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La Surprise

Une soirée sur le Dancefloor, est une aventure pour un jeune ado, qui jouant au voyeur étoffe ses envies sexuelles. Le reste est une surprise à laquelle il ne s'attendais pas! L’exhibition est au centre de cette histoire, qui pourrait faire partie du vécu des uns ou des autres. On peut quelques fois prendre risques inconsidérés, et alors...!

Proposée le 29/01/2019 par maximilien7

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Ce matin là, je sentais monter en moi l’irrésistible et tyrannique envie de soulager cette chaleur entre mes jambes, de juguler l’érection de cette verge qui échappait à tout contrôle. Je me suis réveillé trop tôt et dans mon esprit se déroulait sans cesse le film de cette soirée bien arrosée, de ces corps se trémoussant sous les flashs, de ces vestales qui frénétiquement s’agitaient sous les spots intrusifs du laser. De temps en temps un rayon indiscret laissait apparaître par transparence, le galbe d’un sein ou la marque blanche d’une culotte minimaliste, ou mieux encore d’un pubis décelé par un mouvement sensuel à peine voilé.
Vers deux heures du matin certaines barrières finirent par tomber, alors, sous mes yeux de jeune adolescent des mains aventureuses s’offraient impunément des incursions d’ordinaire prohibées. Je ne perdais pas une miette de ces seins découverts par hasard ni de ces strings apparaissant en haut de deux belles cuisses fuselées. Je n’en perdais pas moins non-plu, de ces visages de femmes qui dans un endroit plus sombre de la salle s’abandonnaient à l’extase les yeux fermés, me laissant imaginer le plaisir d’une pénétration furtive.

J’imaginais bien ces femmes écartelées sous je jougs d’un amant, se trémoussant nues sous les haies complices et offrant leurs âmes aux bourreaux.
La lumière blafarde du crépuscule éclairait timidement mon corps à travers les persiennes, et déjà coulait le long de mon pénis les gouttelettes dénonçant mes excitations. Mes mains désormais jouaient en glissant en direction de ce pic perlé un jeu provocateur,s’apprêtant à exécuter une démente partition, mêlée de honte et de plaisirs.
Puis selon l’immuable rituel que je m’étais imposé, et au fil des diverses images mentales qui s’imposaient à moi, je commençais le frottement de cette verge, caressant ou torturant ce sexe brûlant.

Ainsi je me tortillais, sautillais et triturais ce corps qui ne m’appartenais plus, accélérant le rythme, haletant tel le condamné subissant sa punition.J’avais oublié que je n’étais pas chez moi, mais que j’étais hébergé pour une nuit chez notre amie Iliade qui dormait à côté.

Iliade, imaginez une jeune femme de vingt deux ans, un visage d’ange au teint de miel et un corps de sirène aux senteurs exotiques. Elle a un charme fou, et je profite visiblement d’une affection particulière de sa part. Quelques fois elle se fait féline, en se permettant une caresse sur l’une de mes cuisses nue ou encore un furtif baisé sur une joue. Immanquablement cela déclenche en moi d’irrépréhensibles frissons et quelques fois même une érection spontanée, que naturellement elle détecte aussitôt. Un petit clin d’œil pour me faire rougir et tandis que je baisse les yeux, ne pouvant décemment nier un trouble trop apparent, elle glisse à mon oreille quelques douceurs susurrées d’une voix câline. Je crois qu’elle en à fait un jeu et j’espère secrètement qu’elle en tire un plaisir égal au miens.

