Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Un arrangement comme un autre...(5)

Sofia a des problèmes d'argent et pour les régler, elle a accepté de sucer Max son colocataire aussi souvent qu'il le désire en échange de son loyer. Mais Max s'est fait prendre à son propre jeu et après le coup que Sofia lui a fait, il prépare sa vengeance...

Proposée le 2/04/2020 par Blueberry89

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


En me couchant ce soir là, je n'arrêtais pas de repenser à Max et au regard qu'il m'avait jeté quand j'étais sortie.
Vengeance! criaient ses yeux.
Je frissonnai d'anticipation, naviguant entre désir et frayeur. Allait il me prendre de force, prenant le risque de mettre fin à notre arrangement ? Que pouvait il faire d'autre pour se venger?
Je ne dormai que d'un œil, attendant de recevoir une visite nocturne, mais rien ne vînt. Je pus alors sombrer doucement dans les bras de Morphée.

Le lendemain, ce fût avec appréhension que j'arrivai à la cuisine, sachant pertinemment qu'il serait là, à attendre patiemment sa première pipe de la journée. Il ne dit pas un mot, se contenta d'ouvrir sa braguette et de sortir sa queue déjà fièrement dressée. Je m'agenouillai à ses pieds, prête à engloutir ce sexe si imposant, qui, même si je refusai de me l'avouer, me donnait l'eau à la bouche. Comme à son habitude, il empoigna mes cheveux et me baisa la bouche intensément, toujours en silence. Ses gestes étaient brusques, ses coups de reins, bestiaux. C'était comme s'il voulait évacuer toute la rage qui le consumait de l'intérieur depuis la veille au soir. Je n'osais pas me rebeller, ni même résister un peu. Au lieu de ça, je mouillais comme une folle. Plus il était brutal, plus j'adorais ça.... Quel plaisir ça serait de sentir cette si grosse queue me prendre tout entière, me posséder, me défoncer...

Mais qu'est-ce qu'il me prend ? Je ne me reconnais plus. J'ai toujours aimé le sexe mais j'étais loin de me douter que j'aimerais autant cette soumission qu'il me faisait subir.
Quand il eut finit, il me fit avaler tout son foutre et me laissa en plan dans la cuisine, seule, encore agenouillée et la culotte complètement trempée. Il n'avait pas ouvert la bouche. Rien. Son silence était plus angoissant encore que sa colère.
J'en tremblais encore quand je parti en cours une heure plus tard. Je n'arrêtais pas de penser à ce que Max prévoyait comme représailles... Je redoutai l'heure d'aller travailler au bar. Je savais qu'il serait là. Et peut-être même les autres aussi...
Quel ne fût pas mon soulagement quand je poussai la porte du bar et vis qu'ils n'étaient pas là!
Mais ce fût un soulagement de courte durée... Une fois mon uniforme de serveuse enfilé, j'allai prendre mon poste dans la salle quand je le vis entrer. Seul. Et déterminé. Son regard s'ancra au mien dès qu'il m'aperçu et il se dirigea tout droit vers les toilettes.
J'hésitais. Je savais que je devais le suivre. Et j'en mourrais d'envie. Mais quitter mon poste maintenant, surtout pour tailler une pipe dans les toilettes, ce n'était pas vraiment professionnel. Je pourrais avoir des problèmes...
La soumise qui sommeillait en moi me hurlait d'y aller, d'assouvir cette envie irrépressible de me faire baiser la bouche par cet homme. Cet homme qui l'avait réveillée...
Je finis par me décider et le suivis, malgré un mauvais pressentiment.
Il m'attendait dans les toilettes des hommes, adossé aux lavabos. Comme tout à l'heure, il ne dit pas un mot mais esquissa un sourire empli de victoire.
Je me mis à genoux et deboutonnai son jean avec empressement. Une fois sa queue en main, je me lechai les lèvres d'anticipation. J'avais envie de le sucer, tout de suite. J'en avais besoin. C'était plus fort que moi. J'étais prise moi aussi à mon propre jeu maintenant.
Je commençais à le branler, frottant son sexe contre mon visage, suçotant ses couilles une par une avec délice. Il grogna de plaisir mais pas une fois il ne posa la main sur moi, me laissant diriger les choses. Je le pris enfin dans ma bouche chaude et humide en gémissant de plaisir. Je le pompai avec avidité et tellement d'application que je n'entendis pas la porte s'ouvrir.

