C'est l'éternel conflit du couple, le mari trop occupé par sa carrière et négligeant son épouse qui trouve son bonheur et sa vengeance sexuelle avec un voisin et sa femme. Puis, les deux femmes, en l'absence des maris, vont réaliser ensemble, d'autres adultères avec des marchands de légumes noirs
Proposée le 17/12/2022 par DALIDA
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme
Je suis Assia, 28 ans, épouse de Omar, 34 ans, depuis dix ans. J’ai décidé de vous raconter mon histoire car, depuis cinq mois seulement, ma vie a complètement changée, au psychique comme au sexuel à la suite de problèmes familiaux. Durant ces dix années, on avait bien construit notre famille. Le salaire de comptable postier de mon mari était largement suffisant et nous avions acheté une maison, pas très loin de celles de nos parents réciproques. Mon mari avait déjà une belle voiture et on vivait à l’aise. A notre mariage, j’avais convaincu mon mari que nous attendrons un ou deux ans avant d’avoir des enfants, cela nous aiderait à bien nous connaitre et profiter de notre couple. Plus tard, pendant ce temps, je continuerais à travailler comme employée dans l’Entreprise de mon oncle. On a eu ensuite deux fillettes et tout semblait bien marcher.
Mais à la neuvième année de notre mariage, la poste a proposé à mon mari, une promotion et une mutation hors de notre ville, mais j’ai refusé de partir, à cause de mon travail et surtout de mes deux filles scolarisées. Mon mari est parti, on a fermé notre maison, et je suis parti avec mes filles, habiter chez mes parents. Mon mari venait seulement le weekend, on reprenait notre maison et il repartait le samedi à l’aube. Pendant plusieurs mois, mes filles et moi, on a vécu ainsi, comme des bohémiens et j’ai menacé mon mari de divorcer. Alors, il a convaincu la poste de le reprendre à son ancien poste, provisoirement. Quelques mois plus tard, la poste a récidivé sa mutation et mes parents ont fait pression sur moi, alors j’ai accepté et on est parti dans l’autre ville, à environ 200 km plus loin.
Mon mari faisait fonction de comptable et de chef de poste et on a eu un logement, mais, en pleine année, pour mes filles ‘était difficile, alors j’ai préféré les laisser dans leur école et à la charge de mes parents. Cela ne me plaisait pas du tout et on a eu plusieurs discussions et surtout plusieurs disputes.
Je proposais, chaque weekend, à mon mari d’aller visiter nos filles et nos parents mais il refusait. Il avait décidé de travailler, même une partie du weekend, soi disant pour bien maitriser sa nouvelle mission de chef. Et il est allé encore plus loin. Nos différents sont arrivés à un point tel que souvent, il faisait la tête en décidant, de coucher tout seul, dans une autre pièce. Et ces sautes d’humeur pouvait durer parfois toute une semaine et plus. Nos relations sexuelles étaient pratiquement nulles, c’est ce qui me chagrinait encore plus. J’avais pensé que cette rage n’allait durer que quelques temps mais, au bout d’un mois de séparation sexuelle, je me suis sérieusement fâchée. Il faut vous dire que mes besoins de femme étaient très importants.
En effet, je dois avouer que j’ai un beau corps, bien rempli, bien charpenté par devant avec une poitrine importante dont les seins pointaient toujours fort mes vêtements et attiraient beaucoup l’attention des hommes. De plus, j’avais aussi un large derrière, joliment rond et remuant, à cause de ma taille fine, et qui attirait aussi tous les regards des hommes jeunes et vieux sur mon passage. C’est d’ailleurs ainsi que mon mari âgé de 30 ans, a été piégé et mes parents étaient contents de me marier à 18 ans. Se débarrasser d’une fille aussi aguichante pour les mâles a toujours été un souci pour ma mère. Heureusement que j’avais une peur bleue de mon père et surtout d’un grand frère, je n’ai pas fait de bêtises. Ensuite, après mon mariage, j’ai été une femme très fidèle, malgré que je n’aie pas obtenu tout ce que mon corps désirait sexuellement. Pour la forme et la tranquillité, je mettais le plus souvent des vêtements larges et amples et comme j’avais du caractère, mes paroles sèches et bien choisies décourageaient les plus audacieux.
