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Le « testeur » de Madame CLAUDE et ses mille et une chattes. 1

La vie d'un gigolo dans la célèbre maison de passe de Madame CLAUDE et les années suivantes dans des réunions Tupperware d'un genre assez spécial.

Proposée le 29/09/2021 par mlkjhg39

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Je m’appelle Claude XXX, je dirige une société de mode spécialisée dans les sous-vêtements féminins.
Quoi de bien extraordinaire me direz-vous ? Et bien oui et non !
J’ai beaucoup de collaboratrices qui organisent des réunions type Tupperware pour mes clientes, (futures ou habituées). Je tourne en France et même en Europe pour les soutenir et je dois dire que je suis toujours bien reçu partout où je vais. Ce qui commence à sortir de l’ordinaire d’un patron, c’est que je ne couche jamais seul dans un hôtel ou ailleurs lors de ces tournées promotionnelles. Chaque soir dans un nouveau lit, chaque soir avec une ou des femmes différentes. Je ne pourrais pas dire avec combien de femmes j’ai couché, il y a bien longtemps que je ne compte plus…
Mais comment, me direz-vous, suis-je arrivé à un tel résultat ? Pour cela, il faudrait que je remonte au jour de ma naissance…

Je suis le fils d’une prostituée morte en couche, j’ai été élevé dès mon premier jour par une pléthore de femmes toutes plus belles les unes que les autres. Dans ce temps là, les filles qui se faisaient mettre en cloque pouvaient élever leur marmaille dans une villa que toutes dans la profession connaissaient. Etant orphelin de fait dès ma naissance car ne pouvant savoir qui était mon géniteur, j’ai dès mes premier jours tété et tripoté toutes sortes de mamelles accueillantes. De beaux seins bien lourds ou d’autres plus fermes, de toutes les carnations, de la blancheur d’albâtre au plus noir. Jai goûté à de petits tétons à peine visibles ou à d’autres érigés fièrement dans des aréoles de tous les diamètres.

Dès mes premières années, je gambadais dans des couloirs fréquentés par des filles à peine vêtues. Elles se battaient presque pour me faire prendre un bain que je prenais d’ailleurs rarement seul car elles adoraient toutes m’y accompagner pour frotter ma peau sous toutes ses coutures. Quelques années plus tard, je faisais déjà du porte-à-porte pour amener aux filles des linges et autres ustensiles pour leur toilette intime entre deux clients. J’étais habitué de voir ces femmes nues sans aucune pudeur devant moi tellement je faisais partie des meubles.
Un jour, elles se sont rendu compte du changement hormonal qui transformait mon corps. Je laisse à votre entière responsabilité et à vos fantasmes les plus pervers ce qui a bien pu en résulter. Mais disons que j’ai été beaucoup plus précoce que les jeunes hommes de cette époque.
L’une de ces femmes s’appelait Fernande G…, plus connue quelques années plus tard sous le nom de Madame CLAUDE. Dans l’une de ses « maisons » qu’elle ouvrit dans les années soixante, je faisais office de videur pour virer manu militari les hommes qui ne respectaient pas les « collaboratrices » car chez Madame CLAUDE, il n’y avait rien de vulgaire et pour pas mal de filles maltraitées par la vie ou même pour des filles de bourgeois, elles étaient très bien traitées, sorti du contexte, bien mieux que certaines secrétaires ou autres filles d’usine ou de maison.

Je vous ai dit que je me prénommais Claude, mais dans ces maisons, j’avais un autre patronyme, Comme ma mère était d’origine espagnole, mon deuxième prénom était Fabio et mon surnom Saint VIT. Vous voyez l’allusion ?
Il faut dire que ma mère et la nature, (mon paternel ?), m’avaient bien gâté. Une belle gueule, un corps d’athlète, et sans être prétentieux, un sexe de belle taille sans être démesuré. Mon éducation sexuelle précoce et peut-être une particularité physique un peu particulière a fait que Madame Claude s’est vite rendu compte du bénéfice qu’elle pouvait en retirer.
Chaque année, les filles avaient droit à une ou deux semaines de repos dans une grande propriété où elles se retrouvaient entre elles et où j’étais le seul homme présent. J’y passais mes deux mois de grandes vacances quand j’étais jeune et cette tradition a perdurée. C’est là que je connus mes premiers émois si l’on peut dire… Les filles se sont vite rendu compte de deux particularités qui faisaient leur bonheur : La première, c’est que j’avais tellement vu de scènes de sexe que j’avais réussi à contrôler à volonté mon érection, bandant et débandant à la demande. Mais celle qu’elles préféraient, ou redoutaient, c’est que je pouvais les coïter presque à l’infini, maîtrisant la montée du plaisir si longtemps qu’elles se demandaient si j’étais normal, comme certains acteurs porno.
Je pouvais les baiser à la chaîne et je ne m’en privais pas lors de leurs semaines de détente. Elles étaient incapables de me résister quand je lançais mon attaque prudente et compréhensive : les jeunes d’à peine dix-huit ans débutant dans le métier, les élégantes spirituelles de vingt-cinq à trente ans, même les plus expérimentées un peu plus âgées capitulaient. Elles étaient impuissantes, mues par de nombreuses impulsions de leur corps et me cédaient sans trop de difficultés.

