues ! Puis nous regardant, et vous les sœurettes ? demanda-t-elle, se fourrant la pine de Tonton dans son con humide. Oui vas-y, baise-moi, fais-moi jouir avec ta grosse bite, tonton. Fourre-moi. Ça ne t’excite-pas de défoncer une de tes nièces ? Putain ! T’es encore plus gros que d’habitude !

Mais soudain tonton la soulève par les hanches comme une poupée et la repose face à lui, regarde Chantal et moi et déclare.
-Il faut savoir partager tes jouets, Brigitte, je veux que vous fassiez chacune des tours de manège et ne pas monopoliser le pompon pour un tour gratuit. Ah aussi… Si sexuellement je dois pouvoir assurer, physiquement c’est une autre histoire, donc à vous de vous démener !

Je m’approche les jambes écartées de chaque côté des siennes. Je m’avance en me contorsionnant. Il suce mes tétons en pétrissant mes petits seins avec passion puis me soulève pour que je descende droit sur son pénis dur et luisant de la cyprine de ma sœur. J’écarte mes lèvres intimes pour faciliter la pénétration et le laisse me guider lentement. Il me pénètre et la sensation est de nouveau très intense. J’ai l’impression que mon vagin va se déchirer mais je suis déjà si mouillée que mon conduit glisse toujours de plus en plus bas. Je mordille ma lèvre inférieure pour éviter de crier, regardant en bas pour voir son monstre hyper-dilaté entrer en moi et écarter mes chairs sans aucune pitié. Je pousse sur mes pieds pour remonter un peu mais tonton me tire à nouveau vers le bas. Son gland touche le fond de mon vagin et pourtant une bonne partie de sa bite est encore à l’air libre. La douleur me rend folle mais la sensation d’être pleine et possédée par cet étalon sur le retour fait que le plaisir m’emporte. Mais je dois céder ma place car Chantal s’impatiente.

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
ce que j'aimerais réveiller la belle au bois dormant comme dans le compte
Posté le 17/04/2024

biloute25
Putain!!! Même au repos, sa bite est plus massive que la mienne.
Posté le 16/03/2024


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