Donc, quant on s’est mariés, et mon mari était déjà dans la Poste, et avant d’acheter notre maison, on avait eu un logement de fonction et aussi l’internet, gratuitement. Très vite, j’ai commencé à chercher et voir des photos d’hommes et femmes nus ainsi que des vidéos et des films porno avec mon ordinateur PC, mais aussi des chaines porno à la Télé, tout cela quant mon mari n’était pas à la maison. J’avoue que c’était une amie d’enfance, déjà mariée depuis longtemps qui m’avait poussée à cela. J’ai constaté que j’adorais cela, j’ai pensé que, peut-être, j’avais déjà des tendances sexuelles naturelles et que c’était mon corps qui demandait cela, que j’avais besoin de sexe, de beaucoup de sexe. Alors, avec mon mari, j’ai essayé de m’éclater et de me donner à fond comme une affamée. Je voyais dans les films et vidéos ces couples qui baisaient longuement et ces hommes avec des bites énormes et qui éjaculaient en abondance leur sperme et j’en avais une folle envie. Je rêvais de tout cela dans mon mariage.
Hélas, trois fois hélas, mon mari était loin de tout cela, d’abord il ne me touchait que la nuit quant on passait au lit. Ensuite, il montait sur moi par devant, jamais par derrière, il faisait juste le nécessaire, assez vite à mon goût, et éjaculait ensuite en moi, puis il se tournait de l’autre coté pour s’endormir rapidement. Et ce n’était pas toutes les nuits, comme au début, mais seulement deux à trois fois par semaine, et pourtant on était encore jeunes mariés. J’avais la nette impression que ses capacités sexuelles semblaient justes moyennes ou bien il voulait jouer au traditionnel. Et c’est ainsi que nous avons passé nos sept premières années, chez nous. Petit à petit, il a réussi à me faire accepter ses faiblesses et nous avons même eu deux fillettes. Et dans l’ensemble, on était presque normaux, et j’avais tu mes tendances, j’ai même presque arrêté de voir les vidéos et films porno dont j’étais jalouse. Même ma libido s’est affaiblie avec le temps.
Donc, quant on est parti dans l’autre ville, j’avais à peine 27 ans et à cause de nos querelles, mon mari avait pratiquement arrêté nos rapports sexuels. D’ailleurs, il rentrait souvent tard alors que j’étais déjà couchée. Et chaque fois qu’on a eu des mots soit sur cette maudite mutation qu’il a accepté soit sur autre chose, il s’isolait pendant plusieurs nuits dans l’autre pièce et me laissait affamée de sexe dans notre lit conjugal. Cependant, il m’adressait la parole et apportait tous les besoins domestiques nécessaires, et moi, de mon coté, je faisais mon travail, comme une employée de maison. Le seul manque légitime, c’est notre relation sexuelle que je regrettais malgré qu’elle ne fût pas fameuse. De plus, je me languissais de mes fillettes chez ma mère alors, j’ai exigé de me laisser partir le weekend. Et la aussi, il s’est fâché et s’est isolé chaque nuit, comme d’habitude, dans l’autre chambre.
Dix jours sont passées ainsi, j’étais énervée, malade, physiquement, moralement et sexuellement. Alors j’ai pris la décision d’agir seule, et le weekend suivant, j’ai pris seule le bus et je suis allé voir mes filles et mes parents. Ce fut un samedi soir de fête chez mes parents et j’ai passé la nuit avec mes filles, dans leur chambre. Ensuite, le dimanche, j’ai passé toute la journée avec mes filles, faisant les vitrines, achetant des effets, nous amusant au manège et prenant des glaces et des boissons fraiches et ce n’est qu’au crépuscule qu’on est rentrées à la maison. On a prit des douches et bien mangé et rapidement on s’est endormi tellement on était épuisées. Sachant que mon mari n’avait pas besoin de moi, donc le lendemain lundi, j’ai décidé de rester en ville pour me promener et acheter peut-être des choses.