- Non mais qu'est-ce que tu fous là Sofia ? Hurla Daniel, mon patron, je te paies pas pour tailler des pipes aux clients ! Dégagez de mon bar tous les deux en vitesse! Et toi, tu passeras chercher ton chèque demain, tu es virée.
Il claqua la porte, me laissant complètement dévastée devant ce qui venait de se passer...
- Oh mon dieu qu'est ce que j'ai fais?! Je viens de perdre mon boulot! Comment je vais faire maintenant ? C'était celui qui me payait le plus... je ne pourrai pas rembourser mon prêt étudiant...je...
- Tu sais si tu as besoin que je t'aide financièrement, je suis là, me dit Max avec un air sadique
- Je te suce déjà à volonté en échange de mon loyer, je ne vois pas ce que je peux faire de plus...
- Je crois que tu le vois très bien au contraire...
Soudain je compris. C'était ça, sa vengeance ! Il avait tout prévu depuis le début. Il savait que mon patron me chercherait au début de mon service et qu'il me trouverait là en train de le sucer. Il savait que je me ferai virer. C'était son but, me mettre dans la merde pour je sois obligée de lui céder, lui donner enfin ce qu'il veut.
- Tu es vraiment un enfoiré ! C'est toi qui as organisé tout ça ! Tu es...
- Voilà le nouvel arrangement que je te propose : tu n'auras absolument rien à payer, je m'occupe de ton prêt, ta part du loyer, ta bouffe etc... en échange, tu seras mon esclave. Je te baiserai aussi souvent qu'il m'en prendra l'envie, n'importe où, n'importe quand, n'importe comment. Si je ne me retenais pas là, je te défoncerais bien ton joli petit cul contre ces lavabos... Mais je vais te laisser jusqu'à demain pour y réfléchir, je te dois bien ça. Mais crois moi, tu ferais mieux d'accepter. Tu meurs d'envie que je te prenne comme une chienne...

