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Les aventures de Trixie - Chapitre 14 : Mon premier vieux...

Je baisai avec Franck le petit frère de mon ami, leur grand-père nous surpris en plein ébats... Je reçus une fessée ! Puis de fil en aiguille ce qui devait arriver... arriva, la vielle bite me pénétra ...

Proposée le 15/12/2022 par Trixie

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Un soir j'étais seule à la maison avec Gérald mon ami noir, nous venions de faire l'amour.

Les aventures de Trixie - Chapitre 14 : Mon premier vieux... — Je sais que tu aimes te faire baiser par des noirs avec des bites énormes, j'en suis la preuve... Mais je reviens encore sur ce que tu m'as dit l'autre jour. Tu aimes aussi te farcir des vieux ! C'est bien ce que tu as dis, quand mon oncle te baisait !
— Oui, ne je ne te mens pas !
— Racontes moi pourquoi, je crois que je vais aimer !
— Tu ne m'en voudras pas ?
— Mais non, au contraire ça m’émoustille ! Allez vas-y !

Avec un peu de réticence je lui avouai ma relation avec Paul mon vieux voisin, celle avec le vieux fermier et son fils. Je lui assurai que c'était tout, et que j'avais fait cela surtout parce que mon mari ne s'occupait plus de moi ! Ce qui n'était pas tout à fait vrai ! J'avais pris goût à leurs étreintes !

— Hé ben dis donc ! Mais comment t'es venu ce désir pour des personnes âgées ?
— Oh cela remonte à assez longtemps !
— Raconte moi, je suis curieux d'entendre ça !
— C'était comment pourrais-je dire, mon premier vieux ! Je devais avoir 20 ans... j'étais follement amoureuse d'un garçon, un peu plus âgé que moi... Daniel.
— Raconte moi... raconte moi ! Avec tous les détails, nous avons le temps !
— Ce mec était beau comme Dieu, mais je crois qu'il avait un pois chiche à la place du cerveau ! Un jour il m'aidait avec son frère, qui avait dix neuf ans, a aménager le petit studio que j'avais loué.
Nous avions presque fini lorsqu'il nous annonça, qu'il avait entraînement de foot, il nous planta au milieu des cartons !
Il faisait très chaud, j'avais passé une sorte de débardeur assez transparent, les fines bretelles se croisaient dans mon dos et le laissait nu, je ne pouvais pas mettre de soutien gorge. Il moulait parfaitement mes seins, laissant transparaître mes aréoles et mes tétons. J'avais mis un bikini qui se nouait sur mes hanches, et qui lui aussi me moulait les fesses et la chatte.
J'étais penchée sur des cartons, je sentis une présence derrière moi, c'était le jeune frère torse nu, un carton dans les bras.
—Trixie, c'est le dernier carton, me dit Franck. Je le met où ?
— Donne le moi... Je voulus le lui prendre des mains, il résista, ne voulut pas le lâcher.
— Non, non il n'est pas lourd dis moi ou je le pose...

Je lui arrachai presque le carton des mains

— Oh putain... Oooohhhhh

Une bite turgescente était hors de la braguette de son short... Raide et dure, elle s'érigeait fièrement plus haut que son nombril.

— Excuse moi... me dit-il en rougissant... elle vient juste de passer au travers de ma braguette... je, je suis désolé... Tu es tellement jolie, tu me fais bander... comme un âne.
— Mais elle est énorme ta queue... il ne faut pas être désolé... je crois que je n'en ai jamais vu une aussi longue, grosse et dure comme ça...
— Hé pourquoi tu me la tripotes... laisse moi la rentrer...
— Heu... tu as vraiment bossé dur pour moi aujourd'hui... je n'ai pas d'argent ici, mais je peux te récompenser !
— Oui, je veux bien... mais comment ?
— Peut-être comme ça !

Je quittai mon débardeur, émoustillée par la grosseur et la longueur de son membre, mes mamelons étaient déjà superbement tendus.

— Tu vois, je peux te remercier autrement, tu peux toucher mes seins!
— Putain Oui, super... ils sont magnifiques... Je peux embrasser les bouts ?
— Oh oui suce bien les tétons, oui c'est ça aspire les, mordille les, c'est bon, encore, encore...
— Tes nichons sont merveilleux, tes mamelons ressemblent à de petites tétines... je rêvais de les sucer... touche comme je bande...
— Ouii, c'est bon, c'est booon.. mais ne sois pas trop impatient... oui frotte ta bite contre ma chatte... doucement... putain qu'elle est grosse !

Il passa derrière moi, défit les lanières de mon bikini qui tomba sur le sol, j'étais nue. Sa queue énorme se faufila entre mes jambes, son gland frotta le long de ma chatte.

— Ouiiiiiii, continue de me malaxer les seins, c'est vachement bon... je commence à mouiller... tu ne le sens pas sur ta queue ?
— Je peux me branler entre tes seins Trixie ?
— Attends, je me mets à genoux... voilà mets ta bite entre mes nichons, frotte la, doucement... attends je titille le bout de ton gland avec ma langue... tu aimes ?
— Ouiiiii, ouiiiiii je crois que je vais jouir...
— Non, non retiens toi, je vais te sucer...
— Oh putain tu es une experte Trixie, les autres filles ne peuvent avaler que mon gland, tu as presque mis entièrement ma grosse queue dans ta bouche... Tu me suces depuis cinq minutes... Je...je crois que je vais éjaculer... je peux au fond de ta gorge...

Une petite quantité de liquide pré-éjaculatoire coula dans ma bouche. J'arrêtai ma fellation.