Et c’est ainsi que vers 11h, dans un super marché, j’ai rencontré un des collègues de mon mari, Si Tahar que je connaissais ainsi que sa famille. Ils nous avaient invités à un thé chez eux et avec leurs enfants dès le début de notre installation, et nous les avons aussi invités chez nous juste une semaine plus tard. C’était un bel homme svelte de grande taille et peu de ventre, qui avait dépassé la quarantaine. Lui et sa femme ont eu six enfants dont deux filles, pratiquement tous scolarisés, et les plus âgés sont ici au lycée. Justement, il m’a dit qu’il était venu seul, avec sa voiture, en ville pour voir ces deux fils au lycée puis acheter quelques provisions et remonter chez lui juste après ses achats au supermarché. Et à sa demande j’ai expliqué que j’étais venu seule pour passer le weekend avec mes filles et mes parents et que cet après midi je repartirais en bus. Alors, il a insisté pour nous ramener tous les deux avec sa voiture et j’ai accepté. Comme on avait pratiquement fini nos achats, j’ai alors insisté pour l’amener chez mes parents pour les lui présenter et nous partirons ensuite et il a accepté. Et c’est ainsi qu’allait débuter ma première aventure d’infidélité sexuelle.
Chez mes parents, quant j’ai enlevé mon haik, ma mère m’a prêtée une large et longue robe d’intérieur. En effet, sous mon haik, j’étais seulement en pantalon jean trop serré sur moi et dessous, on voyait trop bien le profil de mon slip. Et mon léger tricot blanc à manches courtes et assez collant montrait, lui aussi, assez bien les rondeurs de mes seins. Ainsi, la robe prêtée par ma mère me couvrait très bien. On a bu du thé chez mes parents puis nous avons pris la route vers midi, j’avais remis mon haik. Quant j’ai rendu sa robe à ma mère, elle nous a donné, en insistant fort, deux bons casse croutes et du thé en thermos pour le voyage. Ma mère m’a conseillé de ne pas m’assoir derrière dans la voiture, comme si c’était un taxi, ce serait une injure pour notre ami, mais de m’assoir devant comme une parente, à coté de lui.
Au début, il a été un peu gêné, mais après un bon quart d’heure de route, il s’est détendu, et ses yeux me souriaient de contentement. Et quant nous sommes sortis de la ville, on a commencé à discuter. Il m’a demandé de me mettre à l’aise et que je peux m’installer derrière si j’étais gênée. J’ai répondu que j’étais bien et que je le considérais comme un bon voisin et que la tradition nous recommandait de le traiter comme un parent. Il m’a avoué que mon mari, qui était pourtant son chef, le traitait plus qu’un voisin mais comme un grand ami. Mon haik couvrait tout mon corps et j’avais chaud. Et mon voile du visage m’empêchait de bien respirer. Il s’en est rendu compte et m’a demandé de les ôter pour être à l’aise. Je ne pouvais pas car je savais que j’étais trop légèrement habillée par dessous. J’ai commencé par enlever mon voile de visage. Et quant je l’ai regardé, ses yeux étaient plus brillants et il souriait.