J’avais oublié en effet que je n’étais pas chez moi, lorsque submergé d’une intense jouissance mes gémissements se répercutaient sur les murs de la chambre, au point qu’ils me semblaient étrangers. Dans un dernier effort, je cabrais mon bassin en portant cette masturbation à ses limites. La fin semblait proche sentant arriver l’éjaculation, je m’efforçais une fois encore de ralentir le mouvement afin de prolonger le plaisir de cette petit mort.
Puis les yeux fermés j’exultais couronnant mon abdomen du fruit de mes efforts, affalé sur le drap humide je reprenais ma respiration les yeux mi-clos, inconscient du spectacle que je donnais.
Face à moi, la fine silhouette d’Iliade, me semblais tout droit sortir de l’un de mes rêves érotiques, au point que je n’y prêtai pas attention. Quelques secondes passèrent avant que je ne me rende compte de mon erreur.
Elle était bien là et bien réelle, plus belle que jamais, laissant apparaître ce corps tant désiré par l’indécente transparence d’un peignoir de soie bleue. Instinctivement je me recroquevillais, submergé par la honte de m’être ainsi livré aux yeux de celle que je vénérais. Je restais là, apeuré, recroquevillé dans la position du fœtus dans l’attente de recevoir sa juste colère, avec nouée au ventre la peur de devoir assumer son indignation.
Mais en dépit de mes craintes, elle vint s’asseoir à côté de moi, plus douce encore que d’habitude. Sans un mot et par quelques caresses subtiles dans le dos, elle apaisa mes angoisses. Je me pliais alors à sa volonté et couché sur le dos je m’abandonnais à toutes ses volontés. Lorsqu’elle saisit dans sa main ce qui restait encore de ma virilité, petite chose engluées et désarticulée je ne réagis pas, me laissant purifier par sa main douce aux moindres recoins de mon intimité.

D’un geste elle fit tomber la fine étoffe de soie qui glissa sur le sol offrant à ma vue ses deux seins blancs érigés vers le ciel. Puis sa culotte suivit le même chemin, dévoilant une dentelle fine et duveteuse que je n’osais encore toucher. Une raie plus sombre au centre dirigeait mon regard vers cet antre qui faisait l’objet de tous mes désirs.

Lorsqu’elle s’allongea près de moi, me frôlent de sa nudité, j’évitais tout mouvement osant à peine respirer. La peur peut-être de la voir disparaître tel un mirage ! Mais avant que je ne comprenne ses intentions, sont corps langoureux vint se blottir sur le mien et ma verge sombra entre deux cuisses chaudes, si douces et accueillantes, que j’en perdis la notion du temps. Iliade, me guidât par de savantes invitations, à découvrir son intimité et je passais de monts en merveilles. Je perçus soudain la fragrance insoupçonnée de ses parfums de femmes, le gout de sa peau aux senteurs printanières et me laissait envoûté par sa chevelure d’airain.
En guidant ma main au centre même de son être, elle m’initiât à l’art le plus noble qui soit et je fus un élève assidu, persévérant. Je ne sais combien de temps m’était accordé pour étancher ma soif d’elle, quand Iliade le souffle court et par quelques mots susurrés, une sorte de prière, m’accorda le droit de me laisser glisser au fond d’elle.
Je restais en apnée et dans mon esprit survolté, je mourus dans un tourbillon de jouissance en cette alvéole fiévreuse. C’est elle ensuite qui, se débattant et m’imposant des prises de pouvoir de plus en plus féroces, s’offrit en cadeaux à mes assauts.
Après quelques derniers soubresauts nous restâmes enlacés de longues minutes et le soleil indiscret illuminât d’un jour nouveau l’aube de nos passions cachées.
Le petit déjeuné pris en commun fut féerique, personne autour de cette table ne soupçonnait naturellement notre aventure matinale. Je regardais ma mère qui me semble-t-il se posait tout de même quelques questions sur ma soudaine bonne humeur. Iliade elle, souriait en toute innocence. Sous la table ses pieds nus s’infiltraient encore effrontément entre mes cuisses et par petite pressions s’amusait de nouveau à masturber mon pénis hyper-sensible, qui en dépit de mes résistances finit par mouiller mon bas ventre.

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Commentaires de l'histoire :

Chacul
Excellente histoire ! Toutes me félicitations, vous êtes un bon écrivain
Posté le 1/02/2019

jef
superbe texte, de la candeur,de la douceur merci
Posté le 30/01/2019


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