Voici la suite. On avance dans l'histoire. Pas encore pleinement sexuel mais l'intensité est là. Les acteurs sont en place, la suite va venir pour satisfaire vos envies... si vous la souhaitez bien sur.
Proposée le 14/01/2018 par Maitreetsoumise
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
« Bonjour Chloé »
Elle était tellement surprise qu'elle ne trouva rien à répondre. Elle sentit immédiatement le rouge lui monter aux joues. Son regard et son sourire la désarmait. Elle le voyait pour la première fois. Il s'était suffisamment décris pour qu'elle l'imagine mais il était resté flou dans sa tête. Et elle n'était pas déçue de ce qu'elle voyait.
Il était grand, 1m90 comme il lui avait dit, les épaules larges signes d'un passé de rugbyman pas si lointain. Brun mais plus le style charmeur sur de lui que ténébreux. « Et ces yeux ! » se dit elle. Des yeux bruns profonds, puissants. Enfin pas tant ses yeux que son regard. Il la transperçait du regard et en même temps il lui faisait sentir qu'il la protégerait. Mais ce qui l'impressionna le plus c'était ses mains. Quand elle vit ses mains elle se sentit comme une petite poupée.
« C'est moi qui te rends silencieuse ? ». Il se moquait d'elle et elle le comprit tout de suite.
« Non, non. Bonjour Alex ».
« Tu m'attends depuis longtemps ? »
« Non, une dizaine de minutes pas plus »
Une serveuse s'approcha et sans lui demander ce qu'elle souhaitait il commanda pour eux deux. Il dégageait une telle assurance qu'elle n'osa même pas protester. Elle profita que la serveuse occupe son attention pour mieux le détailler. Franchement, elle était tout sauf déçue de ce qu'elle voyait. Elle avait eu peur qu'il lui ai mentit en se décrivant mais si il avait menti c'était dans le bon sens. Il dégageait un vrai charisme. Le genre d'homme fait pour commander des troupes au combat se disait elle. Même si elle ne savait pas ce qu'était qu'un combat. Elle était vraiment charmée. Elle ne regrettait absolument pas ses bas même si elle ne savait pas encore si elle aurait l'occasion de les lui montrer.
Quand son attention revint sur elle, elle décida de prendre les devants.
« Tu m'as reconnu tout de suite ? »
« Oui. Tu t'étais parfaitement décrite et ta robe avec. »
« Et tu n'es pas déçu ? ». Cette question fit augmenter son stress. Elle prenait le risque qu'il la rejette. Surtout qu'il lui plaisait à elle.
« Absolument pas. Au contraire même ». Son sourire lui fit comprendre qu'elle était parfaitement à son goût. Le fait qu'il ne lui retourne pas la question ne fit qu'amplifier l'impression d'assurance qu'il lui faisait.
« Alors Chloé, combien de temps tu as hésité aujourd'hui avant de venir ? »
Elle ne savait pas si il l'avait lu dans ses yeux ou si c'était encore son expérience qui parlait mais elle fut déstabilisé au point qu'elle faillit ne pas pouvoir répondre.
« Un quart d'heure... mais j'ai pas vraiment hésité en fait ».
« Heureux de l'apprendre »
Ils devisèrent ensuite un petit quart d'heure en dégustant leurs boissons. Tout au long de cette discussion, elle avait sentit la chaleur passer de ses joues à son ventre. Elle ne pouvait nier qu'il correspondait complètement à ce qu'elle attendait. Mais elle ne savait toujours pas si elle pourrait aller au bout des choses.
Il décida de cela pour elle. Ils venaient de finir leurs consommations quand il dit, d'un ton autoritaire n'autorisant aucune réplique :
« Lève toi nous y allons »
Elle n'osa pas répondre et se leva sans dire un mot, comme une petite fille obéissante se dit elle. Ils quittèrent la terrasse et marchèrent ensemble dans la rue. Elle prit une inspiration et se décida à poser la question qui lui brûlait les lèvres.
« Nous allons où ? »
« D'après toi, où allons nous ». Elle prit cinq secondes avant de répondre.
« Chez toi ? »
« Ça t'inquiète ? ». Il n'avait même pas pris la peine de confirmer. Elle sentit le stress monter en elle. Mais la chaleur n'avait toujours pas quitté son bas ventre. Elle ne savait pas quoi répondre.
« Oui. Enfin non. Non je ne pense pas. »
« Alors tout va pour le mieux, non ? »
« Oui » Elle le regarda. Non elle n'avait pas peur. Elle le suivrait et obéirait à ce qu'il lui demanderait. Elle espérait juste être à la hauteur.
