La veille au soir, Bérénice n'était pas d'humeur aux câlins. Le visage fermé, ce n'était pas la Bérénice que Théo a l'habitude de connaître, la Bérénice qu'il aime. Le lendemain matin, Théo sait qu'il faut qu'il fasse quelque chose pour que Bérénice retrouve le moral. Des câlins ? De l'amour ? Sexe?
Proposée le 29/01/2024 par Mysteriotic
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Bérénice s'est retournée.
Elle est à présent de nouveau à quatre pattes.
Elle le fait d'exprès.
Elle veut que je continue de l'enculer. Mais... Maintenant... Elle a envie que ce soit en levrette.
Là, c'est comme tout à l'heure : elle me tourne le dos, et elle agite impudiquement son petit cul, là, juste sous mon nez.
Elle pose sa main sur son derrière, et elle le caresse. Sa main dessine de doux cercles sur sa peau pâle.
Bérénice me regarde, bien entendu.
Et... elle me sourit.
Ses yeux pétillent d'amour et de désir, tout en sensualité.
Bien sûr qu'elle est en train de jouer avec moi et qu'elle met mes nerfs à rude épreuve ! Je serais aveugle si je n'en avais pas conscience.
- A...tten...tion... Jeune demoiselle... Ce n'est pas bien de jouer avec moi comme ça...
D'un air faussement innocent, Bérénice secoue les épaules.
- Je ne vois pas de quoi tu parles... Ché... ri...
Voix aguicheuse... Ça veut tout dire...
- Et moi, je dis que tu sais parfaitement ce que tu fais, jolie coccinelle...
- Ah oui?
- Oui...
- Et qu'est-ce que je fais, alors... joli oiseau...?
- Toi... Tu me fais du charme... Hmmm... Petite diablesse...
Pour toute réponse, Bérénice glousse.
- Hmmm... Peut-être...
Je me rapproche d'elle. D'instinct, elle se relève un peu et change de posture. Elle se met sur ses genoux. Mon torse est contre son dos. Nous sommes sueur. Nous sommes plaisir. Nous sommes désir.
Elle cambre son dos et mes mains retrouvent le contact familier de ses seins. Bérénice remue et les pousse un peu plus dans mes mains, pour que je les fasse miens. Je les malaxe instantanément.
J'embrasse Bérénice dans le cou. Je la lèche.
Ma queue est collée à son petit cul. Elle est toute dure...
Ma verge est collée à ses fesses.
Mon érection est on-ne-peut-plus prononcée.
J'ai tellement envie de Bérénice. Encore...et encore...et encore...
Ses seins lourds remplissent mes mains. Je les empaume doucement en les prenant en-dessous, par leur galbe.
Elle s'est cambrée un peu plus tôt.
La position est géniale. Très agréable. Nous faisons une toute petite pause, histoire de reprendre un peu notre souffle... et surtout des forces.
C'est ainsi que nous nous accordons de nouveau un petit câlin.
- Je suis si bien contre toi, Bérénice...
- Et moi, je t'aime, Théo. Si fort.
Je l'embrasse dans le cou. Ma tête s'y plonge. Nous sommes à fleur de peau. À fleur de nous. C'est tellement sensuel.
- Mmmh... Ça me plaît bien, ces câlins, Théo... J'aime quand tu te fais sensuel... Continue...
Un petit coup de langue placé à un endroit où l'une de ses veines pulse... Bérénice ne peut que gémir.
- Jolie coccinelle toute perdue... Mon cœur...
- Perdue... Tellement perdue... A...mour...
- Je t'aime, Bérénice.
- Moi aussi, je t'aime, Théo.
Bérénice recherche mes lèvres. Je les lui tends. Je les lui offre. Elles sont à elle.
- Mon amour...
- Oui, pupuce ?
- Caresse-moi.
- N'est-ce pas ce que je suis en train de faire ?
- Tu sais très bien ce que je veux dire...
Ni une, ni deux, elle retire mes mains de sa poitrine. Puis, elle s'empare de l'une de mes mains et la dirige plus bas, vers son sexe humide et chaud. Et, telle une marionnettiste, elle fait s'agiter mes doigts. Nous la masturbons. C'est tellement érotique.
Bérénice est moiteur. Sueur. Mouille.
Bérénice est trempée.
Sa main s'est emparée de la mienne.
Je suis sa marionnette. Bérénice fait mes doigts s'agiter sur elle.
- Caresse-moi, Théo... J'en meurs d'envie...
- Puissent tes désirs être réalisés, jolie coccinelle...
Pour toute réponse, Bérénice gémit.
- Tu es... trempée, mon cœur... Mes doigts n'auront aucun mal à s'insinuer en toi tellement tu es perdue...
Mes doigts s'insinuent sur son intimité.
Mes lèvres, elles, se font joueuses, coquines
Elles trouvent sur leur chemin... une oreille.