— Franck... si je te laisse me baiser tu ne le diras à personne, surtout pas à ton frère !
— Bien sûr que je ne le dirais pas ! D'abord personne ne voudrait me croire...
— Là, je me penche... vas y... enfile ta bite...ouiiii... doucement... douc..
— Ma bite est beaucoup plus grosse que celle de Daniel... tu ne trouves pas ?
— Ouiiiii, tu me fais mouiller... la encore, enfonce, attends prend ma cuisse lève ma jambe... oui pousse... putain c'est bon elle entre mieux... oui, oui, ta queue fait deux fois la taille de celles des mecs qui m'ont baisé... putain c'est bon ! Ouuuuiiii baise moi, plus vite maintenant plus fort...oh putain que j'aime ta bite, je crois que j'ai jouis deux fois.
— Prend Salope, prend la entièrement, tu la sens bien au fond... tu adores ma bite hein, elle est plus grosse et plus longue que celle de mon frangin... allez dis le Salope...
— Mon petit chéri, je crois qu'il faut conclure... ton frère risque de revenir !
— Je veux te regarder dans les yeux en éjaculant... tourne toi... regarde moi... Attend je te pénètre à nouveau... Ouuuaaaahhh, tu sens mon sperme couler, c'est bon, c'est bon... oh putain... c'est le pied de déverser mon sperme dans ta chatte.

Il se retira, un flot de sperme s'écoula de mon vagin.

— Eh dis donc, tu as vidé tes couilles combien de fois en moi ?
— Une seule fois pourquoi ?
— Bon maintenant tu vas te sauver et comme promis motus et bouche cousue...

Une fois partit, j'allai dans la salle de bain, Daniel m'avait promis que ce soir il m'emmenait au resto. J'allai prendre une douche, puis revêtir des dessous sexy comme il aimait. Puis je réfléchis, puisqu'il n'avait pas été sympa avec moi, en m'abandonnant en plein déménagement, je tenais ma revanche, je ne me laverai pas... il éjaculera sur le sperme de son frère... Par contre pour l'exciter je passai des bas, un porte-jarretelles noir, des talons aiguilles, je raffolai déjà des dessous. On sonna... ce devait être lui, j'enfilai sur mes seins nus une nuisette transparente noire. Elle était courte et ne cachait en rien ma chatte glabre. J' allai ouvrir la porte, Je l’entrebâillai, mes tétons excités pointaient encore sous la dentelle de la nuisette. Franck entra, en me bousculant presque.

— Dan... Daniel vient de me téléphoner, il m'a dit de t'avertir qu'il serait beaucoup en retard, il y a un gros apèro... Oh putain, mais tu es splendide habillée ainsi... je bande à nouveau... regarde...

Il sortit a nouveau son sexe monstrueux. Il s'approcha de moi, ouvrit ma nuisette me la quitta et la laissa choir sur le sol. Il me poussa vers la table, tout en quittant son short et sa chemise.

— Tu vois ma petite Salope, nous avons encore le temps de faire l'amour... je vais encore t'enfiler ma grosse bite jusqu'à la garde... et jouir à nouveau dans ta jolie minette.
— Ton frère est un âne bâté... mais tu as éjaculé il y a cinq minutes et tu bandes encore !
— C'est toi, tes bas, ton porte-jarretelles, ta chatte rasée qui me font cet effet... fais voir si tu mouilles! Oh putain oui, mes doigts sont trempés, écarte les jambes... putain ma bite glisse toute seule... cette fois je n'aurais pas de mal à te l'enfiler au fond...
— Oh ouiiiii, tu me baises super bien... oui, oui enfonce bien ta grosse queue...
— Tu l'aimes ma bite hein Salope... elle te fait mouiller... tu veux sentir mes couilles sur ton cul ?
— Ouiiii, ouuuiii défonce moi avec ton énorme queue... Oh putain oui, j'adore me faire écarteler la chatte par ta bite gigantesque... oui tu vas me faire jouir... ça y est je pars.... Aaaaaaaahhhhhh...
— Oh putain je vais jouir moi aussi....

Un jet de sperme gicla dans ma chatte.

— Vite, mets toi à genoux... ouvre vite la bouche... j'éjacule, j'éjacule... oh putain c'est bon... tire la langue... fais voir mon sperme... avale...avale...

Des pas sur le plancher nous firent sursauter. Un vieil homme presque obèse, le dessus du crâne dégarni, un double menton, des bajoues pendantes, des sourcils broussailleux, un nez crochu se tenait au milieu de la pièce et nous regardait d'un air sévère. Il devait avoir plus de 75 ans passé.

— M... Mai... mais grand-père c'est..
— Allez hors de ma vue... file d'ici petit vaurien !
— Mais que faites-vous ici ? M'exclamai-je assez en colère !

Je ramassai ma nuisette et l'enfilai, très courte, transparente, elle ne cacha rien de na nudité... Il fixa d'un œil lubrique ma chatte glabre exposée à ses regards, un filet de sperme s'en échappa.

— Daniel m'a dit de passer prendre Franck chez toi, j'ai frappé personne n'a répondu le porte était ouverte je suis entré... Tu ne devrais pas faire ça à Daniel, Trixie.
— André, je vais vous expliquer... Franck m'a aidé toute la journée... Je n'avais pas d'argent pour le payer... Il m'a demande de lui montrer mes seins, je n'ai pas pu faire autrement pour le récompenser... et puis c'est allé un peu trop loin, ça a dérapé !

Il passa derrière moi et me saisit les deux bras.

— Bon, petite Salope, tu vas t'habiller nous allons voir Daniel et lui expliquer !
— Non, non André, j'aime Daniel, je ne veux pas lui faire de la peine !

Je me mis à genoux devant lui pour le supplier. Il leva la main comme pour me frapper.