Déjà chez mes parents, j’avais le visage découvert et j’avais remarqué qu’il me dévorait des yeux, j’étais certaine que je lui plaisais. J’ai été sensible à son regard admiratif. Maintenant, dans la voiture, j’ai eu la confirmation que je lui plaisais, peut-être même qu’il me désirait et cela aussi m’a plus. J’ai commencé à ressentir ma chatte qui me chatouillait. Je ne pouvais pas enlever mon haik. Il m’a demandé encore une fois d’ôter mon haik car j’allais suer et la route est longue. J’ai hésité un bon moment, puis, me rappelant de mon mari qui me négligeait, j’ai enlevé mon haik pour le mettre d’abord sur mes genoux, protégeant mes cuisses. Mais mon buste était découvert et largement tentant car mes seins gonflaient le tricot de façon outrageuse. Alors, j’ai placé mon bras sur ma poitrine, mais il m’a dit qu’il avait l’habitude de ces tricots car ses grandes filles portaient les mêmes. Alors j’ai abaissé mon bras en rougissant. Il a pris, presque brutalement mon haik, sur mes cuisses et il l’a jeté sur le siège derrière.
J’étais rouge de honte et je voyais bien les rondeurs de mes cuisses serrées dans le pantalon, un profil presque nu. Et pire, mon entre cuisses, trop serré, profilait aussi nettement la fente de ma chatte sur mon mont de vénus gonflé. Je ne pouvais même pas la cacher avec ma main car mon geste serait encore plus clair sur ce que j’essayais de cacher. Lui ne se gênait pas, il admirait tout ce que mon corps lui offrait en haut et en bas. Et il fit un geste inouïe. Il mit sa main sur sa braguette et se secoua un peu pour s’ajuster convenablement sur son siège. Au début je n’avais pas compris mais quant il écarta largement ses cuisses, je vis ce qui le gênait. Une grosse bosse, formant un grand et net chapiteau qui gonflait sa braguette.
J’ai compris que sa bite bandait fort et il ne se gênait pas de me le montrer. Cela m’a donné un choc de jouissances immédiat dans mon bas ventre et, automatiquement, j’ai serré mes cuisses. J’ai d’abord tourné la tête à droite sur la vitre. Mais, lui a continué à discuter sur mon mari qui était l’homme le plus chanceux du monde d’avoir une femme comme moi. Je n’ai pas répondu, la tête toujours vers la vitre. Et il a continué en disant qu’il trouvait étrange que mon mari travaillait même les weekends et que cela avait étrangement intrigué le personnel.
Il se tut un instant, puis il ajouta d’une voix plus douce, qu’abandonner une femme comme moi avec tous ses trésors, le weekend, était un crime contre la gente féminine. Il continua en disant que lui et sa femme, au contraire, c’est la nuit du jeudi qu’ils s’éclataient jusqu’à l’aube, puis ils font la grâce matinée, le dimanche jusqu’à midi. Puis, ils recommencent le dimanche tout l’après midi et c’est seulement, le soir, après minuit qu’ils se couchent heureux d’être mari et épouse, homme et femme. Ils se donnent à fond à leur amour et désirs car leurs enfants, assez grands, sont ailleurs, aux lycées, filles et garçons. Ces paroles étaient claires et directes, adressées à moi, à ma situation avec mon mari, et m’ont ébranlées tout le corps qui a réagi immédiatement.
D’abord mes seins se sont gonflés encore plus presque à me faire mal, et leurs pointes devenaient nettement visibles à travers mon tricot. Ensuite, j’ai remarqué que mon pantalon très serré profilait nettement mes larges hanches sur les cotés ainsi que mes cuisses charnues. Mes vêtements ne cachaient pratiquement rien de mes trésors féminins. Je ne me sentais pas à l’aise, alors je me suis un peu redressée pour écarter un peu mes cuisses et la petite rondeur de mon bas ventre devenait nette. Je savais que j’étais en train d’aguicher cet homme par mes atouts et j’en avais honte, mais j’ai persisté dans mes positions. Je crois que plus de dix jours sans sexe agissaient sur moi et brisaient ma volonté.
