Mégane et Morgan 2

La maman regarde l'engin de son fils voyager dans le ventre de sa fille. Ses sens sont en feu, elle tremble comme une feuille, sa chatte est devenue un ru de compagne.

Proposée le 20/04/2023 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Nadège reste bouche bée, elle a du mal à imaginer que ses enfants, dans une telle situation, sans aucune retenue. Elle voit la verge raide de son fils voyager dans le ventre de sa fille qui gémit de bonheur. Les assauts violents que pratique le jeunot, font sursauter la maman qui ne perd rien du spectacle. Elle a les sens en feu, sa vulve est devenue un ru de compagne. Elle serre les dents aussi fort que ses cuisses. Son ventre se noue, elle respire mal. Elle voit Mégane s'accrocher à Morgan, en soufflant comme un dragon.

La verge vigoureuse qui fore les entrailles brulantes de la soumise, fait cabrer la maman voyeuse, qui se met à trembler. Elle presse si fort sa chatte qu'elle en grimace. Un gémissement presque inhumain la fait sursauter, Mégane vient de jouir, la coquine se cabre comme un cheval qui rue. Les yeux de la maman s'écarquillent, lorsque qu'elle voit gicler avec force sur les couilles de son fils un flot de cyprine. N'amène ne peut retenir un :

-Mon Dieu ! Qui sort de sa bouche.

Les deux amants tournent la tête, ils sursautent en voyant leur maman blême et tremblante. Morgan reste ancré dans sa sœur, il est tétanisé par la honte.

Mégane, mal à l'aise, dit avec des tremolos dans la voix :

-Maman, tu n'es pas couchée !

Nadège, sans répondre, s'avance comme un automate mal adroit vers ses enfants. Elle est très fébrile, ses mains tremblent. Elle s'arrete juste devant le canapé, en respirant fortement. Morgan retire sa verge du ventre de sa sœur, il est rouge pivoine. La maman se laisse tomber sans voix sur le canapé entre ses deux enfants. Mégane se blottit contre elle
honteuse, comme pour se faire pardonner. Elle entend le cœur de sa maman battre la chamade. Elle lève les yeux vers elle et lui dit :

-Je sais que tu trouves ça immorale maman, mais, ne nous en veux pas, c'est la nature, Morgan et moi aimons faire l'amour ensemble, il est exceptionnel pour ça, je raffole de sa queue, essaie-le tu verras, c'est un monstre de la baise !

Nadège, regarde sa fille en fronçant les sourcils et réplique :

-Quoi, tu me demandes de faire l'amour avec mon propre fils, tu n'y penses pas sérieusement Mégane !

-Je suis sérieuse maman, je sais que papa et toi, l'acte d'amour, c'est devenu de la routine, oui de la routine, tu ne cries plus comme avant !

La maman est piquée au vif, elle baisse la tête sans répondre, elle sait que sa fille a raison, et que l'amour avec son mari est très monotone. Machinalement, Mégane pose ses yeux sur la verge tendue de son frère et dit :

-Regarde maman, comme elle est grosse et bien raide !

La maman regarde l'engin en déglutissant, Mégane prend la main de sa maman et la pose sur la queue bien gonflée de Morgan. Elle a un geste de recul, mais sa fille insiste, elle repose la main maternelle sur la queue du fils, qui, abasourdi par ce qu'il se passe, ne dit pas un mot. Nadège soupire bruyamment, puis enserre le mandrin qu'elle sent battre dans sa main. Mécaniquement, elle commence à agiter l'engin plein de vie, en observant le gland violacé, qu'elle décalotte, à chaque descente de son poignet.

Mégane pose sa main sur la cuisse de sa maman et la glisse sous le peignoir, l'intruse monte jusqu'à l'aine puis s'approche dangereusement du puits d'amour. Instinctivement, la maman écarte les cuisses. Les doigts agiles de sa fille glissent plusieurs fois sur la culotte détrempée de la maman, qui se cabre légèrement en accélérant le branlage de la queue de son fils.
Mégane retire sa main, se place face à sa maman et s'agenouille, elle ouvre les pans du peignoir et avec douceur lui écarte les jambes. Elle regarde en souriant la culotte, puis pose deux doigts dessus, elle appuie doucement, le tissu s'enfonce entre les grandes lèvres vaginales en entrainant le tissu, Les doigts montent et descendent dans la fente. La chatte mouille de plus en plus, une tache se forme sur le sol. La maman est à un point de non-retour. Mégane cesse de jouer avec la vulve noyée et se redresse.

La maman déglutie, en regardant le mat de chair bien vivant, sa fille lui appuie lentement sur la tête. Nadège voit approcher de sa bouche vers le manche. Sa fille lui murmure :

-Régale-toi maman, suce-la !

Timidement, la maman ouvre la bouche et du bout de la langue titille le frein du gland avant d'en faire plusieurs fois le tour. La maman s'enhardie, elle lape les perles de rosées qui s'échappent du méat ouvert. Avec lenteur, elle gobe le gland et se met à le téter et le sucer, la maman devient audacieuse, sa langue monte sur la hampe très veinée, agace le gland pour encore s'attaquer au mat. Morgan est aux anges, jamais, il n'aurait imaginé se faire sucer par maman. La bouche qui prend plus d'assurance devient vorace. Pendant qu'elle se régale de la verge de son fils, sa fille délicatement lui retire la culotte et lui ouvre les jambes.

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