— Tu n'es qu'une sale petite pute, tu mériterais une correction !
— Frappez moi si vous voulez... je ferai tout ce que vous voulez, si vous ne dites rien à Daniel... il tuerait Franck...
— Tout cela me donne chaud...

Il quitta sa chemise et s'assit sur une chaise.

— C'est vrai que tu es splendide, il y a quelques années j'aurais fait comme Franck... cela ne me plaît pas, mais il faut que je te punisse, approche...

Je m'approchai en minaudant, il quitta mon déshabillé.

— Tu es splendide ainsi, tu t'es rasée la chatte, c'est très érotique. Couche toi à plat ventre sur mes genoux.

J'obéis... Il me prit le poignet gauche, sa main libre s'abattit sur mes fesses avec force...

— Allez petite Salope dis que tu ne le referas plus.

Les coups plurent assez fortement. Sous mon ventre une bosse était en train de grossir...

— Putain il tape fort le vieux mais ce n'est pas désagréable, pensais-je, ça m'excite même... je crois que je mouille... je suis une vrai salope ! Et je crois que ça le fait bander !

Puis les coups cessèrent, il me caressa les fesses doucement, il y déposa des petits baisers... sa main glissa lentement entre mes cuisses, son majeur s'insinua dans ma chatte, son index et son annuaire boudinés entrèrent à leur tour dans mon sexe trempé... Sa main droite attrapa un sein et malaxa mon globe qui se raffermit. Surprise, cela me laissa sans réaction.

— Mais c'est qu'elle mouille la petite Trixie... tu aimes les fessées petite Salope... tu aimes mes doigts... allez descend.

Toujours les doigts dans mon vagin, il me fit mettre à quatre pattes sur le plancher. Il quitta son pantalon, il avait des bourrelets graisseux sur le ventre...

— Putain ta chatte est pleine du sperme de Franck... Je vais te la nettoyer, sinon tu vas tomber enceinte !

Il attrapa mes chevilles et écarta largement mes jambes.

— André, André que faites vous derrière moi ? Noooonnnn...
— Si tu ne me laisses pas te baiser, je vais de ce pas tout raconter à Daniel. Putain il y a je ne sais pas combien de temps que je n'ai pas bandé comme ça ! Tu es merveilleuse avec tes bas et ton porte-jarretelles... tes seins sont splendides...

Il passa ses mains sous la petite lingerie blanche et me tint aux hanches.

— Alors  je peux ?

C'était indéniable la fessée et les doigts m'avaient excitée.

—Tu es une vrai Salope pensai-je, lorsque je m'entendis répondre, c'est bon... mais dépêchez-vous, Daniel risque de revenir...
— Oooohhh... Merde, ton petit trou du cul est vachement étroit... Ah ça y est... mon gland est passé...
— Aaaahhhh... Putain André, vous avez mis votre bite dans mon cul...
— Bien sur que je te l'ai mise dans le cul ! Tu ne crois pas que je vais passer après mon petit fils et son énorme bite !! Je préfère t'enculer car Franck avec sa bite de cheval a du défoncer ta jolie chatte.
Tiens, tu sens comme ma bite glisse au fond de ton cul...
— C'est inouï, pensais-je, je me suis laissée soudoyée par ce gros porc puant... et il me sodomise en plus... je suis vraiment une Salope... et je ne trouve pas cela désagréable...
— Tu n'aimes pas ? Rappelle toi que tout ce qui arrive est de ta faute petite Salope de Trixie...
— Dépêche toi d'éjaculer..

Il me retourna.

— En fin de compte, tout bien réfléchi, je crois que vais faire gicler mon vieux sperme au fond de ta chatte...
— Vous êtes un putain de vieux dégueulasse André...

Il me pénétra d'un seul coup...

— C'est bon, c'est bon...répéta-t-il en me martelant avec des grands coups de rein. Tu la sens ma bite, tu la sens...

Ses assauts s'éternisèrent, Il haleta de plus en plus, sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres, ses mains pétrirent mes seins, il tardait à éjaculer.

— Une pensée traversa mon esprit... Si je contractais plusieurs fois mes parois vaginales autour de son phallus ça devrait le faire éjaculer plus vite.

Effectivement, après quatre ou cinq contractions, je sentis ses couilles se convulser, et un flot de liquide tiède et visqueux inonda ma chatte.

— Oh putain, je ne me suis pas retiré... J'ai éjaculé tout mon sperme dans ton utérus... dit-il d'un ton satisfait... Tu sais Trixie, nous les vieillards dégueulasses, nous pouvons sous certaines conditions oublier pas mal de choses !! Que dirais-tu d'un rendez-vous la semaine prochaine ! Ou alors je pourrais raconter des trucs par inadvertance... Nous disons chez moi, mardi et tu viens habillée avec tes bas ton porte-jarretelles, soutien gorge sexy...

On eut juste le temps de se rhabiller, la porte s'ouvrit et Daniel entra.

— Tiens Papy, tu es encore là, il renifla... c'est quoi cette odeur on dirait que ça sent le sperme... ici !

Le mardi suivant, je n'allai pas au rendez-vous fixé. Daniel était parti un mois en déplacement... le mois passa, sans que je ne vois quelqu'un, même pas Franck... c'est long un mois sans rapport sexuel... Mais avant que mon amant ne revienne le téléphone grésilla, c'était André, le lendemain je fus chez lui.

— Je viens, car au téléphone vous m'avez encore menacée méchamment de tout raconter à Daniel, vous n'êtes qu'un vieux salaud !
— Je croyais que tu ne voulais pas me voir ! Allez ne soit pas timide, montre moi ta jolie lingerie sexy, ça m'excite énormément... non laisse moi plutôt te déshabiller.
— Je n'y crois pas ! Il va falloir que je me laisse baiser à nouveau par vous vieux porc !