D’autant plus que depuis que je suis monté à coté de lui, Si Tahar n’arrêtait pas de me lorgner, la poitrine et les cuisses et le bas ventre, en souriant. Il parlait de tout et de rien mais j’étais sure que ses pensées étaient sur mon corps et que sa bite, je préfère dire son zeb, devait bander comme un âne. J’en avais envie mais je ne savais pas comment y arriver. Il a été étonné que mon mari ne m’accompagne pas et j’ai avoué qu’on ne parle plus, donc on ne couche plus, depuis plus d’une semaine car on avait des problèmes depuis qu’il a été muté. Il m’a dit que lui et sa femme avaient aussi parfois des problèmes mais quant le soir, ils sont au lit, dans leur chambre ils se réconciliaient toujours en se donnant les vrais plaisirs de l’amour conjugal.
Et il a attendu ma réponse un moment. Alors, je lui avoué que la nuit aussi, mon mari dormait seul loin de notre lit ou la chambre voisine. Un instant de silence, puis il a ajouté si actuellement, la nuit, nous faisions la paix. Je l’ai regardé et je lui ai avoué que depuis presque un mois, il dormait seul dans la chambre voisine. Alors il a ajouté qu’ainsi j’étais sevré des besoins normaux d’une femme depuis plusieurs jours et il m’a regardée et j’ai dit oui en soutenant son regard. Il n’a plus rien ajouté.
Ensuite, deux minutes plus tard, il a posé sa main droite sur ma cuisse en me disant de patienter et c’est ça la vie parfois. Sa main insistait sur ma cuisse puis s’est rapprochée de mon bas ventre et s’est posée dessus. Il m’a demandé s’il y a avait quelqu’un la dessous, il voulait dire un enfant et j’ai dis non de la tête. Sa main est descendue et a atteint mon entre cuisses que j’ai écarté encore plus. Il m’a touché le sexe gonflé et affamé et j’ai fermé les yeux, le cœur battant la chamade et le souffle mon souffle haletait en continu.
Il m’a caressé la chatte a travers mon pantalon et mon slip et je me suis reculé un peu sur mon siège. Ainsi, les vêtements se sont incrustés dans ma chatte ouverte et accentuaient le profil complet et suggestif de sa fente, devant nous. Sa main couvrait ma chatte, prenait possession de ma chatte et son doigt s’est glissé dans le creux de la fente et il m’a caressé un moment puis branlé. J’étais sous le charme de ses caresses sexuelles. Ma chatte était à lui, sous la chaude couverture de sa main, et sous les francs frottements internes de son doigt.
Je désirais maintenant son zeb qui devait être maintenant, bien bandé chaud et gonflé de désir. J’en avais tellement envie que j’ai allongé mon bras et posé ma main sur sa braguette et pressé son gros contenu tant désiré. En effet, il était la, le zeb bien dur et long et je l’ai saisi et pressé de toute ma force. Si Tahar a crié un peu et s’est secoué. Puis il a déboutonné sa braguette, tout en conduisant de l’autre main et il a sorti son zeb. Celui-ci bondit comme un tigre, verticalement de la braguette, il était gonflé à bloc et très gros, nettement plus grand que celui de mon mari.
Énorme, et si attirant, si excitant, comme je l’espérais à la dimension de mes désirs. Tout mon corps vibrait et ma chatte, sous le doigt de l’homme frétillait de désir. Comme elle a de la chance, sa femme, d’avoir un tel joyau viril à sa disposition, chaque nuit. D’ailleurs j’étais sûr qu’elle baisait tout le temps avec lui, et il lui a donné six enfants par la force de sa virilité et l’abondance de son jus d’homme. J’en avais vraiment envie et je le pressais, je le secouais, je le branlais.
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Commentaires de l'histoire :
papa3000@live.fr
la suite svp c'est très excitant et je sais que la suite serais mieux merci
Posté le 5/01/2024
Deuck
Délicieuse histoire qui a eut son effet , effectivement chez nous le désire des femmes es très souvent oublier !!! Hâte de lire la suite
Posté le 31/12/2022
Anonyme
sincèrement vivement la suite merci au plus vite, très excitant merci Dalida
Posté le 20/12/2022
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