En ce temps là, Madame Claude avait plusieurs « établissements », ayant jusqu’à 200 « collaboratrices » et quelques « collaborateurs ». Dans la dizaine d’années où exista son commerce, plus de 500 filles passèrent par ses maisons de plaisir. On ne rentrait pas comme ça chez elle, il fallait faire ses preuves, passer un entretien d’embauche puis une « épreuve pratique ».
Comme premier client, elles passaient toutes par moi, ne sachant pas que leur client n’en était pas un. Je devais estimer leurs capacités, leur manière de me faire bander, de me faire une fellation, d’apprendre l’art de mettre un préservatif sans craindre le gourdin qui allait falloir supporter en souriant au client. Persuadées de m’emmener en quelques minutes au plaisir, elles déchantaient vite et je pouvais tester leur motivation et la persévérance qu’il fallait avoir pour me faire jouir ; cravate de notaire, cavalcade d’amazone sur mon engin ou toute autre position qu’elles connaissaient pour amener un homme au plaisir. La note éliminatoire était quand je leurs annonçais que j’allais jouir et que je voulais qu’elles me prennent en bouche. Un refus et c’était la porte. Certaines avalaient mon sperme copieux et d’autres recrachaient discrètement dans un mouchoir de papier.
Des centaines de filles réussirent l’examen et connurent donc, avec un souvenir inoubliable de crainte ou de reconnaissance, ses deux heures sans fin avec un seul homme si vigoureux et endurant, impossible à amener à la jouissance. Heureusement que leurs futurs clients n’étaient pas comme moi sinon le métier aurait vite périclité.

Aujourd’hui, certaines dames de la bourgeoisie qui avait trouvé chaussures à leurs pieds dans cet établissement réputé s’étaient établies, insoupçonnées et insoupçonnables de cette vie de débauche qu’elles avaient connue. Elles formaient maintenant un maillage dont je me servais pour mon commerce, étant ces collaboratrices bénévoles qui organisaient chez elles ou chez des connaissances mes démonstrations de lingerie fines qui marchaient « le feu de Dieu ».

Il y avait quand même une particularité lors de ces démonstrations divisées en trois parties distinctes. La première bien sûr était la présentation de la lingerie féminine. La deuxième pour les femmes qui le voulaient, une présentation de maillots de bain pour hommes mettant en valeur leur service trois pièces. La troisième, encore plus chaude, sponsorisée par une marque célèbre de préservatifs, les nouveaux modèles parfumés et au goût divers. Ce n’était pas automatique mais quand le « Patron » était là, systématique, et ma réputation était telle que ça se bousculait tellement au portillon qu’il fallait faire des fois deux présentations.
En temps qu’expert à l’œil critique, Je recommandais telle ou telle tenue, remontant un sein par là, conseillant plutôt suivant les poitrines ou les fesses des clientes le modèle adéquat et elles appréciaient quand mes mains venaient rehausser mes propos. Comme ces femmes par le bouche-à-oreille savaient à quoi s’en tenir, il n’y avait peu de défection quand on en arrivait à la collection masculine. La démonstratrice expliquait les avantages et inconvénients des différents modèles. Je servais moi-même de support à ces différents maillots, ne gardant qu’un minuscule string pour cacher ma virilité entre chaque modèle. Ma collaboratrice commentait :
-Ce modèle est fait avec un tissu fortement élastique qui comprime les bas du slip vers l’entrejambe permettant de cacher et de rendre plus discrètes les disgracieuses petites bites qui pointent.

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
La célèbre Madame Claude?
Posté le 30/09/2021


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