Ces paroles résonnaient encore en moi le soir dans mon lit. J'avais eu beau me masturber avec mon copain vibrant, ça n'avait pas suffit à faire taire mon désir. Il avait raison. Je mourrais d'envie de le sentir en moi, qu'il me baise avec autant de violence qu'il ne baise ma bouche...
Ma fierté valait t elle le coup de se priver de tant de plaisir ? Si j'acceptais, il allait me prendre encore et encore, me mettre dans des positions compromettantes, m'attirer des ennuis...et me donner aussi ce dont j'avais besoin. Cette soumission qui me faisait frissonner...
Ma décision était prise. J'allais reléguer ma dignité au placard.
Il était déjà tard et je me faufilai doucement dans la chambre de Max, vêtue d'une fine nuisette en voile transparent qui laissait entrevoir ma poitrine dont les tétons étaient déjà durcis d'excitation. Sa respiration était lente, j'en déduisis qu'il dormait et m'allongeai à ses côtés. Je fis glisser le drap qui le recouvrait, contemplant son torse parfaitement sculpté. Mes mains prirent le même chemin que mes yeux et caressèrent ce corps chaud et musclé sur lequel j'avais fantasmé ces derniers jours... Puis ce fût au tour de ma bouche. Je parsemai son torse de légers baisers, descendant plus bas vers son sexe qui commençait à se réveiller. Avec gourmandise, je pris sa queue dans ma bouche, savourant son goût et sa douceur. Il prit rapidement de la vigueur et ma bouche fût bientôt complètement remplie. Une main se posa alors sur ma tête, accompagnant mes allers retours avant de me tirer en arrière.
- Putain Sofia, dis moi tout de suite que tu acceptes, sinon je risque de faire une connerie...
Un frisson parcouru mon corps. Sa menace eut un effet encore plus excitant et je plongeais mon regard dans le sien avant d'articuler :
- J'accepte.
A compter du moment où j'eus prononcé ces mots, je sus qu'il n'y aurait aucun retour en arrière possible. Il enroula ma longue tignasse noire autour de son poing et m'embrassa avec violence, son autre main parcourait mon corps, malaxant mes seins, tordant mes tétons. Il se recula et brusquement, me retourna sur le ventre , agrippa mes hanches et écarta mes cuisses pour positionner son gland devant ma fente. Ma chatte ruisselait d'excitation, je n'avais qu'une hâte, qu'il m'enfonce enfin son énorme queue et me laboure encore et encore.
- Bordel Sofia, je vais tellement te défoncer que tu auras du mal de t'asseoir pendant trois jours. J'attends ça depuis trop longtemps. Tend bien ton cul ma salope. Tu la veux ma queue?
- Oui... gémi je
- Dis le!
- Je veux ta queue...prend moi vas y...s'il te plaît... oh putain oui!
En une seule poussée, il entra entièrement en moi. Je poussai un cri tandis qu'il écartait mes chairs de son gros membre. Il s'immobilisa au fond de moi, me laissant le temps de m'habituer à sa taille imposante.
- Alors tu aimes ça ?
- Oui... essayai-je d'articuler tant bien que mal
Il se retira alors, pour revenir avec brutalité, m'assénant de puissants coups de reins. Tout d'abord à un rythme lent et soutenu. Mes cris redoublèrent. Je voulais plus. Plus fort. Plus profond.
- Tu en veux encore ma salope ?
- Oh oui...encore... s'il te plaît...plus fort...
- Putain tu es une sacrée chienne...
De ses deux mains, il saisit mes hanches et me donna de grands coups de butoirs. Il y allait si fort que ses couilles claquaient contre mes fesses en un rythme effréné. Sentir sa queue buter au fond de moi me rendait folle de plaisir. Comme il me l'avait promis, il me baisait comme une chienne et j'adorais ça.
Bientôt, je sentis son pouce titiller ma rosette, essayant de se frayer un passage. Je me tendis, pas très à l'aise à l'idée de me faire prendre par le cul par une si grosse queue. J'avais déjà essayé l'anal avec quelques anciens partenaires, mais aucun n'avait un si imposant attribut. Et juste un seul d'entre eux avait réussi à me faire jouir comme ça.
Il sentit mon hésitation mais continua d'insinuer son pouce, entrant et sortant doucement afin de préparer le terrain. Lorsqu'il se retira pour remplacer son pouce par son gland, je frémis et tentai de me dégager. Mais d'une poigne de fer, il me maintînt en place, m'immobilisant complètement.
- S'il te plaît...pas par là...
- Ne t'inquiète pas, tu vas aimer ça...
Sa queue était tellement trempée de ma mouille, qu'il n'eut pas besoin de lubrifier avant d'entrer en moi. D'une poussée, il fit entrer son gland dans mon cul, m'arrachant un cri, mélange de plaisir et douleur. Il s'enfonça alors entièrement, en un violent coup de rein et poussa un rugissement de plaisir. Ensuite, il perdit totalement le contrôle et me ramona le cul brutalement.
J'hurlai tellement j'aimais ça. Il me défonçait littéralement l'anus, comme la chienne que j'étais.
- Prend ça salope! Dit il en me donnant de puissants coups de reins, et ça ! Ton cul est trop bon... tu aimes ça te faire démonter le cul hein?
Je sentais montrer en moi l'orgasme si attendu, je ne pouvais plus parler. Seuls des cris et des gémissements sortaient de ma bouche,
- Dis le! Dit il en me donnant une bonne claque sur la fesse droite.
- Oui.... j'aime ça...
- Dis le! Ordonna t il en me donnant une nouvelle fessée
- Je... ...J'aime que tu me défonces le cul...Hmmm.... oh oui! je vais jouir....
L'orgasme m'emporta alors, plus puissant encore que tout ceux que j'avais connu. Je tremblais, mes jambes ne me portaient plus.
Max continua de me ramoner encore et encore puis finalement, il se raidit et se déversa en de longues saccades dans mon étroit fourreau. Je sentais les pulsations de sa queue et son sperme chaud en moi tellement son membre m'emplissait.
Il s'écrasa sur le lit, essayant de reprendre une respiration normale. Il ne dit pas un mot.
Avais je fait quelque chose de mal? Maintenant qu'il avait eut ce qu'il voulait, allait il me mettre à la porte?
Je décidai de ne pas lui en laisser l'occasion et essayai de me relever. D'une main, il me cloua au lit et s'installa sur moi, m'écrasant de tout son poids.
- Tu comptes aller où comme ça ? Je suis loin d'en avoir fini avec toi...

A suivre....

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Kalliste
Merci pour cette histoire très bien écrite. A quand la suite ?
Posté le 18/07/2021

Sphouille
J’adore ! Je suis toute émoustillée à chaque fois. J’espère qu’on aura bientôt la suite??
Posté le 17/02/2021

Blueberry89
Merci pour vos commentaires !
Posté le 22/11/2020

Forrest Gump
Bravo ????????????
Posté le 20/11/2020

Guérin normand
Excellent très hâte à la suite
Posté le 17/10/2020


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Un arrangement comme un autre...(1)
Un arrangement comme un autre (2)
Un arrangement comme un autre... (3)
Un arrangement comme un autre...(4)
Comme dans le roman, pas comme dans la chanson !