Il se mit tout nu, il ne bandait pas, sa bite était dans la normale, un peu flétrie vu son âge. Il ouvrit sans se presser un à un les boutons de mon chemisier et me l'ôta. Il abaissa les bretelles de mon soutien gorge sur mes bras, puis il baissa lentement les bonnets, lorsque le bord de dentelle passa sur mes mamelons qui malgré moi s' érigèrent en deux petits cônes durs, je frissonnai.
Il passa ses mains dans mon dos et dégrafa l'attache, il le tira vers lui, et le laissa tomber... sa bouche se plaqua sur un mamelon et il aspira, il fit subir le même sort à l'autre, puis il me les mordilla, je ne pus m'empêcher de gémir et de frisonner à nouveau. Il s'en aperçut.

— Alors petite Salope, tu aimes que le vieux porc d'André s'occupe de tes magnifiques nichons, caresse moi la bite ! Oh c'est bien tes mains sont douces...

Il me fit reculer, je tombai à la renverse sur le lit. Il se mit à genoux, ses mains en une douce caresse remontèrent doucement de mes mollets en passant sous ma jupe fendue, jusqu' à la limite de mes bas.

— J'aime tes jambes gainées avec tes bas fumés, j'aime que tu ais un porte-jarretelles.

La lente reptation de ses mains reprit sur ma peau nue au dessus des bas, en direction de ma chatte.
Son majeur suivit la fente de mon sexe au dessus du fin tissu du string, et il commença à le faire descendre très lentement sur mes cuisses... Malgré moi, ma respiration s’accéléra, ma chatte devint moite, mes seins durcirent. Le petit morceau de tissu glissa lentement le long de mes jambes, plus il descendait, plus mon ventre se nouait. Il le sortit délicatement de mes chaussures, le porta à son nez et le huma avec délice. Puis il commença à écarter délicatement les pans de ma jupe fendue, pour découvrir mon sexe. Je commençai à haleter. Il me la quitta.

— Putain que ta chatte est belle, tu l'as rasée exprès pour moi ? Çà met en valeur tes grandes lèvres merveilleuses...

Il les écarta de deux doigts de sa main gauche, le majeur et l'index de sa main droite s'insinuèrent dans mon conduit vaginal maintenant trempé. Je respirai par saccades, ses attouchements commencèrent à me donner du plaisir.

— Eh bien dis donc, petite Salope, il te fait vachement mouiller le vieux dégueulasse d'André !

Il ajouta son annulaire, les tourna lentement plusieurs fois et son petit doigt rejoignit les autres, Il fit entrer et sortir plusieurs fois sa main. Je gémis, elle fut couverte de foutre poisseux, il la lécha avec délice.

— Je n'en reviens pas de te faire mouiller ainsi...

Il était toujours à genoux entre mes cuisses, sa bouche se posa sur ma fente en feu, sa langue pénétra mon conduit vaginal, en explora les moindre recoins, me tirant des gémissements de plaisir.
Il décapuchonna mon clitoris, le titilla avec son majeur, le caressa en petits cercles concentriques, puis sa bouche se mit à l'aspirer, ses fausses dents le mordillèrent très délicatement... je me tortillai et gémis de plaisir sous ses caresses. Il grimpa et s'allongea sur le lit.

— Je crois que je t'ai donné pas mal de plaisir... A toi maintenant, suce ma bite et mes couilles...

A mon tour je me mis à genoux entre ses cuisses fripées, mes mains se posèrent sur ses pectoraux qui ressemblaient à des petits seins d'adolescente, puis caressèrent lentement sur le torse ridé et poilu, elles descendirent le long des replis graisseux de son ventre, s'attardèrent sur la verge, qui maintenant était en érection totale, le gland rouge vif était bien décalotté, elles saisirent et caressèrent les couilles.
Un tremblement l'agita et il gémit doucement. Posant un genou à terre, d''une main je lui relevai le sexe, tandis que ma langue lui léchait les testicules qui se contractèrent de plaisir. Puis je la fis remonter jusqu'au gland et je le mis dans ma bouche. J'avalai par petites saccades, entièrement le pénis du vieux. Je commençai à le sucer, en le faisant ressortir de ma bouche et en l'avalant à nouveau, ma chatte fut de plus en plus humide. Les pointes durcies de mes seins frottèrent ses cuisses flétries. Il me caressa les cheveux geignant de contentement.

— Salope me dis-je, ce vieux porc te fait de l'effet, il pourrait être ton grand- père.... c'est lui la dernière personne qui t'a baisé... il y a un mois ! Oui mais un mois c'est long... tu apprécies à cause de l'abstinence... mais non... cela sonnait faux dans ma tête... Il te donne réellement du plaisir... Salope !

Il me fit lever, et me pencha sur le dos d'un fauteuil.Avec un pied il écarta largement mes jambes.

— André... je viens de me rappeler que j'ai oublié de prendre ma pilule... AAAAHHH ! Pourquoi vous m'enculez comme la dernière fois, André !
— Désolé, mais je ne veux pas que tu tombes enceinte ! Je suis allergique aux préservatifs !!

Je me penchai le plus possible, pour lui permettre de me sodomiser plus facilement.
Il me pénétra avec des mouvements amples et lents ses mains caressèrent mes seins jouant avec mes mamelons, puis descendirent sur mes cuisses caressèrent la peau nue au dessus des bas et jouèrent avec les attaches de mon porte-jarretelles.