Ils arrivèrent à sa voiture et il lui ouvrit la porte pour la faire monter. Elle appréciait fortement sa galanterie. « Décidément il a toutes les qualités » se dit elle.
Il démarra et après quelques minutes il s'engagea dans un parking souterrain. Il gara sa voiture et là encore, il vint lui ouvrir la porte pour l'aider à sortir. Il s'arrêta, la bloquant entre lui et la voiture.
Il la regardait droit dans les yeux. Elle voyait qu'il attendait quelque chose mais elle ne savait pas quoi. Il prit la parole en tendant la main, paume ouverte vers le dessus :
« Ta culotte »
Elle mit quelques secondes à réaliser ce qu'il lui demandait. Il voulait qu'elle enlève sa culotte, ici et tout de suite. Elle prit une inspiration, ferma les yeux pour rassembler son courage puis elle souleva le bas de sa robe, fit glisser son string en dentelle noire et elle lui remit sans oser le regarder tellement elle sentait ses joues rougir.
Il remarqua immédiatement la légère trace d'humidité à l'emplacement ou sa petite fente se trouvait quelques secondes auparavant. Il ne put s'empêcher de sourire. Il lui prit la main et sans un mot ils se dirigèrent vers les ascenseurs.
Le temps jusqu'à son appartement lui parut incroyablement court tellement son cœur battait vite. Il ouvrit la porte et elle entra. Elle était tellement stressée qu'elle avait les mêmes effet que si elle avait bu. Aussi quand il la plaqua dos au mur dans l'entrée et qu'il l'embrassa passionnément, elle ne fit rien pour l'arrêter.
Au contraire, après quelques secondes à peine, elle vint se lover contre lui. A ce moment, elle ne pouvait plus ignorer son envie à lui. Il était déjà bien dur, elle le sentait à travers son pantalon. Et pour la première fois depuis très longtemps, elle eu vraiment envie de se faire prendre par un homme.
Il relâcha son étreinte et se recula de quelques pas pour la regarder droit dans les yeux.
« Tu es prête à m'obéir, à te soumettre à mes envies, à être mienne ? »
« Oui »
« Alors suis moi »
Sans un mot, elle le suivit, traversant le salon et un long couloir, pour arriver dans la chambre. Il ouvrit alors un tiroir et en sortit un collier en cuir noir. Le même qui lui avait montré en photo lors de leurs dials. Il lui avait dit qu'il ornerait son cou si elle acceptait de devenir sienne et qu'une fois autour de son cou, elle serait entièrement à lui, sans retour en arrière possible et sans exception.
La vue de ce collier lui fit peur. Mais cette peur ne dura qu'un instant. Le temps d'inspirer un grand coups encore une fois.
« Tu le veux ? Tu t'en sens capable ? »
Il lui avait expliqué en détails ce qu'il attendrait d'elle une fois qu'elle aurait ce collier autour du cou. Elle savait parfaitement ce qu'il lui demandait. Elle allait devoir décider maintenant et elle le ferait en toute connaissance de cause. Aussi sa réponse ne mit pas trop de temps à venir.
« Oui »
Il la regarda en souriant, visiblement fier de lui et fier d'elle surtout.
« Très bien. Déshabille toi entièrement alors. »
Elle ne bougea pas et fit glisser les brettelles de sa robe sur ses épaules, dévoilant ses seins encore emprisonné dans son soutien gorge. Elle vit son regard s'arrêter sur sa poitrine et elle fut heureuse de l'envie qu'elle y lut à ce moment là. Elle finit de faire tomber sa robe à ses pieds, lui dévoilant sa petite chatte toute rasée et les bas.
Il sentit son envie monter de façon exponentielle. Il devait se retenir pour ne pas la jeter là sur le lit et la baiser de suite sans préliminaire.
Elle décrocha son soutien gorge et il remarqua avec beaucoup de plaisirs que ses seins bien ronds et bien pleins ne bougèrent pas d'un iota. Les seins bien fermes d'une jeune femme. Elle finit en faisant glisser ses bas le long de ses jambes. Elle était totalement nue devant lui. Totalement offerte. A sa merci.
Il s'approcha d'elle, le collier à la main.
« A genoux »
Elle s'agenouilla sans dire un mot. Et garda la tête baissée. Il se baissa et très délicatement il posa le collier sur son cou. Elle leva alors les yeux vers lui et il lui sourit en le fermant. « Elle était une soumise, c'était fait » se dit elle.
Elle ne savait pas ce qui l'attendait mais elle avait hâte de le savoir... A suivre
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Commentaires de l'histoire :
phenixia05
Hummm ça donne envie de lire la suite
Posté le 3/12/2018
fan21
Merci vivement la suite !
Posté le 15/01/2018
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