Elles s'en saisissent. S'en emparent.
Son oreille est entre mes lèvres, et je la suçote. Je la suce. Goulûment. Je me fais... Je suis coquin. Je sais. J'aime ça.
Bérénice gémit bruyamment.
- Trempée, jolie coccinelle...
- Caresse-moi, joli oiseau...!
- Ce n'est pas ce que je fais ?
Je ponctue ma question en prenant davantage son lobe d'oreille et en accentuant mon mouvement de succion.
Je ponctue ma question en faisant s'agiter mes doigts et en dessinant des petits cercles, tout doux, sur son clitoris.
- Et là ? Ce ne sont pas des caresses, pupuce ?
- Mmmh... Tu vas me mener à ma perte, chéri, si tu continues comme ça...
- Comme... ça ?
Mes doigts s'agitent sur elle.
Et je glisse un doigt le long de sa fente.
- Mmmh... Oui... Comme... ça...
- Bérénice ! Ma petite femme perdue !
- Mon joli oiseau...
J'insère un doigt en elle. Ma langue lèche son lobe d'oreille.
Bérénice crie.
- Et ça... Ce ne sont pas des caresses ?
- Réponds-moi, Bérénice.
- Oui... Oui... Oui...
- Bien.
- Ché... Chéri... S'il te plaît...
- S'il te plaît, quoi, Bérénice ?
- Con... Continue, Théo... T'a... T'arrêtes pas...
- Tu l'aimes, ce doigt qui est en toi, là ?
- Pu...tain... Ché...ri! J'aime tout ! Je... Je veux me donner à toi...
- Jolie coccinelle... Petite gourmande...
- Oui... Oui! Ta jolie coccinelle ! Ta petite gourmande ! Continue... Continue !
Son dos cambré et tout contre ma poitrine, Bérénice se met à se frotter contre ma main. Elle recherche mes doigts. Mon doigt en elle, je le fais aller et venir doucement, lentement.
Je lui suce le lobe de son oreille.
Elle feule.
Elle soupire.
Elle halète.
Elle gémit.
- Jolie coccinelle perdue...
- Ou... Oui... Perdue...
- Tu aimes...jouir, Bérénice ? Tu veux ? Jouir ?
- Oh oui! Joli oiseau ! J'aime jouir ! JE VEUX JOUIR ! Fais-moi jouir !
- Bien.
Je l'embrasse dans le cou.
Ma langue repart à la recherche de ce fameux point sensible qu'elle a repéré un peu plus tôt auparavant.
Ça y est : du bout de la langue, je sens la petite veine pulser et le sang couler.
Bérénice se met à se tortiller. De plus en plus.
Elle n'arrive plus à se calmer. Elle est toute excitée.
Mon doigt la pénètre de plus en plus vite et profondément.
Elle crie. Elle fait un vacarme de tous les diables.
- Thé...o! Qu'est-ce que tu me fais... Mais qu'est-ce que tu me fais !
- Je crois que ça s'appelle te donner du plaisir... Ça te plaît ?
- Si tu savais...
- Je... crois savoir, pupuce...
- Mon joli oiseau... J'aimerais parfois que tu fasses entièrement partie de mon être... Que tu aies pleinement conscience que je ne suis plus qu'une petite chose perdue... TA petite chose perdue...
- Bérénice... Quand tu gémis... Quand tu cries... Quand je pose mes mains sur toi et que je te touche... Quand je te caresse... Tu me dis tout de ton désir... Je ne suis plus qu'à toi...
- Thé...o! Ton doigt! Ton... doigt ! Je suis complètement folle ! T'arrêtes... pas! T'en as même pas le droit, tu m'entends ? Fais-moi jouir ! Pu...tain!
- Une femme... Ma petite femme doit jouir...
- Oh oui! Oui! Oui! Oui! S'il te plaît !
- Je n'ai pas le droit de refuser un orgasme à la femme qui a su me séduire et que j'aime.
- Mon joli oiseau...
- Chut, Bérénice... Chut... Ne dis rien... Ou plutôt... si... Dis-moi... ce que tu veux.
- Je... Je ne sais pas, chéri... Je veux juste que tu me fasses perdre la raison...
- Tu mens, Bérénice...
- Joli oiseau...
- Tu sais ce que tu veux.
- Chéri... Mon chat...
- Dis-le... et je te le donnerai.
- Chéri...
- Ne fais pas la timide, Bérénice. Pas maintenant.
- Pénètre-moi.
- Et ça, c'est pas ce que je te fais déjà, pupuce ? Te faire l'amour ?
- Tu ne comprends pas...
- Alors, ose... Ose me dire tes envies. Même si elles sont... inavouables...
- Double pénètre-moi... Ton doigt dans mon vagin mais un doigt dans mon petit cul, aussi, bébé... S'il te plaît.
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