— Tu sais, j'ai pris du Viagra... je vais pouvoir te baiser pendant un bon moment.
— André, je vois que vous soufflez, que diriez-vous si je m'installais à califourchon sur vous ?
— Je continuerai à te sodomiser ?
— Oui...je ne déteste pas.
Il s'allongea sur lit, j'empalai mon petit trou sur sa bite tendue.
— Dis moi que je suis belle et que tu as envie de me baiser André !! Daniel ne me dit jamais des paroles gentilles !
— Oh oui tu es la plus jolie et la plus jeunes des filles, que j'ai baisé jusqu'à aujourd'hui... tu me rends complètement fou !

Je me penchai et l'embrassai.

— C'est vraiment bon de se faire sodomiser ! Je pourrais demander à ton idiot de petit-fils Daniel d'essayer, sa bite est à peu près de la même taille que la tienne, il ne me l'a jamais proposé... C'est exclu avec Franck... Quoique ! Malaxe mes seins... Étire mes mamelons.. Aaaahhh... c'est bon...
— Oh putain !!! Je ne peux pas tenir plus longtemps !!! Tu me fais éjaculer... Salope !! Aaaahhhhh...
— Merde c'est frustrant !! je commençais juste à apprécier de me faire enculer !! Et je n'ai pas joui...

Il vida sa semence dans mon anus, puis il me remercia de ma gentillesse, et me complimenta encore et encore sur ma beauté.

— Tu sais André tu es très gentil, ce n'est pas comme Daniel, il me néglige, il n'est pas tendre avec moi... c'est un peu pour ça que j'ai couché avec Franck... Il n'est pas très souvent avec moi... Il reçoit de mystérieux coups de téléphone... je crois qu'il me trompe... j'en souffre trop... je vais le quitter...

J’eus à peine fini ma phrase qu'un bâillement me répondit, je regardai le vieux André, ses yeux se fermèrent et il s'endormit. Je me levai, m’apprêtai à m'habiller, lorsque sa queue s'éleva a nouveau raide et dure.

— Petit coquin de grand-père !Tu as pris du Viagra pour me baiser !! Mais tu n'as pas tenu le coup ! Et si maintenant je m'amusais un peu, je n'ai pas joui... chuuuut...chuuut fait de doux rêves érotiques vieil homme !! Doucement, voilà elle entre. C'est délicieux de sentir une bite dure en moi ! Faire pénétrer la queue flasque de Daniel dans ma chatte n'est pas facile !! Oh Putain ! C'est quoi mon problème... j'ai vraiment envie d'avoir un orgasme avec sa vieille bite... Il est laid, adipeux... Je suis une Salope... Je suis une vraie nympho !

Mais je continuai de le chevaucher doucement, la bite dure coulissa dans ma chatte trempée. Je malaxai mes seins, tirant sur mes mamelons, me titillant le clitoris... Au bout d'un moment je sentis monter mon orgasme... un cri sorti de ma bouche.

— Aaahhh, Ooohh... Putain c'est bon … je vais jouir !!

Au même instant la vieille bite eut des soubresauts et vida sa semence en moi... je l'attrapai pour l’ôter de ma chatte, mais le vieil André me saisit aux hanches et me tint fermement jusqu'à ce qu'il eut éjaculé sa dernière goutte de sperme.

— Hé bien voilà !,,, tu ne voulais pas que j'éjacule en toi... Mais c'est trop bon... oh oui putain que c'est bon... tu ne m'en veux pas ?
— Mais non, la pilule du lendemain ça existe...
— Dis au fait, pour en revenir à ce que tu disais avant que je ne m'endorme... Daniel est atroce avec toi et tu veux vraiment le quitter ? Tu as raison... car c'est un petit con, il a une fille splendide et ne sais pas en profiter... Ne veux-tu pas te venger en lui donnant une bonne leçon... Faire étalage de tes capacités... surtout sexuelles, et Dieu sait que tu en as, et elles sont magnifiques... Tu es vraiment douée ? Je suis prêt à t'aider... J'ai une très bonne idée. Mais il faut que tu me donnes carte blanche.
— Je ne sais pas... mais oui j'ai très envie de lui donner une leçon... de lui faire voir ce qu'il perd, si je le quitte...
— Bien, tu vas venir avec moi... ne t'inquiète pas c'est moi qui m'occupe de tout, ne serait-ce que pour te remercier... Je vais vous emmener au restaurant, le patron est un vieil ami de mon âge... Toi qui apprécie le sexe de Franck... le sien ne devrait pas te déplaire... laisse moi organiser ta vengeance...

Nous partîmes faire les magasins. Le soir prévu j'enfilai la robe noire offerte par André, elle descendait jusqu'à mes chevilles. Le décolleté plongeait jusqu'au ras de mes aréoles, en laissant apercevoir un petit morceau de brun, de mes petits cercles. Elle était retenue par de fines bretelles sur les épaules, laissant mon dos nu. Il n'était pas pensable de porter un soutien gorge en dessous. Mes cheveux châtain doré, presque blonds étaient noués en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complètement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornaient mes oreilles et un collier du même genre pendait à mon cou. La robe possédait trois fentes, deux de chaque coté sur mes cuisses, elles remontaient jusqu'à mes hanches, une troisième centrale qui lorsque je marchais laissait deviner le bas de mon pubis. A chaque mouvement on apercevait sur mes cuisses une bande peau blanche, au dessus de mes bas noirs. Assise, la fente du milieu baillait assez largement, on devinait la naissance de ma chatte, les ouvertures de côté dévoilaient sur mes deux cuisses les fermetures et les lanières de mon porte-jarretelles. André m'avait demandé de ne pas mettre de string. Nous arrivâmes tous les trois au restaurant. Le patron, un monsieur aussi âgé qu' André, nous souhaita la bienvenue. Il nous fit entrer dans un salon particulier. Daniel partit aux toilettes.

— Vous serez tranquilles ici, dit le restaurateur en souriant.
— Marcel, c'est toi qui nous sert...
— Bien sûr comme convenu André...

André passa derrière moi et entoura ma taille de son bras.

— Marcel je te présente Trixie...

Marcel s’avança, pour me faire une bise, la main de André tira sur les pans de ma robe, dévoila mon sexe rasé encadré du porte-jarretelles au regard de son vieux copain, ses yeux s'illuminèrent et un grand sourire apparut sur sa figure ridée.

— Parfait, parfait... magnifique... Je crois qu'on va se régaler, Tixie est splendide ! Sa chatte est une merveille, en plus comme j'ai pu voir elle est rasée, j'adore !

La table était ronde assez grande, André me fit asseoir près de lui, relégua Daniel assez loin de nous.

— Ce n'est pas tous les jours que je peux être en compagnie d'une aussi jolie fille, tu permets que je l'accapare pendant le dîner, Daniel ? Demanda le grand-père.

La lumière tremblotante des bougies des trois chandeliers et une lumière tamisée mirent une ambiance romantique. A peine assis, la main d'André se posa sur ma cuisse, repoussa les pans de ma robe sur le côté, tira sur mon genou pour me faire ouvrir les jambes... et découvrir ma chatte, Daniel ne pouvait rien voir de ce manège.
Le dîner servit par le vieux copain de André, qui n'arrêta pas de lorgner dans mon décolleté, de regarder mes jambes et ma chatte glabre découvertes, fut succulent. Le vin fut excellent et j'en abusai un peu. Nous avions fini de manger, la main ridée de André se glissa à nouveau le long de la lanière de mon porte-jarretelles. J'écartai un peu plus les jambes... son majeur s'insinua dans ma chatte. Un léger mouvement, sur ma droite le serveur fut à côté de moi, il suivit avec attention la pénétration du doigt d'André, il tenait une bouteille de vin.

— Mademoiselle Trixie prendra bien deux  doigts.... de...plus... de... de ce.... merveilleux vin ?
— Ouui, oui... bien sûr bredouillai-je rouge comme une tomate.

Aussitôt l'index, puis l'annulaire de André vinrent rejoindre son majeur dans ma chatte.

— Très bien dit le majordome... Mademoiselle apprécie ?
— Oooohhhhh, ouuuuuiiiii, c'est délicieux.

Vu la bosse de son pantalon, je subodorai qu'il ne portait pas de slip. Nous en étions au dessert.

— Marcel, une coupe de champagne s'il te plaît.

Il s'empressa de nous servir. L'alcool aidant, je me penchai pour lui tendre mon verre, la robe bailla sur mes seins, dévoila mes tétons érigés, je restai penchée, un léger tremblement agita sa main et du champagne se répandit sur la table. Daniel, tout occupé à déguster son repas, n'eut pas l'air de se rendre compte du jeu qui se déroulait sous ses yeux.
Je bus lentement mon champagne en regardant le vieil André qui se léchait les doigts pleins de mon foutre. Il me sembla que son regard devenait coquin. Il fit un léger signe de tête à Marcel.

— Mademoiselle prendra bien un fruit !

Me demanda le serveur, et sans attendre ma réponse, il prit une banane dans la corbeille. Il la pela délicatement, l'approcha lentement de mes lèvres. Je regardai André, ses yeux me fixèrent tendrement. Puis mon regard se porta sur Daniel, il eut l'air ébahi. Je plongeai mon regard dans le le sien et sortis ma langue pour lécher le bout du fruit. Marcel me la fit pénétrer lentement dans la bouche, puis la ressortit tout aussi lentement. Il recommença trois ou quatre fois l'opération, comme si je suçai un phallus, puis il me la fit entièrement avaler.
Mais avant qu'il ne la ressorte entièrement, je croquai le bout, en souriant à Daniel. Marcel posa un petit panier de fraises sur la table accompagné d'une coupe de crème chantilly.

— Après la banane, Mademoiselle Trixie goûtera-t-elle aussi les fraises ?

Je regardai à nouveau Daniel avec un air de défi, il fit triste mine. Le maître d’hôtel trempa les fruits dans la crème, et me les fit manger voluptueusement une à une. Astucieusement, il les approchait de ma bouche puis les reculait, pour m'obliger à me pencher en avant, ce qui ouvrit mon décolleté, dans lequel son regard plongea sans aucune retenue. Je me penchai en arrière sur le dossier de la chaise et renversai ma tête. Il approcha le fruit et le retira aussitôt que mes lèvres voulurent le saisir. Il regarda ironiquement Daniel et sa main plongea dans mon décolleté, il me caressa le sein droit, me titilla le téton, puis il dénuda lentement mon globe laiteux. Je regardai Daniel, il semblait subjugué, André semblait apprécier lorsque ma langue léchait la crème sur les fraises. Marcel en eut plein les doigts, il me les fit sucer.

— Mademoiselle à l'air d'aimer la chantilly... Vous allez pouvoir en manger !

Il sortit son sexe. Je fus en admiration devant la longueur et la grosseur du phallus de ce vieux de plus de soixante quinze ans, qui pendait flasque au bout de sa main, il était en effet presque aussi gros que celui de Franck.

— Si Mademoiselle veut bien profiter de ma cuillère...

Il mit son sexe au dessus de la coupe de crème. Il ne bandait pas et le bout effleura la chantilly.
Je fixai Daniel, celui-ci se leva et rapprocha sa chaise, il s’aperçut alors que ma robe découvrait entièrement ma chatte et que j'avais les jambes grandes ouvertes.

— Salope... éructa-t-il !

Je pris délicatement le phallus de Marcel, décalottai son gland en tirant lentement son prépuce vers l'arrière. Je plongeai au fur et à mesure la bite dans la mousse onctueuse. Je la tournai dans la coupelle pour bien l'enduire. Marcel prit sa bite d'une main et me la porta à hauteur de la bouche. Je léchai à petits coups de langue la friandise blanche. Il y en eut pas mal entre son prépuce rétracté et son gland, la pointe de ma langue fit doucement le tour des seize centimètres de circonférence de son gland bien décalotté. André fit glisser complètement la bretelle de ma robe et mon sein droit fut entièrement dénudé, dardant un téton brun durci. André tira sur ma robe et découvrit mes jambes jusqu'à l'aine, offrant sans pudeur ma chatte moite aux regards de trois hommes. Marcel commença à bander, sa queue se releva imposante. Je l'attrapai et la replongeai dans la crème. Puis enfournai cette fois le gland dans ma bouche, j'aspirai comme une gourmande, avec le bout de ma langue j'essayai de nettoyer son méat, dont la fente était assez grosse pour permettre au bout de ma langue de s'y insinuer. Cela lui tira un gémissement de plaisir.
Il me sembla que Daniel se masturbait doucement. Marcel me fit lever, je voulus remonter ma bretelle, il m'en empêcha. Il me positionna devant André toujours à table. Je m'assis sur celle-ci, son vieux copain m'attrapa sous les cuisses me fit basculer vers l'arrière, je m'appuyai sur mes avants bras. Il avait largement remonté sur mon ventre ma robe, laissant mon ventre dénudé par une large bande de peau bronzée au dessus de mon porte-jarretelles. Me tournant légèrement de côté, il écarta amplement mes jambes, pour offrir une vue complète de la suite des opérations aux deux hommes qui regardaient. Il m'attrapa le sein droit, et me roula le téton entre son pouce et son index. Puis sa main gauche descendit sur mon ventre et se glissa sous le porte-jarretelles. Tout en me caressant l'abdomen, avec le majeur de sa main droite, il frotta son doigt le long de la fente de ma chatte. Celui-ci fut aussitôt trempé par le foutre poisseux qui s'en écoulait. Il enfonça sa première phalange dans mon orifice vaginal, comme pour bien l'imprégner.

— Tu as vu André, comme elle mouille la petite coquine ! Sa chatte est trempée. Il enfila son majeur entièrement dans mon vagin qui offrait à Daniel une vue parfaite sur mon orifice béant. De son pouce, me caressa le clitoris. Il était vieux, mais il savait y faire pour exciter les jeunes femmes, Marcel.

André se leva et sortit son vieux sexe. Il bandait, et se caressait doucement.

— A mon tour d'être gourmand....

Daniel commença à s'exciter.

— Petite Salope, pute... tu te laisses tripoter par des vieillards...
— Toi, tu te tais, tu regardes, tu prends de la graine... tu vas regretter qu'elle te quitte... c'est une fille merveilleuse gronda André.

Le patron du restaurant attrapa la coupe de chantilly prit le reste de la crème sur son index et son majeur et me badigeonna la chatte bien rasée, la fit pénétrer assez profondément dans ma fente. Puis il commença à me lécher, sa langue me fouilla avec application, remonta au clitoris, qu'il suça avidement, me le mordilla. Je me tortillai et gémis de plaisir. Je réussis à attraper le pénis de André et le masturbai vigoureusement.

— C'est délicieux André, la chantilly parfumée au foutre de Mademoiselle Trixie. Veux-tu goûter ?

Demanda-t-il ironiquement à Daniel... Un juron lui répondit.
André ne se le fit pas dire deux fois, Son double menton me frotta l'entrejambe, tandis que sa langue me parcourut le vagin.

— C'est dommage, il n'y en a plus... rétorqua-t-il !
— Bon alors on va nettoyer la chatte de Mademoiselle !

Le maître d'hôtel attrapa la bouteille de champagne et me versa une rasade de liquide sur le mont de vénus. Il écarta de deux doigts mes lèvres et en fit couler encore un peu à l'intérieur.

—André si tu veux bien boire !

Celui-ci se pencha, lécha ma fente, aspira le liquide mêlé au mon foutre de mon vagin.

— Marcel dit-il tu as des idées merveilleuses !
— Si Monsieur veut bien me permettre... dit-il en s'adressant à Daniel.

Il s'installa entre mes jambes. Il me sortit délicatement l'autre sein, les caressa pour bien faire dresser mes mamelons.

— André, les tétons de Mademoiselle Trixie sont étonnants, as-tu remarqué la longueur qu'ils peuvent atteindre ?

Il me mit la jambe droite sur son épaule. Son énorme gland chercha mon orifice anal, le champagne l'avait imprégné et le fait que ma jambe fut surélevée l'ouvrit largement. L'énorme rouleau y pénétra tout en douceur, mais sans aucun arrêt. Apparemment Marcel comme André était un as de la sodomie, sa toison blanche vint me chatouiller, le mont de vénus. André et surtout Daniel ne perdirent pas une miette du spectacle. Je repris la queue du grand-père en main et la caressai doucement.
Daniel eut l'air admiratif, de ce que me fit Marcel. Je lus dans ses yeux une jalousie féroce, pour l'exciter je me mis à gémir, disant à Marcel que j'adorai sa grosse queue.

— Mets toi à l'aise André je te laisse la place...

Il se déshabilla en un tour de main. Lorsqu'il baissa son slip sa verge, jaillit comme un diable monté sur ressort. Il me fit pencher sur la table, je crus qu'il allait lui aussi me sodomiser. Mais son phallus s'inséra dans mon vagin, et il commença de lents mouvements de pénétration. Il s'appliqua à bien faire entrer sa virilité jusqu'au bout, pour me tirer lui aussi des gémissements de plaisir. Marcel se mit devant moi, il me pencha la tête sur son appendice ou quelques gouttes de liquide perlaient. Je le suçai comme un bâton de sucre d'orge. Il me malaxa les seins. André me tint par les hanches et s'escrima toujours pour me tirer des râles de plaisir, ses coups de boutoir et la caresse de ses mains sur ma poitrine, me firent enfin gémir de plaisir.
André aidé en cela par Marcel, vieillesse oblige, grimpa sur la table, il se coucha sur les coudes et me demanda de m'empaler sur sa verge. Ce que je fis lui tournant le dos. Mes deux seins hors de ma robe, tressautèrent en tous sens sous ses assauts.
Daniel se mis en face de moi, il sembla résigné, il se masturba avec vigueur.
Dans cette position son phallus me fit plus d'effet. Marcel emplit une coupe de champagne et me fit boire le liquide ambré et pétillant. Il en fit couler sur mes seins, suça ensuite mes mamelons. La faisant passer par dessus ma tête, il quitta ma robe. Il fit ensuite couler du liquide pétillant sur mon ventre, inonda mon porte-jarretelles et mes bas et se mit à me caresser le clitoris ruisselant de champagne, tandis que genoux écartés, cuisses ouvertes j' engloutis entièrement la bite de André et m' assis sur ses cuisses. Je hurlai d'extase. J'embrassai le vieux Marcel pervers, lui titillant sa langue avec la mienne, puis l'aspira dans ma bouche. Les mains ridées de André me saisirent les seins, les pressèrent fortement. Il se vida de sa vieille semence, dans mon vagin ruisselant de champagne, j'attendis le dernier spasme de son pénis pour descendre de la table, me pencher sur lui et bien le lui lécher.
Marcel monta à son tour sur la table, jambes pendantes de chaque côté. Il entretenait sa condition physique, le vieil homme. Il me dit de venir le rejoindre et de m'accroupir de dos sur son pénis tendu. Il le tint fermement d'une main.

— Met le dans ton anus...

Je guidai l'imposant mandrin, dans mon orifice anal bien ouvert, avec ma position accroupie, il glissa presque tout seul entre mes parois anales elles aussi détrempées par le champagne. Lentement pour bien profiter de la grosseur de la queue qui m'empalait, je me relevai et me rabaissai tout aussi doucement. Puis tenant la bite rigide d'une main, j'alternai les pénétrations entre ma chatte et mon anus. Lorsque les poils pubiens blancs de Marcel frottèrent mon entrejambe, son sexe emplit bien à fond mon vagin, je remuai lascivement mon bassin d'avant en arrière ou en fit des rotations autour de l'énorme pieu, regardant ironiquement Daniel, qui marmonna toujours des insultes à mon égard.
André lui s' accroupit devant la table et ne rata rien des pénétrations. Puis il se leva, passa à coté de moi et me caressa les seins se mit à m'embrasser comme un fou.

— Maintenant, tourne toi et met toi à genoux, Marcel enfonce bien ta bite dans la chatte de Trixie.

Ouvrant une seconde bouteille de champagne, qui trempait dans un seau de glace, il l'ouvrit, me fit pencher sur le torse de Marcel et fit couler le liquide glacé entre mes fesses. Je poussai un cri de surprise et le froid me couvrit de chair de poule. André se mit à plat ventre sur la table et sa langue s'insinua dans mon orifice anal. Il lécha le breuvage répandu. Puis deux et enfin trois doigts remplacèrent la douce caresse de son appendice buccal.
Marcel récupéra la bouteille, et me fit boire de petites gorgées glacées. Je ne sais pas si ce fut l'alcool qui commença à me faire beaucoup d'effet mais il me sembla être dans un rêve. La sensation de bien-être fut décuplée par la chaleur qui monta de mes entrailles... Marcel accéléra la cadence de ses pénétrations. De violents spasmes contractèrent ses bourses, il me sembla que sa queue devenait encore plus grosse, il me plaqua sur la base de sa bite, m'empêcha de bouger, comme s'il ne voulut pas qu'une goutte de sa vieille semence puisse gicler au dehors. Puis tout se calma d'un seul coup, à part le cri que poussa Daniel en éjaculant.

— Tu n'es qu'une grosse Salope, je ne veux plus te voir... te faire baiser par des vieillards !! Pute...
— Moi non plus je ne ceux plus te voir... bon débarras !!

Il fit claquer la porte en sortant...

—Voila mon petit Chéri, ma première aventure avec des grands-père...
— Eh bien me dit Gérald, tu es drôlement perverse, ton petit copain doit t'en vouloir encore aujourd’hui, t'être fait baiser par deux vieillards devant lui.
— Oui mais c'était un grand con ! Et puis les deux vieux étaient extraordinaires ! J'en ai toujours gardé un souvenir impérissable, et tu sais les vieux qui m'ont baisé dernièrement, ne sont pas des nuls sur le plan sexuel... loin de là !
— J'aimerai aussi bien connaître, ton vieux marchand de légume, il faudra que je t'accompagne chez lui un jour ! Tu m'as dit qu'il avait aussi un fils .
— Oui, aussi laid que lui ! Je ne sais pas si tu t'en ai rendu compte, mais Maxime à un vrai penchant pour le candaulisme, et je ne savais pas que lui offrir pour son anniversaire, et bien tu sais quoi ? Puisque j'en suis à te faire des confidences. Je lui ai offert une partouze à trois avec le vieux fermier et son fils... Il a énormément apprécié !
— Maxime est en vacance donc je ne peux pas vérifier tes dires, mais je ne te crois pas. Tu me fais marcher, tu veux me rendre jaloux ! Maxime ne m'en a jamais parlé Quoique, et si c'est vrai, mais j'en doute fortement, je voudrais bien que tu m’emmènes dans cette ferme de débauche !

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